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In: China policy series, 17
The 1989 pro-democracy movement in China constituted a huge challenge to the survival of the Chinese communist regime. This book assesses the impact of the movement, and of the ensuing repression on the political evolution of the People's Republic of C.
In: L' histoire immediate
World Affairs Online
In: Espace international 8
In: Collection du Centre d'Études et de Recherches Internationales de la Fondation Nationale des Sciences Politiques 505
World Affairs Online
In: Revue d'histoire moderne et contemporaine, Volume 70-4, Issue 4, p. 223-224
ISSN: 1776-3045
In: The China quarterly, Volume 256, p. 1119-1121
ISSN: 1468-2648
In: The China quarterly, Volume 248, Issue 1, p. 1231-1232
ISSN: 1468-2648
In: The China journal: Zhongguo-yanjiu, Volume 86, p. 221-223
ISSN: 1835-8535
In: Esprit, Volume Décembre, Issue 12, p. 41-54
Grâce à sa campagne anti-corruption, son offensive contre les ONG, les religions et les minorités nationales, et son culte de la personnalité, Xi Jinping a renforcé son pouvoir sur le Parti et l'emprise du Parti sur la société.
In: The China quarterly, Volume 244, p. 1172-1174
ISSN: 1468-2648
In: Esprit, Volume Juillet-Août, Issue 7, p. 35-39
In: Esprit, Volume Décembre, Issue 12, p. 9-14
In: Communications, Volume 104, Issue 1, p. 51-61
Les droits de l'homme sont au centre du débat politique en Chine, notamment depuis le massacre du 4 juin 1989. Le Parti communiste chinois défend une conception relativiste, tant au nom du marxisme-léninisme que de la « culture chinoise traditionnelle », que Xi Jinping cherche à réintégrer dans l'idéologie dominante. Tandis que hérauts de la « nouvelle gauche », néoconfucianistes modernes et nationalistes les dénoncent comme étrangers, un vaste mouvement populaire appuyé par des avocats et des journalistes s'en réclame. Que le mouvement de défense des droits apparu en 2003 soit actuellement au creux de la vague n'empêche pas qu'un nombre croissant de citoyens s'y réfèrent pour faire face aux abus de pouvoir des représentants du régime.
In: Pouvoirs: revue française d'études constitutionelles et politiques, Volume 169, Issue 2, p. 117-128
La nature du régime chinois n'a pas changé depuis 1949, mais la nécessité de renouveler la légitimité du Parti communiste au lendemain de la mort de Mao Zedong a conduit Deng Xiaoping à relâcher la pression de l'appareil sur la société et l'économie. Après le massacre de Tian'anmen, en 1989, Deng a ouvert le pays au marché mondial tout en maintenant la dictature. Le développement économique rapide et l'exploitation des zones grises par les animateurs d' ong ont conduit à un relâchement des contrôles. En arrivant au pouvoir, Xi Jinping a réprimé la société civile émergente et renforcé la direction du Parti dans tous les domaines, éliminant les espaces d'autonomie et instaurant le culte de la personnalité. Hégémonie du Parti sur la société et le gouvernement, culte du chef, nationalisme, la Chine n'est nullement comparable aux « démocratures ». Dictature assumée, son système rappelle de plus en plus le fascisme.