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"This publication is a biographical account of the founder of Singapore, Sir Stamford Raffles, through a study of the lives of his closest friends and contemporaries. Some of the personalities featured include William Brown Ramsay, John Leyden and Thomas Horsfield."--

Savez-vous ce que signifie "bâtonner une dépêche"? comment on mesure la "crédibilité" des médias ? ce qu'est le "off"? comment se déroule une "panique morale" ? ou encore ce qu'il faut entendre quand un journaliste emploie la notion d'"objectivité" ? De A comme "Activisme médiatique" à Z comme "Zététique", ce lexique donne accès aux mots grâce auxquels il est possible de mieux comprendre le journalisme et les médias. Certains de ces mots sont employés par les journalistes eux-mêmes, d'autres sont issus du débat public ou des recherches menées dans les sciences sociales. Pour chacun, cet ouvrage présente son origine, clarifie son sens et explique les enjeux intellectuels de son utilisation. Un guide pour toutes celles et tous ceux qui cherchent à comprendre le fonctionnement du journalisme et des médias à l'heure des fake news. -- 4ème de couverture

Sonja Bastin gibt einen umfassenden Überblick über die Partnerschaftsdynamik junger alleinerziehender Mütter in Deutschland. Alleinerziehende Frauen sind häufig sozial und ökonomisch benachteiligt, insbesondere wenn kleine Kinder im Haushalt leben. Der Zusammenzug mit einem Partner beendet das Alleinerziehen und kann die Lebenssituation der Familie verbessern. Überdies kann ein neuer Partner die Alleinerziehende bereits vor einem Zusammenzug vielfältig unterstützen. Wie lange aber dauert es, bis eine Alleinerziehende einen neuen Partner findet? Wann zieht sie mit ihm zusammen? Wie stabil sind diese Partnerschaften? Diese Fragen konnten für Deutschland auf Grund fehlender Daten bislang nicht zufriedenstellend beantwortet werden. Mit Rückgriff auf Daten des Beziehungs- und Familienpanels (pairfam) ist dies nun möglich. Sonja Bastin ist wissenschaftliche Mitarbeiterin am Institut Arbeit und Wirtschaft in Bremen.

L'argument contre la taxation de l'héritage fondé sur l'amour parental considère que l'héritage est un moyen de réaliser l'amour parental et qu'il est donc injuste de le taxer. Le but de l'article est de retourner cet argument sur lui-même. Pour cela je reconstruis la prémisse selon laquelle il est juste de favoriser l'amour parental, à partir d'une conception relationnelle de l'égalité et parviens à une définition de l'amour parental comme disposition à un soin profond et continu. Dès lors, un examen minutieux du lien entre héritage et amour parental révèle le caractère fondamentalement ambigu de l'héritage : il peut tout aussi bien favoriser que mettre en danger l'amour parental. Le risque que fait peser l'héritage sur l'amour parental justifie alors de le contrôler et de le redistribuer par la fiscalité successorale. Dans une société juste, la taxation de l'héritage n'est donc pas seulement compatible avec l'amour parental, elle est requise par lui.

A large corpus of scientific literature details how the media generates an imbalance in their portrayal of society and thus contributes to the reproduction of extant power structures, particularly gender. However, there has been scant attention paid to understanding how the media adapt to changes in the social environment, especially with power structures modified by exogenous shocks such as new laws requiring gender parity in politics. This study examines how such shocks affected gender imbalance in the coverage of politics in France between 1990 and 2020. It highlights the shortcomings of an overly linear approach to the time lag effect in understanding the parameters and substance of gender imbalance in political news and advocates instead for utilizing the concept of gender imbalance hysteresis to understand why media stories do not demasculinize as quickly as the gender composition of Parliament.

Lisa Yashodhara Haller und Alicia Schlender (Hg.): Feministische Perspektiven auf Elternschaft - Handbuch. Leverkusen: Verlag Barbara Budrich 2021. 978-3-8474-2367-6

Sabine Hübgen: Armutsrisiko alleinerziehend - Die Bedeutung von sozialer Komposition und institutionellem Kontext in Deutschland. Leverkusen: Verlag Barbara Budrich 2019. 978-3-86388-818-3

Les matériaux de construction et de démolition constituent, en tonnes, la deuxième matière consommée par les villes après l'eau et les principaux déchets urbains solides (Augiseau et Barles, 2017). En France, la quantité de déchets générés par les chantiers est huit fois supérieure à la quantité de déchets ménagers : les chantiers du bâtiment et des travaux publics (BTP) ont produit 227,5 millions de tonnes de déchets en 2014 tandis que les déchets ménagers ont représenté environ 30 millions de tonnes (Ademe, 2017). La production matérielle des espaces urbains suit une logique linéaire : les matériaux sont extraits en grande quantité dans le milieu local, ils sont accumulés dans les villes sous la forme du bâti et des infrastructures avant d'être rejetés sous la forme de déchets. Ce mode de production de la ville génère en amont des tensions sur l'approvisionnement en ressources minérales locales qui se raréfient. En aval, ces matériaux contribuent à l'artificialisation des sols via la mise en décharge des matières issues des chantiers. L'empreinte matérielle de la production urbaine, c'est-à-dire la quantité de matière nécessaire à la réalisation des projets urbains, est donc importante et en partie insoutenable. Cependant, elle est peu connue et n'entre pas dans les calculs des acteurs de la ville lors des choix d'aménagement.

Les matériaux de construction et de démolition constituent, en tonnes, la deuxième matière consommée par les villes après l'eau et les principaux déchets urbains solides (Augiseau et Barles, 2017). En France, la quantité de déchets générés par les chantiers est huit fois supérieure à la quantité de déchets ménagers : les chantiers du bâtiment et des travaux publics (BTP) ont produit 227,5 millions de tonnes de déchets en 2014 tandis que les déchets ménagers ont représenté environ 30 millions de tonnes (Ademe, 2017). La production matérielle des espaces urbains suit une logique linéaire : les matériaux sont extraits en grande quantité dans le milieu local, ils sont accumulés dans les villes sous la forme du bâti et des infrastructures avant d'être rejetés sous la forme de déchets. Ce mode de production de la ville génère en amont des tensions sur l'approvisionnement en ressources minérales locales qui se raréfient. En aval, ces matériaux contribuent à l'artificialisation des sols via la mise en décharge des matières issues des chantiers. L'empreinte matérielle de la production urbaine, c'est-à-dire la quantité de matière nécessaire à la réalisation des projets urbains, est donc importante et en partie insoutenable. Cependant, elle est peu connue et n'entre pas dans les calculs des acteurs de la ville lors des choix d'aménagement.