Late fertility intentions increase over time in Austria, but chances to have a child at later ages remain low
In: Reproductive biomedicine & society online, Volume 14, p. 125-139
ISSN: 2405-6618
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In: Reproductive biomedicine & society online, Volume 14, p. 125-139
ISSN: 2405-6618
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Volume 66, Issue 2, p. 275-311
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
Résumé En France comme dans le reste de l'Europe, les trajectoires familiales se sont diversifiées. Comment la descendance se forme-t-elle dans des trajectoires conjugales plus complexes, et notamment comment les mécanismes de fécondité se déclinent-ils chez les hommes et les femmes lorsqu'ils vivent avec un deuxième conjoint ? Cet article apporte des éléments de réponse en utilisant les données de l'enquête Études des relations familiales et intergénérationnelles (Erfi, Ined-Insee, 2005), version française de la Generation and Gender Survey (GGS). Alors que les naissances dans les familles recomposées sont étudiées de façon extensive en Europe, peu d'attention est portée sur la différence de contraintes auxquelles sont confrontés les hommes et les femmes qui reforment un couple. Plus particulièrement, l'âge de la femme lors de la remise en couple explique les différences brutes de proportions de naissances dans la nouvelle union entre hommes et pères, et entre femmes et mères. Une fois pris en compte l'âge de la femme, on remarque également que les risques de naissance dans la deuxième union sont les plus faibles lorsque les deux conjoints ont déjà des enfants. Cependant, par rapport à un couple sans enfant, les enfants d'un seul des conjoints ne diminuent pas significativement le risque d'avoir des enfants.
In: Population & sociétés: bulletin mensuel d'information de l'Institut National d'Études Démographiques, Volume 464, Issue 2, p. 1-4
Union, séparation, nouvelle union : les comportements conjugaux en France ont évolué, et avec eux la fécondité. Si les naissances surviennent presque toutes dans le cadre d'un couple, marié ou non, elles sont de plus en plus fréquentes au sein des deuxièmes unions : c'était le cas pour 1,4 % des hommes et 0,7 % des femmes né(e) s avant 1950, contre 14 % et 9 % de ceux et celles de la génération 1960-1969. La seconde union provoque, pour chacun, une probabilité 2,5 fois plus élevée d'une nouvelle naissance à 35 ans. Mais à âge égal au moment de la remise en couple, les hommes sont plus souvent pères car s'unissent en majorité à des femmes plus jeunes. Enfin, les individus sans enfant ainsi que ceux avec 4 ou 5 enfants sont plus fréquents parmi ceux ayant connu plusieurs unions.
In: Population & sociétés: bulletin mensuel d'information de l'Institut National d'Études Démographiques, Volume 562, Issue 1, p. 1-4
Les adultes ont leurs enfants de plus en plus tard depuis 1970, sous l'influence de la diffusion de l'enseignement supérieur, la participation croissante des femmes au marché du travail et l'évolution des comportements familiaux. La diffusion de la contraception moderne et un meilleur accès à l'avortement ont aussi joué un rôle en permettant aux femmes et aux couples de mieux planifier leurs naissances. En s'appuyant sur la Human Fertility Database , les auteurs décrivent l'augmentation de la fécondité à 40 ans ou plus dans les pays à faible fécondité d'Europe, d'Asie orientale, d'Amérique du Nord et d'Australie.
In: Population and development review, Volume 40, Issue 3, p. 391-419
ISSN: 1728-4457
How persistent and universal has the two child family ideal been in Europe during the last three decades? We analyze responses of women of reproductive age from 168 surveys conducted in 37 countries in 1979–2012. A two‐child ideal has become nearly universal among women in all parts of Europe. Countries that used to display higher ideal family size have converged over time toward a two‐child model. Six out of ten women in Europe consider two children as ideal, and this proportion is very similar in different regions. The mean ideal family size has become closely clustered around 2.2 in most countries. Gradual shifts can be documented toward more women expressing an ideal of having one child (and, quite rarely, having no children) and a parallel decline in an ideal of three or more children. An increasing number of European countries saw their mean ideal family size falling to relatively low levels around 1.95–2.15. However, with the exception of one survey for eastern Germany and two of the surveys not included in our study owing to high nonresponse or low sample size, none of the analyzed surveys suggests a decline in mean ideal family size to levels considerably below replacement, i.e., below 1.9 children per woman.
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Volume 77, Issue 3, p. 439-466
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
La formation du couple et la première naissance sont des événements étroitement liés, mais les logiques sociales, dont l'âge à la mise en couple peut être le reflet, sont peu discutées. À partir de l'enquête Étude des parcours individuels et conjugaux (Épic, Ined-Insee, 2013-2014), cet article examine le rôle de l'âge à la première cohabitation sur la survenue d'une première naissance et son calendrier, en tenant compte des caractéristiques des personnes et des unions formées entre 17 et 40 ans. Les hommes et les femmes ont un enfant plus rapidement lorsque la première union est formée à partir de 32 ans. Malgré des naissances plus rapides pour ceux devenant parents, les individus les plus tardifs à la mise en couple sont, en fin de vie reproductive, plus nombreux à rester inféconds que ceux entrés en union plus tôt. Ces résultats restent significatifs compte tenu de la situation d'emploi à la mise en couple, du statut marital et des caractéristiques des partenaires. Outre des aspects biologiques, il est possible que les personnes qui forment une première union à la trentaine soient moins enclines à fonder une famille, ou qu'avoir un enfant paraisse socialement trop tardif.
In: Population and development review, Volume 39, Issue 3, p. 441-458
ISSN: 1728-4457
Cohabitation is sometimes thought of as being inversely associated with education, but in Britain a more complex picture emerges. Educational group differences in cohabitation vary by age, time period, cohort, and indicator used. Well‐educated women pioneered cohabitation in Britain in the 1970s and 1980s. In the most recent cohorts, however, the less educated have exceeded the best educated in the proportions ever having cohabited at young ages. But the main difference by education currently seems largely a matter of timing—that is, the less educated start cohabiting earlier than the best educated. In Britain, educational differentials in cohabitation appear to be reinstating longstanding social patterns in the level and timing of marriage. Taking partnerships as a whole, social differentials have been fairly stable. Following a period of innovation and diffusion, there is much continuity with the past.
In: Population studies: a journal of demography, Volume 66, Issue 3, p. 311-327
ISSN: 1477-4747
In: Population & sociétés: bulletin mensuel d'information de l'Institut National d'Études Démographiques, Volume 495, Issue 11, p. 1-4
Les femmes ont leur premier enfant de plus en plus tard dans les pays développés. L'âge moyen à la première maternité a ainsi reculé d'environ 4 ans en Angleterre-Galles et en France depuis le milieu des années 1970. La diffusion de la scolarisation et l'allongement des études sont parmi les premiers facteurs évoqués pour expliquer ce retard. Dans les deux pays, l'âge de fin d'études et la première naissance ont de fait subi presque le même recul. L'intervalle qui sépare la fin des études de la première naissance s'est accru seulement d'une demi-année en 15 ans entre 1980-1984 et 1995-1999. Le lien entre les deux tendances apparaît bien quand on mesure la fécondité non plus selon l'âge des femmes mais selon la durée écoulée depuis la fin des études. Si le retard de la première naissance tient d'abord au prolongement des études, ce sont aussi les femmes les plus diplômées qui ont le plus retardé la première naissance après la fin des études.
In: Population trends, Volume 145, Issue 1, p. 35-59
ISSN: 2040-1590
In: Population. English edition, Volume 66, Issue 2, p. 239
ISSN: 1958-9190
In: Vienna yearbook of population research volume 15 (2017)
In: Vienna yearbook of population research, Volume 1, p. 1-16
ISSN: 1728-5305
In: Population & sociétés: bulletin mensuel d'information de l'Institut National d'Études Démographiques, Volume 540, Issue 1, p. 1-4
Près d'un quart des femmes nées en Europe dans la première décennie du XX e siècle n'ont pas eu d'enfant. Le taux d'infécondité diminue dans les générations suivantes, seule une femme sur dix en moyenne restant sans enfant parmi celles nées au début des années 1940. Le taux d'infécondité réaugmente ensuite, atteignant dans les générations nées à la fin des années 1960 en moyenne 15 % en Europe du Nord et 18 % en Europe de l'Ouest. C'est en Europe du Sud qu'il a le plus augmenté récemment – jusqu'à une femme sur quatre nées dans les années 1970 pourrait y rester sans enfant – en raison de la faiblesse des politiques familiales et des inégalités de genre encore très marquées qui rendent difficile la conciliation entre travail et famille.
In: Population trends, Volume 145, Issue 1, p. 119-145
ISSN: 2040-1590