The role of social innovation and cross-sector collaboration in addressing wicked problems
In: Innovation: the European journal of social science research, Band 37, Heft 1, S. 1-3
ISSN: 1469-8412
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In: Innovation: the European journal of social science research, Band 37, Heft 1, S. 1-3
ISSN: 1469-8412
In: Sociologie du travail, Band 58, Heft 4, S. 477-479
ISSN: 1777-5701
In: Sociologie du travail, Band 58, Heft 4, S. 477-479
ISSN: 1777-5701
In: Actes de la recherche en sciences sociales, Band 203, Heft 3, S. 60-73
ISSN: 1955-2564
En 1999, la ville de Berlin, affectée par un important déficit budgétaire, cède 49,9 % des actifs de sa compagnie des eaux à un consortium privé composé de l'électricien RWE et de l'opérateur français Vivendi, pour une durée de 29 ans. Moins de 15 ans après, les deux partenaires privés revendent leurs actifs et l'entreprise retourne dans les mains de la municipalité. À travers cet épisode, cet article se propose d'analyser la confrontation entre deux modèles de services urbains : le « modèle français » de gestion déléguée par contrat et le « modèle public local fort » allemand. Il met en avant le rôle central joué par les institutions de second rang (normes techniques, règles de droit et catégories comptables) dans les modalités de coopération entre ces différents modèles et la manière dont les protagonistes de l'eau s'en servent pour créer, maintenir, ou remettre en cause une telle coopération. L'analyse révèle alors que si la privatisation partielle n'a été rendue possible que par un travail important sur ces institutions (modèle juridique, tarification), celles-ci ont servi quelques années plus tard à permettre un retour de la Compagnie des eaux de Berlin dans la sphère publique.
In: Lectures
ISSN: 2116-5289
In: Lectures
ISSN: 2116-5289
In: Lien social et politiques: revue internationale et interdisciplinaire de sciences humaines consacrée aux thèmes du lien social, de la sociabilité, des problèmes sociaux et des politiques publiques, Heft 82, S. 139-157
ISSN: 1703-9665
Depuis quelques années, les coopératives énergétiques citoyennes se sont positionnées comme des actrices majeures de la transition énergétique allemande. En prenant comme point de départ les recherches existantes sur la « démocratie énergétique », nous nous interrogeons dans cet article sur les fondements et les impacts démocratiques de projets participatifs dans le domaine de l'énergie. Pour cela, nous nous appuierons sur les résultats d'une enquête qualitative effectuée au sein de la ville de Iéna (Thuringe, Allemagne), où une coopérative énergétique citoyenne s'est créée en 2011 et a acheté l'année suivante 2 % des actions de l'entreprise municipale d'énergie. À l'aide d'entretiens approfondis, d'une étude de documents et d'observations, nous examinons le travail de légitimation politique nécessaire à la mise en place et au maintien d'un tel projet, ainsi que son impact sur les politiques énergétiques locales. D'une manière générale, la coopérative énergétique a contribué à renforcer la participation citoyenne dans les débats locaux sur l'énergie. Cependant, le cas de Iéna est également révélateur de tensions entre le but initial des fondateurs de la coopérative (faire avancer une transition énergétique inclusive et participative à l'échelle locale) et les intérêts, notamment financiers, de ses membres. Ces tensions contribuent à mettre en danger la légitimité politique de la coopérative comme moteur d'une transition énergétique démocratique.
In: Innovative Verwaltung: die Fachzeitschrift für erfolgreiches Verwaltungsmanagement, Band 38, Heft 6, S. 14-17
ISSN: 2192-9068
In: Allemagne d'aujourd'hui: revue d'information et de recherche sur l'Allemagne, Band 212, Heft 2, S. 151-172
In: Critique internationale, Band 48, Heft 3, S. 53-75
ISSN: 1777-554X
In: Critique internationale: revue comparative de sciences sociales, Heft 3, S. 53-75
ISSN: 1149-9818, 1290-7839
In reunified Germany, municipalities and professional associations have reacted differently to the arrival of foreign private operators in the water sector, the management of which has traditionally been public and local. This fact leads us to reconsider the analysis of organizational changes offered by the new sociological institutionalism and public policy transfer. Indeed, these do not sufficiently take account of policy dynamics that call into question or hamper the adoption of exogenous models. The conflicts over legitimacy and organizational compromises to which partial privatization of the water sector in Germany has given rise demonstrate both the degree to which ways of importing (or not) a foreign-origin system depend on local issues and interests and the fact that, far from going without saying, the institutionalization of an organizational change by means of transfer varies according to the configurations of the actors concerned. Adapted from the source document.
In: Journal of monetary economics, Band 133, S. 25-43
In: Public management review, Band 25, Heft 7, S. 1408-1426
ISSN: 1471-9045
We combine all available household surveys, income tax and national accounts data in a systematic manner to produce comparable pretax and posttax income inequality series in 38 European countries between 1980 and 2017. Our estimates are consistent with macroeconomic growth rates and comparable with US Distributional National Accounts. We find that inequalities rose in most European countries since 1980 both before and after taxes, but much less than in the US. Between 1980 and 2017, the European top 1% pretax income share rose from 8% to 11% while it rose from 11% to 21% in the US. Europe's lower inequality levels are mainly explained by a more equal distribution ofpretax incomes rather than by more equalizing taxes and transfers systems. "Predistribution" is found to play a much larger role in explaining Europe's relative resistance to inequality than "redistribution": it accounts for between two-thirds and
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