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L'interdisciplinarité au CNRS : un témoignage de chercheur sur la réforme des sections du département SHS (1991-2003)
International audience ; ce texte s'appuie sur l"analyse par l"auteur d'événements auxquels il a participé, en tant qu'anthropologuebiologiste appartenant à la section 33 avant la réforme de 1991.Aujourd'hui, l'interdisciplinarité revient dans les arguments avancés par la direction du CNRS pour mettre en place une nouvelle politique scientifique. Les ré-formes annoncées au nom de l'interdisciplinarité ne sont pas une nouveauté et, si elles suscitent des réactions nom-breuses et vives, il n'en était pas autrement au moment de la dernière grande réforme du CNRS concernant le redécoupage des sections du Comité national en 1991. Il n'est donc pas inutile de revenir sur quelques aspects de la réforme précédente pour tenter de com-prendre les intentions affichées, les réactions des inté-ressés et les conséquences qui en ont découlé pour la pratique du métier de chercheur 3. Les déclarations de la direction du CNRS au moment de la réforme de 1991 L'augmentation du nombre des chercheurs et l'évo-lution des disciplines ont très certainement été les deux facteurs essentiels de la progression du nombre de sections au CNRS depuis sa création.Rappelons que la question de l'interdisciplinarité au CNRS se décline en une double politique : celle des grands programmes interdisciplinaires, transversale aux départements ; celle des départements SHS, qui concerne les disciplines au sein des sections pour atteindre l'effectif de 46 avant la réforme de 1991. Fort de ce constat, la direction a souhaité qu'une « réforme d'ensemble soit entreprise avec pour objectifs premiers de rendre plus aisée "l'interdisciplinarité dans la définition et l'attaque de grands champs thématique », ce qui implique deux conséquences : « l'abandon des intitulés disciplinaires qui cloisonnent par trop et la réduction du nombre de sections ». Les mêmes auteurs indiquent plus avant dans leur texte que « les laboratoires auront à choisir une nouvelle section de rattachement », mais que cette réforme devra néanmoins éviter deux écueils : « une domination ...
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L'interdisciplinarité au CNRS : un témoignage de chercheur sur la réforme des sections du département SHS (1991-2003)
International audience ; ce texte s'appuie sur l"analyse par l"auteur d'événements auxquels il a participé, en tant qu'anthropologuebiologiste appartenant à la section 33 avant la réforme de 1991.Aujourd'hui, l'interdisciplinarité revient dans les arguments avancés par la direction du CNRS pour mettre en place une nouvelle politique scientifique. Les ré-formes annoncées au nom de l'interdisciplinarité ne sont pas une nouveauté et, si elles suscitent des réactions nom-breuses et vives, il n'en était pas autrement au moment de la dernière grande réforme du CNRS concernant le redécoupage des sections du Comité national en 1991. Il n'est donc pas inutile de revenir sur quelques aspects de la réforme précédente pour tenter de com-prendre les intentions affichées, les réactions des inté-ressés et les conséquences qui en ont découlé pour la pratique du métier de chercheur 3. Les déclarations de la direction du CNRS au moment de la réforme de 1991 L'augmentation du nombre des chercheurs et l'évo-lution des disciplines ont très certainement été les deux facteurs essentiels de la progression du nombre de sections au CNRS depuis sa création.Rappelons que la question de l'interdisciplinarité au CNRS se décline en une double politique : celle des grands programmes interdisciplinaires, transversale aux départements ; celle des départements SHS, qui concerne les disciplines au sein des sections pour atteindre l'effectif de 46 avant la réforme de 1991. Fort de ce constat, la direction a souhaité qu'une « réforme d'ensemble soit entreprise avec pour objectifs premiers de rendre plus aisée "l'interdisciplinarité dans la définition et l'attaque de grands champs thématique », ce qui implique deux conséquences : « l'abandon des intitulés disciplinaires qui cloisonnent par trop et la réduction du nombre de sections ». Les mêmes auteurs indiquent plus avant dans leur texte que « les laboratoires auront à choisir une nouvelle section de rattachement », mais que cette réforme devra néanmoins éviter deux écueils : « une domination ...
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L'interdisciplinarité au CNRS : un témoignage de chercheur sur la réforme des sections du département SHS (1991-2003)
International audience ; ce texte s'appuie sur l"analyse par l"auteur d'événements auxquels il a participé, en tant qu'anthropologuebiologiste appartenant à la section 33 avant la réforme de 1991.Aujourd'hui, l'interdisciplinarité revient dans les arguments avancés par la direction du CNRS pour mettre en place une nouvelle politique scientifique. Les ré-formes annoncées au nom de l'interdisciplinarité ne sont pas une nouveauté et, si elles suscitent des réactions nom-breuses et vives, il n'en était pas autrement au moment de la dernière grande réforme du CNRS concernant le redécoupage des sections du Comité national en 1991. Il n'est donc pas inutile de revenir sur quelques aspects de la réforme précédente pour tenter de com-prendre les intentions affichées, les réactions des inté-ressés et les conséquences qui en ont découlé pour la pratique du métier de chercheur 3. Les déclarations de la direction du CNRS au moment de la réforme de 1991 L'augmentation du nombre des chercheurs et l'évo-lution des disciplines ont très certainement été les deux facteurs essentiels de la progression du nombre de sections au CNRS depuis sa création.Rappelons que la question de l'interdisciplinarité au CNRS se décline en une double politique : celle des grands programmes interdisciplinaires, transversale aux départements ; celle des départements SHS, qui concerne les disciplines au sein des sections pour atteindre l'effectif de 46 avant la réforme de 1991. Fort de ce constat, la direction a souhaité qu'une « réforme d'ensemble soit entreprise avec pour objectifs premiers de rendre plus aisée "l'interdisciplinarité dans la définition et l'attaque de grands champs thématique », ce qui implique deux conséquences : « l'abandon des intitulés disciplinaires qui cloisonnent par trop et la réduction du nombre de sections ». Les mêmes auteurs indiquent plus avant dans leur texte que « les laboratoires auront à choisir une nouvelle section de rattachement », mais que cette réforme devra néanmoins éviter deux écueils : « une domination ...
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L'interdisciplinarité au CNRS : un témoignage de chercheur sur la réforme des sections du département SHS (1991-2003)
International audience ; ce texte s'appuie sur l"analyse par l"auteur d'événements auxquels il a participé, en tant qu'anthropologuebiologiste appartenant à la section 33 avant la réforme de 1991.Aujourd'hui, l'interdisciplinarité revient dans les arguments avancés par la direction du CNRS pour mettre en place une nouvelle politique scientifique. Les ré-formes annoncées au nom de l'interdisciplinarité ne sont pas une nouveauté et, si elles suscitent des réactions nom-breuses et vives, il n'en était pas autrement au moment de la dernière grande réforme du CNRS concernant le redécoupage des sections du Comité national en 1991. Il n'est donc pas inutile de revenir sur quelques aspects de la réforme précédente pour tenter de com-prendre les intentions affichées, les réactions des inté-ressés et les conséquences qui en ont découlé pour la pratique du métier de chercheur 3. Les déclarations de la direction du CNRS au moment de la réforme de 1991 L'augmentation du nombre des chercheurs et l'évo-lution des disciplines ont très certainement été les deux facteurs essentiels de la progression du nombre de sections au CNRS depuis sa création.Rappelons que la question de l'interdisciplinarité au CNRS se décline en une double politique : celle des grands programmes interdisciplinaires, transversale aux départements ; celle des départements SHS, qui concerne les disciplines au sein des sections pour atteindre l'effectif de 46 avant la réforme de 1991. Fort de ce constat, la direction a souhaité qu'une « réforme d'ensemble soit entreprise avec pour objectifs premiers de rendre plus aisée "l'interdisciplinarité dans la définition et l'attaque de grands champs thématique », ce qui implique deux conséquences : « l'abandon des intitulés disciplinaires qui cloisonnent par trop et la réduction du nombre de sections ». Les mêmes auteurs indiquent plus avant dans leur texte que « les laboratoires auront à choisir une nouvelle section de rattachement », mais que cette réforme devra néanmoins éviter deux écueils : « une domination ...
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International audience ; ce texte s'appuie sur l"analyse par l"auteur d'événements auxquels il a participé, en tant qu'anthropologuebiologiste appartenant à la section 33 avant la réforme de 1991.Aujourd'hui, l'interdisciplinarité revient dans les arguments avancés par la direction du CNRS pour mettre en place une nouvelle politique scientifique. Les ré-formes annoncées au nom de l'interdisciplinarité ne sont pas une nouveauté et, si elles suscitent des réactions nom-breuses et vives, il n'en était pas autrement au moment de la dernière grande réforme du CNRS concernant le redécoupage des sections du Comité national en 1991. Il n'est donc pas inutile de revenir sur quelques aspects de la réforme précédente pour tenter de com-prendre les intentions affichées, les réactions des inté-ressés et les conséquences qui en ont découlé pour la pratique du métier de chercheur 3. Les déclarations de la direction du CNRS au moment de la réforme de 1991 L'augmentation du nombre des chercheurs et l'évo-lution des disciplines ont très certainement été les deux facteurs essentiels de la progression du nombre de sections au CNRS depuis sa création.Rappelons que la question de l'interdisciplinarité au CNRS se décline en une double politique : celle des grands programmes interdisciplinaires, transversale aux départements ; celle des départements SHS, qui concerne les disciplines au sein des sections pour atteindre l'effectif de 46 avant la réforme de 1991. Fort de ce constat, la direction a souhaité qu'une « réforme d'ensemble soit entreprise avec pour objectifs premiers de rendre plus aisée "l'interdisciplinarité dans la définition et l'attaque de grands champs thématique », ce qui implique deux conséquences : « l'abandon des intitulés disciplinaires qui cloisonnent par trop et la réduction du nombre de sections ». Les mêmes auteurs indiquent plus avant dans leur texte que « les laboratoires auront à choisir une nouvelle section de rattachement », mais que cette réforme devra néanmoins éviter deux écueils : « une domination ...
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L'interdisciplinarité au CNRS : un témoignage de chercheur sur la réforme des sections du département SHS (1991-2003)
International audience ; ce texte s'appuie sur l"analyse par l"auteur d'événements auxquels il a participé, en tant qu'anthropologuebiologiste appartenant à la section 33 avant la réforme de 1991.Aujourd'hui, l'interdisciplinarité revient dans les arguments avancés par la direction du CNRS pour mettre en place une nouvelle politique scientifique. Les ré-formes annoncées au nom de l'interdisciplinarité ne sont pas une nouveauté et, si elles suscitent des réactions nom-breuses et vives, il n'en était pas autrement au moment de la dernière grande réforme du CNRS concernant le redécoupage des sections du Comité national en 1991. Il n'est donc pas inutile de revenir sur quelques aspects de la réforme précédente pour tenter de com-prendre les intentions affichées, les réactions des inté-ressés et les conséquences qui en ont découlé pour la pratique du métier de chercheur 3. Les déclarations de la direction du CNRS au moment de la réforme de 1991 L'augmentation du nombre des chercheurs et l'évo-lution des disciplines ont très certainement été les deux facteurs essentiels de la progression du nombre de sections au CNRS depuis sa création.Rappelons que la question de l'interdisciplinarité au CNRS se décline en une double politique : celle des grands programmes interdisciplinaires, transversale aux départements ; celle des départements SHS, qui concerne les disciplines au sein des sections pour atteindre l'effectif de 46 avant la réforme de 1991. Fort de ce constat, la direction a souhaité qu'une « réforme d'ensemble soit entreprise avec pour objectifs premiers de rendre plus aisée "l'interdisciplinarité dans la définition et l'attaque de grands champs thématique », ce qui implique deux conséquences : « l'abandon des intitulés disciplinaires qui cloisonnent par trop et la réduction du nombre de sections ». Les mêmes auteurs indiquent plus avant dans leur texte que « les laboratoires auront à choisir une nouvelle section de rattachement », mais que cette réforme devra néanmoins éviter deux écueils : « une domination ...
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L'interdisciplinarité au CNRS : un témoignage de chercheur sur la réforme des sections du département SHS (1991-2003)
International audience ; ce texte s'appuie sur l"analyse par l"auteur d'événements auxquels il a participé, en tant qu'anthropologuebiologiste appartenant à la section 33 avant la réforme de 1991.Aujourd'hui, l'interdisciplinarité revient dans les arguments avancés par la direction du CNRS pour mettre en place une nouvelle politique scientifique. Les ré-formes annoncées au nom de l'interdisciplinarité ne sont pas une nouveauté et, si elles suscitent des réactions nom-breuses et vives, il n'en était pas autrement au moment de la dernière grande réforme du CNRS concernant le redécoupage des sections du Comité national en 1991. Il n'est donc pas inutile de revenir sur quelques aspects de la réforme précédente pour tenter de com-prendre les intentions affichées, les réactions des inté-ressés et les conséquences qui en ont découlé pour la pratique du métier de chercheur 3. Les déclarations de la direction du CNRS au moment de la réforme de 1991 L'augmentation du nombre des chercheurs et l'évo-lution des disciplines ont très certainement été les deux facteurs essentiels de la progression du nombre de sections au CNRS depuis sa création.Rappelons que la question de l'interdisciplinarité au CNRS se décline en une double politique : celle des grands programmes interdisciplinaires, transversale aux départements ; celle des départements SHS, qui concerne les disciplines au sein des sections pour atteindre l'effectif de 46 avant la réforme de 1991. Fort de ce constat, la direction a souhaité qu'une « réforme d'ensemble soit entreprise avec pour objectifs premiers de rendre plus aisée "l'interdisciplinarité dans la définition et l'attaque de grands champs thématique », ce qui implique deux conséquences : « l'abandon des intitulés disciplinaires qui cloisonnent par trop et la réduction du nombre de sections ». Les mêmes auteurs indiquent plus avant dans leur texte que « les laboratoires auront à choisir une nouvelle section de rattachement », mais que cette réforme devra néanmoins éviter deux écueils : « une domination ...
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Mobilité dans les campagnes
In: Vers un ailleurs prometteur…, S. 255-267
Villes et qualité de vie
International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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Villes et qualité de vie
International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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Villes et qualité de vie
International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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Villes et qualité de vie
International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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Villes et qualité de vie
International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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