Hydrologic Balance of Citarum Watershed under Current and Future Climate
In: Climate Change and the Sustainable Use of Water Resources; Climate Change Management, S. 43-59
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In: Climate Change and the Sustainable Use of Water Resources; Climate Change Management, S. 43-59
In: Low Carbon Urban Infrastructure Investment in Asian Cities, S. 61-76
In: Environmental innovation and societal transitions, Band 1, Heft 2, S. 187-191
ISSN: 2210-4224
BACKGROUND: Indonesian peatlands have been drained for agricultural development for several decades. This development has made a major contribution to economic development. At the same time, peatland drainage is causing significant air pollution resulting from peatland fires. Peatland fires occur every year, even though their extent is much larger in dry (El Niño) years. We examine the health effects of long-term exposure to fine particles (PM(2.5)) from all types of peatland fires (including the burning of above and below ground biomass) in Sumatra and Kalimantan, where most peatland fires in Indonesia take place. METHODS: We derive PM(2.5) concentrations from satellite imagery calibrated and validated with Indonesian Government data on air pollution, and link increases in these concentrations to peatland fires, as observed in satellite imagery. Subsequently, we apply available epidemiological studies to relate PM(2.5) exposure to a range of health outcomes. The model utilizes the age distribution and disease prevalence of the impacted population. RESULTS: We find that PM(2.5) air pollution from peatland fires, causes, on average, around 33,100 adults and 2900 infants to die prematurely each year from air pollution. In addition, peatland fires cause on average around 4390 additional hospitalizations related to respiratory diseases, 635,000 severe cases of asthma in children, and 8.9 million lost workdays. The majority of these impacts occur in Sumatra because of its much higher population density compared to Kalimantan. A main source of uncertainty is in the Concentration Response Functions (CRFs) that we use, with different CRFs leading to annual premature adult mortality ranging from 19,900 to 64,800 deaths. Currently, the population of both regions is relatively young. With aging of the population over time, vulnerabilities to air pollution and health effects from peatland fires will increase. CONCLUSIONS: Peatland fire health impacts provide a further argument to combat fires in peatlands, and gradually ...
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Les 16 équipes de chercheurs mobilisées dans le cadre du projet ont élaboré et approfondi leurs trajectoires de décarbonation par rapport au rapport 2014, affinant leurs résultats et conclusions par l'intermédiaire de plusieurs scénarios définissant différentes orientations possibles de décarbonation pour un même pays.À l'échelle globale, le rapport montre que la décarbonation profonde des économies actuellement les plus émettrices est techniquement faisable, tout en prenant en compte les projections attendues de croissance démographique et économique. D'ores et déjà, ces tendances de décarbonation apparaissent compatibles avec l'objectif de 2°C maximum de réchauffement à l'horizon 2100 ; et des potentiels de réduction d'émissions plus drastiques encore ont été identifiés par les différentes équipes. Ces conclusions pourront en outre, à l'avenir, être complétées par d'autres pays et par la prise en compte de sources d'émissions provenant de sources non analysées par le DDPP (affectation des terres, procédés industriels, etc.).Le rapport 2015 insiste particulièrement sur la compatibilité des objectifs de décarbonation et de développement économique et social. Décarboner permet en effet en premier lieu d'éviter les effets délétères du changement climatique, et s'inscrit en parallèle dans une stratégie d'amélioration significative de services essentiels comme l'accès à l'énergie. Les stratégies de décarbonation profonde peuvent contribuer au développement durable des pays.Enfin, les investissements nécessaires à la décarbonation profonde, de l'ordre de 0,8% du PIB en 2020 (1,3 % en 2050), ne représentent pas un surcoût majeur par rapport aux investissements nécessaires en l'absence de politiques climatiques. De plus, sous réserve de signaux adéquats sur le long terme, la réorientation des investissements vers les technologies bas carbone ouvrent d'importantes perspectives commerciales.Dans le cadre de la COP21, où se négocie ces jours-ci un accord pour un nouveau régime climatique à partir de 2020, les stratégies ...
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Les 16 équipes de chercheurs mobilisées dans le cadre du projet ont élaboré et approfondi leurs trajectoires de décarbonation par rapport au rapport 2014, affinant leurs résultats et conclusions par l'intermédiaire de plusieurs scénarios définissant différentes orientations possibles de décarbonation pour un même pays.À l'échelle globale, le rapport montre que la décarbonation profonde des économies actuellement les plus émettrices est techniquement faisable, tout en prenant en compte les projections attendues de croissance démographique et économique. D'ores et déjà, ces tendances de décarbonation apparaissent compatibles avec l'objectif de 2°C maximum de réchauffement à l'horizon 2100 ; et des potentiels de réduction d'émissions plus drastiques encore ont été identifiés par les différentes équipes. Ces conclusions pourront en outre, à l'avenir, être complétées par d'autres pays et par la prise en compte de sources d'émissions provenant de sources non analysées par le DDPP (affectation des terres, procédés industriels, etc.).Le rapport 2015 insiste particulièrement sur la compatibilité des objectifs de décarbonation et de développement économique et social. Décarboner permet en effet en premier lieu d'éviter les effets délétères du changement climatique, et s'inscrit en parallèle dans une stratégie d'amélioration significative de services essentiels comme l'accès à l'énergie. Les stratégies de décarbonation profonde peuvent contribuer au développement durable des pays.Enfin, les investissements nécessaires à la décarbonation profonde, de l'ordre de 0,8% du PIB en 2020 (1,3 % en 2050), ne représentent pas un surcoût majeur par rapport aux investissements nécessaires en l'absence de politiques climatiques. De plus, sous réserve de signaux adéquats sur le long terme, la réorientation des investissements vers les technologies bas carbone ouvrent d'importantes perspectives commerciales.Dans le cadre de la COP21, où se négocie ces jours-ci un accord pour un nouveau régime climatique à partir de 2020, les stratégies de décarbonation sont indispensables pour informer les feuilles de route portant sur les choix de long terme, évitant ainsi des situations de blocage (lock-in), notamment technologiques, pouvant in fine freiner l'action climatique et en retarder ses effets.
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