Swingback: Getting Along in the World with Harper and Trudeau by Mike Blanchfield
In: International journal / CIC, Canadian International Council: ij ; Canada's journal of global policy analysis, Band 73, Heft 4, S. 625-627
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In: International journal / CIC, Canadian International Council: ij ; Canada's journal of global policy analysis, Band 73, Heft 4, S. 625-627
In: International journal / CIC, Canadian International Council: ij ; Canada's journal of global policy analysis, Band 69, Heft 2, S. 213-228
According to Imre Lakatos, progressive research programs are centred on the notion of an empirical knowledge foundation where new theories and methods lead to novel factual discoveries. Only through advanced but diverse methodologically sound strategies can one hope for a "better" understanding of events. With Lakatosian analysis in mind, this paper examines the state of Canadian foreign policy scholarship. The author has collected 531 peer-reviewed articles pertaining to Canadian foreign policy published between 2002 and 2012 in five leading peer-reviewed publications: Canadian Foreign Policy Journal, International Journal, the Canadian Journal of Political Science, the American Review of Canadian Studies, and Études Internationales. He has differentiated these articles based on five methodological approaches: description, quantitative analysis, comparative study, critical study, and qualitative analysis. The results suggest a disheartening lack of diversity in the methodological approaches guiding Canadian foreign policy scholarship. Moreover, the overwhelming preference for descriptive methods indicates clear signs of a degenerative research program.
In: International journal / Canadian International Council: Canada's journal of global policy analysis, Band 69, Heft 2, S. 213-228
ISSN: 0020-7020
In: International journal / CIC, Canadian International Council: ij ; Canada's journal of global policy analysis, Band 67, Heft 4, S. 895-914
In: International journal / Canadian International Council: Canada's journal of global policy analysis, Band 67, Heft 4, S. 895-914
ISSN: 0020-7020
In: http://hdl.handle.net/20.500.11794/23137
Pourquoi les États participent-ils à la gestion de conflit ? Quels sont les facteurs associés à la décision des États d'intervenir ou non dans les crises internationales ? La recherche à ce sujet offre deux interprétations. D'une part, les auteurs d'affiliation rationaliste avancent que les États interviennent à titre de tierce partie pour protéger ou promouvoir leurs intérêts nationaux, définis en fonction d'impératifs sécuritaires, économiques et idéels spécifiques. D'autre part, certains auteurs soutiennent plutôt que les États sont influencés par des considérations normatives; intervenant pour des raisons humanitaires. En somme, les interventions de tierce partie servent des intérêts égoïstes ou altruistes. Dans le cadre de cette thèse, nous examinons le comportement interventionniste des États de 1946 à 2001. Nous proposons un modèle statistique à niveaux multiples où nous considérons la possibilité et la volonté des États d'intervenir dans les crises internationales depuis la fin de Deuxième Guerre mondiale. Nos résultats démontrent que les États interviennent davantage dans les crises internationales lorsque leurs intérêts sécuritaires ou idéels sont menacés. Par opposition, les États interviennent moins dans les crises internationales lorsque les enjeux humanitaires sont importants. Ces résultats étayent l'idée selon laquelle, même dans la poursuite de la paix, le comportement des États s'aligne sur la raison d'État. Sur le plan méthodologique, étudier le problème d'auto-sélection des États tiers dans la gestion des crises internationales exige une population de cas qui comprend les occurrences d'intervention et de non-intervention. L'inclusion de la population de ces non-événements au sein de l'analyse soulève la question de la pertinence relative des cas négatifs. Nous proposons une mesure de la possibilité d'intervention en délimitant les facteurs qui restreignent la possibilité qu'ont les États tiers d'intervenir dans les crises internationales.
BASE
In: International journal / CIC, Canadian International Council: ij ; Canada's journal of global policy analysis, Band 64, Heft 3, S. 717-733
In: International journal / Canadian International Council: Canada's journal of global policy analysis, Band 64, Heft 3, S. 717-734
ISSN: 0020-7020
In: Études internationales: revue trimestrielle, Band 39, Heft 3, S. 468-469
ISSN: 0014-2123
In: Études internationales, Band 39, Heft 3, S. 468
ISSN: 1703-7891
In: Études internationales, Band 35, Heft 4, S. 771
ISSN: 1703-7891
In: Études internationales, Band 35, Heft 1, S. 194
ISSN: 1703-7891
In: Études internationales, Band 34, Heft 2, S. 295
ISSN: 1703-7891
In: Études internationales, Band 44, Heft 3, S. 359-385
ISSN: 1703-7891
Est-ce que le Québec subit un processus de militarisation sociétale ? La question peut paraître farfelue, puisqu'il est couramment accepté que les Québécois partagent des valeurs antimilitaristes, voire pacifistes. Dans cet article, les auteurs examinent rigoureusement la question. Ils dressent d'abord une typologie des attitudes potentiellement partagées par les Québécois en matière de sécurité internationale. Il vérifient ensuite, à l'aide de dizaines de sondages d'opinion publique réalisés au cours des 25 dernières années, la nature et l'ampleur des préférences québécoises vis-à-vis des enjeux de politique étrangère et de défense. Il se dégage de l'article un portrait, plutôt paradoxal, selon lequel les Québécois maintiennent des préférences durablement anti-impérialistes, tout en exprimant de fortes opinions militaristes.
In: Études internationales: revue trimestrielle, Band 44, Heft 3, S. 359-386
ISSN: 0014-2123