Pour qui sonne la gloire. Une histoire française, Gilles Malvaux, Paris, Éditions des Équateurs/Humensis, 2022, 365 pages
In: Revue historique des armées, Band 309, Heft 2, S. 141-141
21 Ergebnisse
Sortierung:
In: Revue historique des armées, Band 309, Heft 2, S. 141-141
In: Revue historique des armées, Band 306, Heft 3, S. 133-135
In: Revue défense nationale, Band 843, Heft 8, S. 132-139
ISSN: 2117-5969
Les lacunes des armements français ont été mises en évidence pendant le conflit et des programmes de rattrapage ont alors été lancés, même si certains n'ont pas abouti faute de financement. Le retard technologique a été en partie comblé, mais la course ne s'arrête plus désormais dans un environnement concurrentiel.
In: Revue historique des armées, Band 303, Heft 2, S. 139-142
In: Stratégique: revue trimestrielle de recherches et d'études stratégiques, Band 118, Heft 1, S. 83-92
Savoir-faire et faire savoir sont deux éléments indissociables de la dissuasion/ Exhiber ses réalisations scientifiques au travers des essais nucléaires et présenter ses moyens (vecteurs et systèmes d'armes) lors de grandes parades militaires soutiennent un corpus de doctrine aisément compréhensible et un discours officiel résolu qui ne seraient sans cela que du bluff. À travers quelques exemples empruntés au cas français depuis 1945, ce texte montre comment le pouvoir exécutif a su accompagner les progrès successifs accomplis vers l'autonomie stratégique, d'abord pour affirmer ses ambitions, ensuite pour crédibiliser l'outil militaire, pour dissuader l'ennemi et persuader l'allié, et enfin pour maintenir la posture.
In: Revue historique des armées, Band 293, Heft 4, S. 139-140
In: Revue historique des armées, Band 285, Heft 4, S. 134-137
In: Revue historique des armées, Band 272, Heft 3, S. 136-136
In: Revue historique des armées, Heft 3=272, S. 136-136
ISSN: 0035-3299
In: Revue historique des armées, Heft 262, S. 54-67
ISSN: 0035-3299
In: Revue historique des armées, Heft 262, S. 90
ISSN: 0035-3299
In: Revue historique des armées, Band 262, Heft 1, S. 54-67
Fondé sur l'étude d'archives conservées au Service historique de la Défense, cet article entend rappeler le développement parallèle des connaissances scientifiques et militaires relatives à l'Arctique et aux forces océaniques stratégiques. Il se situe en mars1960, moment où la décision de constitution de la force de frappe fondée, entre autres composantes, sur un système d'armes MSBS vient d'être prise au plus haut niveau de l'État. Inconnu militairement parlant en1945, l'espace océanique arctique se trouve aux avant-postes de la confrontation entre les deux blocs. Maitrisé par les forces sous-marines immédiatement après la Seconde Guerre mondiale, il a été l'objet d'une étude de faisabilité technique et d'une réflexion géostratégique quant à l'emploi de cette nouvelle arme. L'exemple américain a donc été l'objet d'une intense observation.
In: Revue défense nationale, Heft 728, S. 89-95
ISSN: 2105-7508
World Affairs Online
In: Revue Historique des Armées, Band 245, Heft 4, S. 46-61
Entre l'accession au pouvoir de M. Gorbatchev et la dislocation du bloc communiste, les relations internationales ont connu une accélération brutale. Depuis 1960, la France a construit un outil de dissuasion, essentiellement naval, en fonction d'un affrontement Est-Ouest qui à partir de 1985 a perdu progressivement de son actualité avant de disparaître brutalement. Cet article présente la posture stratégique française en 1985. Sont ensuite abordées à travers la question des « dividendes de la paix » les conséquences pour la marine en général et la Force océanique stratégique en particulier à partir de la fin de la guerre froide en terme de budgets et de programmes navals. Enfin, est rappelée l'appréhension de cette évolution rapide du contexte international par les responsables politiques et militaires en charge de la défense du pays à travers une série de prises de position publiques. Le Livre blanc sur la défense publié en 1994 marque à cet égard tout à la fois une continuité, une transition et une rupture.
In: Revue Historique des Armées, Band 244, Heft 3, S. 50-59
À l'issue de la Première Guerre mondiale, la France espérait s'appuyer sur la Roumanie, pour contrôler les bouches du Danube, tenir à distance la Russie soviétique du cœur de l'Europe et contrôler le révisionnisme allemand. Une décennie plus tard, les relations franco-roumaines n'avaient débouché sur aucune réalité concrète. Impécuniosité notoire et rivalités entre les dirigeants roumains s'étaient conjuguées avec la refondation d'un État multinational, dans le contexte diplomatique mouvant des années 1920, pour rendre chimérique l'hégémonie française. La sécurité des frontières poussa Bucarest à rechercher une garantie formelle que Paris refusait de donner contre les irrédentismes des pays limitrophes. De son côté, la France, qui voyait dans la Roumanie une barrière contre l'URSS et une alliance de revers jusqu'en 1925, mise sur la sécurité collective après Locarno. Les concurrences britannique et italienne achevèrent de ruiner la tentative française d'établir une tutelle régionale.