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L' utopie de la communication: le mythe du village planétaire
In: La Découverte Poche 29
In: Essais
La communication: appliquée aux organisations et à la formation
In: Collection Demos Ressources Humaines
L' explosion de la communication: la naissance d'une nouvelle idéologie
In: Sciences et société
Does the "Agentic State" really exist?; L'« état agentique » existe-t-il vraiment ?
In: Questions de communication, Heft 20, S. 239-248
ISSN: 2259-8901
Comment résister à la manipulation ? Analyse du coup dit « de l'anneau d'or »
In: Connexions: psychosociologie, sciences humaines, Band 95, Heft 1, S. 99-110
ISSN: 1776-2804
La question qui est au cœur de cet article est de savoir comment on peut, lorsque le cas se présente, résister à la manipulation. À partir d'une situation simple, le « coup dit de l'anneau d'or », deux types de paramètres seront étudiés, l'information dont dispose la victime potentielle sur la nature manipulatrice ou non de l'interaction qu'on lui propose, et le type de relation qu'elle va établir, entre une mise à distance ou l'acceptation d'un rapport fusionnel. On constate que l'information est un paramètre qui n'évite pas la manipulation, mais qui, couplé avec la mise en œuvre d'une distance dans l'interaction, s'avère un facteur puissant. Dans tous les cas, la mise à distance est un facteur essentiel dans la capacité de résistance. La fusion avec le manipulateur, qu'on soit informé ou non, et quelles que soient les raisons que l'on se trouve pour accepter ce comportement, s'avère par contre un puissant facteur d'acceptation de la manipulation.
Le rôle du principe vindicatif dans la violence extrémiste
In: Revue des sciences sociales, Band 46, Heft 1, S. 14-21
ISSN: 2107-0385
Philippe Breton. Die Rolle der Rachsucht in der extremistischen Gewalt.
Für die rechtsextreme Gewalt hat es vielfache Interpretationsversuche gegeben. Es gilt als allgemein anerkannt, dass ein wesentlicher Anteil dieser Gewalt mit der Fremdenfeindlichkeit und dem Rassismus zusammenhängt, Kernaussagen der rechtsextremen Ideologie. Wäre dies der Fall, wäre dieses gewalttätige Verhalten nicht mit dem mehr oder weniger symmetrischen gewalttätigen Verhalten der Linksextremen vergleichbar, bei denen Rassismus und Fremdenfeindlichkeit im Prinzip keinen Platz haben. Hier wird von der Hypothese ausgegangen, dass die Gewalttätigkeit, die mit dem extremistischen Verhalten einherzugehen scheint, von einem ersten gemeinsamen Prinzip, dem Prinzip der Rachsucht
ausgehend, interpretiert werden kann. Wenn das Problem auf diese Weise angegangen wird, ist in der aktuellen Debatte in Europa die Frage erlaubt, ob die Wahlerfolge der Rechtsextremisten nicht in gewisser Weise von der veränderlichen Empfänglichkeit der Gesellschaft für die Legitimität des Prinzips der Rachsucht abhängig sind.
l'oubli des « refusants »
International audience ; Lorsqu'un chercheur croit avoir trouvé un objet de recherche nouveau, au sens où aucune publication ne lui a été consacré jus-que là et où il apparaît sur la scène de recherche pour la première fois en tant que tel, plusieurs interprétations de cette émergence sont possibles. Dans le cas que je voudrais développer ici, celui des « refusants », comme objet de recherche inédit, une interprétation s'impose : de nombreux chercheurs, qu'ils soient psychologues sociaux ou historiens par exemple, ont bien eu cette réalité sous les yeux, mais pour un certain nombre de raisons qui seront explorées dans cet article, ils ne l'ont pas vue, ou plus précisément ont oublié qu'ils l'ont vue. Ils ne l'ont donc pas traitée. Rappelons, avant d'entrer dans le vif du sujet, ce que l'on entend ici par « refusant » 1. On peut définir la refusance à partir de trois caractéristiques. D'abord il s'agit de quelqu'un qui se trouve impliqué directement, comme exécuteur (milicien, policier, soldat) dans une situation de crime de masse ou de génocide. Ensuite, bien que cette personne soit destinée à participer à la commission collective des meurtres, elle ne le fait pas, volontairement. Enfin, son refus ne s'appuie pas sur une idéologie ou un système de croyance, politique, humaniste ou religieuse ; ce n'est pas un résistant, son refus reste individuel et non prosélyte. On trouve des comportements de ce type sur tous les terrains de génocide (Front de l'Est, de 1941 à 1945, Rwanda) ou de meurtres de masse, des massacres lors de la guerre du Vietnam jusqu'aux attentats kamikazes. Le destin du refusant est inséparable de celui de l'exécuteur. Il est, si l'on peut dire, un criminel potentiel qui refuse de le devenir. Ce qu'il veut, c'est ne pas faire partie de la scène de meurtre, ne pas être impliqué dans la commission des horreurs que cela implique. Il s'exprime par la négative : « on ne fait pas ça à des gens », en référence à ceux qui, eux, « font ça ». Cette manière de faire avec « ces gens » ne lui convient pas. La ...
BASE
l'oubli des « refusants »
International audience ; Lorsqu'un chercheur croit avoir trouvé un objet de recherche nouveau, au sens où aucune publication ne lui a été consacré jus-que là et où il apparaît sur la scène de recherche pour la première fois en tant que tel, plusieurs interprétations de cette émergence sont possibles. Dans le cas que je voudrais développer ici, celui des « refusants », comme objet de recherche inédit, une interprétation s'impose : de nombreux chercheurs, qu'ils soient psychologues sociaux ou historiens par exemple, ont bien eu cette réalité sous les yeux, mais pour un certain nombre de raisons qui seront explorées dans cet article, ils ne l'ont pas vue, ou plus précisément ont oublié qu'ils l'ont vue. Ils ne l'ont donc pas traitée. Rappelons, avant d'entrer dans le vif du sujet, ce que l'on entend ici par « refusant » 1. On peut définir la refusance à partir de trois caractéristiques. D'abord il s'agit de quelqu'un qui se trouve impliqué directement, comme exécuteur (milicien, policier, soldat) dans une situation de crime de masse ou de génocide. Ensuite, bien que cette personne soit destinée à participer à la commission collective des meurtres, elle ne le fait pas, volontairement. Enfin, son refus ne s'appuie pas sur une idéologie ou un système de croyance, politique, humaniste ou religieuse ; ce n'est pas un résistant, son refus reste individuel et non prosélyte. On trouve des comportements de ce type sur tous les terrains de génocide (Front de l'Est, de 1941 à 1945, Rwanda) ou de meurtres de masse, des massacres lors de la guerre du Vietnam jusqu'aux attentats kamikazes. Le destin du refusant est inséparable de celui de l'exécuteur. Il est, si l'on peut dire, un criminel potentiel qui refuse de le devenir. Ce qu'il veut, c'est ne pas faire partie de la scène de meurtre, ne pas être impliqué dans la commission des horreurs que cela implique. Il s'exprime par la négative : « on ne fait pas ça à des gens », en référence à ceux qui, eux, « font ça ». Cette manière de faire avec « ces gens » ne lui convient pas. La ...
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L'oubli des «refusants»
In: Revue des sciences sociales, Band 44, Heft 1, S. 80-87
ISSN: 2107-0385
Forgetting the "refusers"
The question put forward in this article is to know why so little is said about those who have refused to carry out orders in situations of mass crimes and genocide. Although several authors have observed the phenomenon which we shall here call the "refusers" in their researches, we find very few works – or none at all – on the subject and it is surprising that this issue should have been more or less systematically left by the wayside. This article discusses the potential reasons for forgetting what is nonetheless a category of key figures.
Incompétences rhétoriques, incompétences démocratiques; Democratic incompetence, rhetoric incompetence
In: Questions de communication, Heft 12, S. 77-88
ISSN: 2259-8901