D'un krach à l'autre: instabilité et régulation des économies monétaires
In: Partage du savoir
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In: Partage du savoir
In: Revue économique, Band 49, Heft 2, S. 407-435
ISSN: 1950-6694
Résumé
In: Cahiers d'économie politique, Band 30, Heft 1, S. 123-146
La libéralisation financière a généré des comportements vis à vis de la liquidité qui engendrent une instabilité financière et réelle. Le concept de préférence pour la liquidité de J.M. Keynes permet d'en comprendre le mécanisme. Mais il faut le préciser : on montre d'une part qu'il doit être considéré comme une théorie de l'influence des anticipations de prix d'actifs sur la disponibilité des financements, et d'autre part que les comportements de précaution, jouent alors un rôle important.
Ceci fait, il est possible de proposer une explication financière endogène de l'instabilité conjoncturelle en comparant le rôle des banques et des marchés dans les dynamiques de la liquidité et en adoptant le point de vue selon lequel à la fois la quantité de monnaie (de crédit) et certains taux d'intérêt sont endogènes.
In: Journal of International Financial Markets, Institutions and Money, Vol. 40, No. 1, 2016
SSRN
International audience We show that single and multiple overlapping directorships of large French listed corporations are highly explained by their ownership connections. Both large and small stakes, from 1% to 20% of cash-flow rights or voting rights, have high explanatory power. We provide evidence also of the existence of a positive relationship between the size of a shareholding and the strength of the correlation between ownership ties and overlapping directorates. Finally, we demonstrate that causality goes from ownership to interlocking directorates, for both unilateral stakes and cross-shareholdings. ; Nous montrons que les liens de propriété entre les grandes sociétés françaises expliquent largement la présence d'administrateurs en commun, unique ou multiples, entre elles. Tant les grandes participations que les petites, de 1 % à 20 % du capital ou des droits de vote, ont un fort pouvoir explicatif. Nous montrons également qu'il existe une relation croissante entre la taille de la participation et la force de la corrélation entre les liens de propriété et l'existence d'administrateurs communs entre les sociétés. Finalement, nous montrons que la causalité va des liens de propriété aux réseaux d'administrateurs, tant pour les participations unilatérales que pour les participations croisées.
BASE
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 6, Heft 2, S. 19
ISSN: 1918-7475
In: Structural change and economic dynamics, Band 18, Heft 4, S. 409-437
ISSN: 1873-6017
In: Papers in Evolutionary Economic Geography, Forthcoming
SSRN
Working paper
In: Journal of evolutionary economics
ISSN: 1432-1386
In: Regional studies: official journal of the Regional Studies Association, Band 45, Heft 8, S. 1059-1078
ISSN: 1360-0591
In: Research Policy, Band 36, Heft 3, S. 367-386
In: Regional Studies
This paper analyses clusters from collaborative knowledge relations. Focusing on the interface of clusters and networks contributes to a better understanding of collaboration, within and across places and cognitive domains. We propose an empirical analysis of the Midi-Pyrenean GNSS (Global Navigation Satellite Systems) cluster. Using Social Network Analysis tools we discuss the results according to (i) the structural, technological and geographical dimensions of knowledge flows, (ii) the influence of particular organizations in the structure and (iii) the heterogeneity and complementarities of their position and role.
La prévision de croissance de l'OFCE est de 4,2 % pour l'année 2000 et 3,8 % pour l'année 2001. L'ensemble des composantes de la demande finale connaît une progression remarquable. La consommation des ménages s'accroît à un rythme élevé. Les achats des ménages sont dopés par les fortes créations d'emplois, par les baisses d'impôts effectives et annoncées, et par un accès aisé au crédit. Le commerce extérieur apporte un dynamisme supplémentaire dans un contexte de reprise de la demande mondiale et de compétitivité restaurée par l'appréciation du dollar. L'investissement des entreprises poursuit son mouvement de rattrapage amorcé après la « croissance molle » des années 1990. Le taux d'investissement atteint ainsi 18,1 % à la fin de l'année 2001.Les tensions inflationnistes ne se manifestent pas, grâce peut-être aux nouvelles technologies. La hausse de l'investissement permet une remontée des marges de capacité productive en 2001. Les tensions sur le marché du travail restent localisées à quelques secteurs et ne se traduisent pas par une reprise de l'inflation salariale. La politique de l'emploi continue à apporter un supplément important de créations d'emplois, essentiellement par l'intermédiaire de la réduction du temps de travail et des emplois-jeunes. Le chômage se réduit ainsi fortement et atteint 7,9 % de la population active à la fin de l'année 2001.
BASE
La prévision de croissance de l'OFCE est de 4,2 % pour l'année 2000 et 3,8 % pour l'année 2001. L'ensemble des composantes de la demande finale connaît une progression remarquable. La consommation des ménages s'accroît à un rythme élevé. Les achats des ménages sont dopés par les fortes créations d'emplois, par les baisses d'impôts effectives et annoncées, et par un accès aisé au crédit. Le commerce extérieur apporte un dynamisme supplémentaire dans un contexte de reprise de la demande mondiale et de compétitivité restaurée par l'appréciation du dollar. L'investissement des entreprises poursuit son mouvement de rattrapage amorcé après la « croissance molle » des années 1990. Le taux d'investissement atteint ainsi 18,1 % à la fin de l'année 2001.Les tensions inflationnistes ne se manifestent pas, grâce peut-être aux nouvelles technologies. La hausse de l'investissement permet une remontée des marges de capacité productive en 2001. Les tensions sur le marché du travail restent localisées à quelques secteurs et ne se traduisent pas par une reprise de l'inflation salariale. La politique de l'emploi continue à apporter un supplément important de créations d'emplois, essentiellement par l'intermédiaire de la réduction du temps de travail et des emplois-jeunes. Le chômage se réduit ainsi fortement et atteint 7,9 % de la population active à la fin de l'année 2001.
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La prévision de croissance de l'OFCE est de 4,2 % pour l'année 2000 et 3,8 % pour l'année 2001. L'ensemble des composantes de la demande finale connaît une progression remarquable. La consommation des ménages s'accroît à un rythme élevé. Les achats des ménages sont dopés par les fortes créations d'emplois, par les baisses d'impôts effectives et annoncées, et par un accès aisé au crédit. Le commerce extérieur apporte un dynamisme supplémentaire dans un contexte de reprise de la demande mondiale et de compétitivité restaurée par l'appréciation du dollar. L'investissement des entreprises poursuit son mouvement de rattrapage amorcé après la « croissance molle » des années 1990. Le taux d'investissement atteint ainsi 18,1 % à la fin de l'année 2001.Les tensions inflationnistes ne se manifestent pas, grâce peut-être aux nouvelles technologies. La hausse de l'investissement permet une remontée des marges de capacité productive en 2001. Les tensions sur le marché du travail restent localisées à quelques secteurs et ne se traduisent pas par une reprise de l'inflation salariale. La politique de l'emploi continue à apporter un supplément important de créations d'emplois, essentiellement par l'intermédiaire de la réduction du temps de travail et des emplois-jeunes. Le chômage se réduit ainsi fortement et atteint 7,9 % de la population active à la fin de l'année 2001.
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