The lingering crisis of youth unemployment
In: Children and youth services review: an international multidisciplinary review of the welfare of young people, Band 2, Heft 1-2, S. 213-216
ISSN: 0190-7409
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In: Children and youth services review: an international multidisciplinary review of the welfare of young people, Band 2, Heft 1-2, S. 213-216
ISSN: 0190-7409
In: Education and urban society, Band 14, Heft 3, S. 331-343
ISSN: 1552-3535
In: Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie, Band 12, Heft 2, S. 134-149
ISSN: 1755-618X
L'article présente une analyse du changement dans les taux de mobilité sociale et de réussite professionnelle chez 2137 hommes ontariens qui ont reçu le BA OU Ie BSC en 1960, 1964 et 1968. Malgré une certaine ambivalence dans les résultats, ceux‐ci confirme d'une façon générale les hypothèses suivantes: que la proportion des gradués universitaires récents qui sont susceptibles d'être en mobilité ascendante diminue et que cette diminution s'observe davantage chez les gradués provenant d'un niveau socioéconomique moyen que chez ceux venant d'un milieu inférieur. L'analyse porte également sur des hypothèses concernant l'effet de l'origine socioéconomique, de l'année de graduation, du domaine principal d'étude et de la formation postgraduée sur la réussite professionelle.This paper presents an analysis of the changing rates of social mobility and the changes in occupational attainment patterns of 2137 Ontario males who received BA or BSC degrees in 1960, 1964, and 1968. Although some findings are mixed, there is general support for hypotheses that a declining proportion of recent university graduates are likely to be upwardly mobile and that this decline will be more pronounced for graduates from middle level socioeconomic backgrounds than for those from lower socioeconomic backgrounds. Hypotheses relating the effect of socioeconomic background, year of graduation, major field of study, and postgraduate training on occupational attainment are also tested.
In: Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie, Band 12, Heft 4, S. 385-405
ISSN: 1755-618X
Une étude comparative est faite de la mobilité sociale et du niveau professionnel de 1905 femmes et de 2137 hommes qui ont gradué en sciences et en humanités en Ontario. Les résultats montrent que dans l'ensemble la mobilité professionnelle est moins fréquente chez les femmes que chez les hommes. Les transformations dans le marché du travail qui, au milieu des années soixante a eu un impact si favorable sur la mobilité masculine suivies par une baisse à la fin de la décade ont affecté les femmes d'une façon sembable, mais, pour elles, la force de l'impact vers le haut et vers le bas a été moins dramatique. L'explication présentée est basée sur la ségrégation professionnelle des sexes. Quant au niveau professionnel, les résultats montrent que les femmes atteignent leur plus haut niveau lorsqu'elles ont la possibilité de réussir de façon visible comme par des résultats académiques élevés et un grade en science. Des résultats académiques élevés et l'inscription à une école graduée sont encore plus importants pour les femmes d'origine socioéconomique peu élevée. Le nombre plus restreint d'avenues et une course plus ardue sont, concluent les auteurs, les propriétés essentielles de la mobilité et de la réussite professionnelle feminines.The social mobility and occupational attainment of 1905 female arts and science graduates in Ontario are studied in comparison to those of 2137 male colleagues. The findings show that over‐all fewer females experience upward occupational mobility than males. The labour market changes in the mid‐sixties, which had such a positive impact on male mobility followed by a downturn at the end of the decade, affected females in a similar fashion, but for them the degree of both upward and downward impact is less dramatic. The explanation offered is in terms of occupational sex segregation. In terms of occupational attainment, the findings indicate that females reach greatest attainment when the opportunity exists for them to succeed in visible ways such as high academic performance and graduating in science. For women from a low socioeconomic background high academic performance and attending graduate school are even more important. The authors conclude that fewer tracks and a harder race emerge as the essential properties of female mobility and occupational attainment patterns.