Mauricette Fournier (dir.), Rural writing. Geographical imaginary and expression of a new rationality
In: Etudes rurales: anthropologie, économie, géographie, histoire, sociologie ; ER, Heft 207, S. 238-240
ISSN: 1777-537X
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In: Etudes rurales: anthropologie, économie, géographie, histoire, sociologie ; ER, Heft 207, S. 238-240
ISSN: 1777-537X
In: L' observatoire: observatoire des politiques culturelles, Band 50, Heft 2, S. 51-53
ISSN: 2553-615X
L'auteur n'a pas fournit de résumé en anglais. ; Au cours du 20e siècle, la musique s'est affirmée comme un objet pertinent pour les géographies francophones et anglophones. Bien que ce constat s'accompagne aujourd'hui de publications nombreuses et variées, le sujet continue d'étonner à l'intérieur même de la discipline. Ce travail explore les causes d'un tel blocage. L'hypothèse suppose que l'affirmation de la musique comme objet géographique est responsable du paradoxe constaté. Si cette idée se vérifie lorsque la justification élaborée par les music geographers est à la source d'une forme d'inertie, elle montre surtout que l'enfermement d'un objet dans un sous-courant porte atteinte à sa liberté de circulation intradisciplinaire. Affirmer la pertinence du sujet sans pour autant restreindre l'objet à une sous-discipline implique alors la généralisation disciplinaire de la musique, puis sa pluridisciplinarisation. En guise de terrain, le flamenco illustre la complexité géographique d'un phénomène musical. La flamencologie historique s'est construite sur des oppositions et des incertitudes, principalement parce qu'elle a cherché à spécifier les caractéristiques de son objet. En travaillant le flamenco dans tous ses espaces, lieux et territoires, nous voyons qu'il fait converger divers points de vue, dans la tension ou dans la continuité. L'analyse des relations interspatiales permet de mieux saisir l'objet dans l'espace géographique. Ainsi, ses différentes dimensions (socioculturelle, économique et politique principalement) peuvent être réunies pour aborder les principes d'une action flamenca.
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L'auteur n'a pas fournit de résumé en anglais. ; Au cours du 20e siècle, la musique s'est affirmée comme un objet pertinent pour les géographies francophones et anglophones. Bien que ce constat s'accompagne aujourd'hui de publications nombreuses et variées, le sujet continue d'étonner à l'intérieur même de la discipline. Ce travail explore les causes d'un tel blocage. L'hypothèse suppose que l'affirmation de la musique comme objet géographique est responsable du paradoxe constaté. Si cette idée se vérifie lorsque la justification élaborée par les music geographers est à la source d'une forme d'inertie, elle montre surtout que l'enfermement d'un objet dans un sous-courant porte atteinte à sa liberté de circulation intradisciplinaire. Affirmer la pertinence du sujet sans pour autant restreindre l'objet à une sous-discipline implique alors la généralisation disciplinaire de la musique, puis sa pluridisciplinarisation. En guise de terrain, le flamenco illustre la complexité géographique d'un phénomène musical. La flamencologie historique s'est construite sur des oppositions et des incertitudes, principalement parce qu'elle a cherché à spécifier les caractéristiques de son objet. En travaillant le flamenco dans tous ses espaces, lieux et territoires, nous voyons qu'il fait converger divers points de vue, dans la tension ou dans la continuité. L'analyse des relations interspatiales permet de mieux saisir l'objet dans l'espace géographique. Ainsi, ses différentes dimensions (socioculturelle, économique et politique principalement) peuvent être réunies pour aborder les principes d'une action flamenca.
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Town and land planning injunction modes of the cultural event on the daily life city are increasing on a scale geography can't ignore. Already looked at from the economical and political point of view, the cultural and artistic activities in an urban environment open new tracks of reflection, particularly through the festive city. Sevilla's Feria is a strong historicity example which is marked by the globalization in the inescapable sense for this theme. It is, because of its own features, a representation of the ephemeral city at excellence, which has consequences on Sevilla's everyday life. ; Les modes d'injonction aménagistes et urbanistiques de l'événement culturel sur la ville du quotidien prennent une ampleur que la géographie ne peut ignorer. Déjà regardées sous un angle économique et politique, les activités culturelles et artistiques en milieu urbain ouvrent de nouvelles pistes de réflexion au travers notamment de la ville festive. La feria de Séville représente un exemple à l'historicité forte et marquée par la globalisation, au sens incontournable pour cette thématique. Elle est, de part ses caractéristiques propres, une représentation de la ville éphémère par excellence qui n'est pas sans conséquence sur la Séville du quotidien.
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Town and land planning injunction modes of the cultural event on the daily life city are increasing on a scale geography can't ignore. Already looked at from the economical and political point of view, the cultural and artistic activities in an urban environment open new tracks of reflection, particularly through the festive city. Sevilla's Feria is a strong historicity example which is marked by the globalization in the inescapable sense for this theme. It is, because of its own features, a representation of the ephemeral city at excellence, which has consequences on Sevilla's everyday life. ; Les modes d'injonction aménagistes et urbanistiques de l'événement culturel sur la ville du quotidien prennent une ampleur que la géographie ne peut ignorer. Déjà regardées sous un angle économique et politique, les activités culturelles et artistiques en milieu urbain ouvrent de nouvelles pistes de réflexion au travers notamment de la ville festive. La feria de Séville représente un exemple à l'historicité forte et marquée par la globalisation, au sens incontournable pour cette thématique. Elle est, de part ses caractéristiques propres, une représentation de la ville éphémère par excellence qui n'est pas sans conséquence sur la Séville du quotidien.
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Town and land planning injunction modes of the cultural event on the daily life city are increasing on a scale geography can't ignore. Already looked at from the economical and political point of view, the cultural and artistic activities in an urban environment open new tracks of reflection, particularly through the festive city. Sevilla's Feria is a strong historicity example which is marked by the globalization in the inescapable sense for this theme. It is, because of its own features, a representation of the ephemeral city at excellence, which has consequences on Sevilla's everyday life. ; Les modes d'injonction aménagistes et urbanistiques de l'événement culturel sur la ville du quotidien prennent une ampleur que la géographie ne peut ignorer. Déjà regardées sous un angle économique et politique, les activités culturelles et artistiques en milieu urbain ouvrent de nouvelles pistes de réflexion au travers notamment de la ville festive. La feria de Séville représente un exemple à l'historicité forte et marquée par la globalisation, au sens incontournable pour cette thématique. Elle est, de part ses caractéristiques propres, une représentation de la ville éphémère par excellence qui n'est pas sans conséquence sur la Séville du quotidien.
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Les mutations sociétales contemporaines semblent pousser dans le sens d'une homogénéisation de la culture, vers une massification des us et pratiques. L'émancipation des classes moyennes, de la mobilité individualisée, des échanges planétaires, les technologies de l'information et de la communication, l'idéalisation des modes de vie occidentaux., ont fortement réduit les volontés propres et potentialités induites de créativité. Pourtant, dans la réponse des territoires locaux à la globalisation, les concepts de spécificité et de particularisme s'affichent comme de nouveaux référentiels pour le développement. Décentralisation, principe de subsidiarité, émergence de la société civile et projets de territoire.l'action culturelle se territorialise dans un long processus participatif et gouvernant qui la rapproche des paradigmes de la durabilité. Toujours est-il que l'intégration de la culture comme pilier du développement durable est loin d'être démontrée malgré la multiplication des communiqués sur la question. Appui technique ou raison d'être, entre moyen d'action et fin du développement, les activités culturelles et artistiques sont plus que jamais le reflet symbolique des préoccupations sociétales. Après avoir voulu démontrer la pertinence de la notion de ressource territoriale dans l'émergence d'une certaine " authenticité culturelle " au sein des territoires, nous nous positionnerons pour un rassemblement positif entre action culturelle et politique publique au travers de l'effacement des jeux de contradiction souvent souhaité par les porteurs du développement culturel. Le postulat de départ veut que la culture soit présentée comme levier et indicateur du développement. L'hypothèse, en tentant de qualifier ce même développement de " durable ", positionne cette dernière comme dominante de l'action territoriale. En redéfinissant la place des comportements culturels dans le développement durable, nous tenterons de montrer comment l'intégration territoriale des pratiques artistiques et leur appropriation par les ...
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Les mutations sociétales contemporaines semblent pousser dans le sens d'une homogénéisation de la culture, vers une massification des us et pratiques. L'émancipation des classes moyennes, de la mobilité individualisée, des échanges planétaires, les technologies de l'information et de la communication, l'idéalisation des modes de vie occidentaux., ont fortement réduit les volontés propres et potentialités induites de créativité. Pourtant, dans la réponse des territoires locaux à la globalisation, les concepts de spécificité et de particularisme s'affichent comme de nouveaux référentiels pour le développement. Décentralisation, principe de subsidiarité, émergence de la société civile et projets de territoire.l'action culturelle se territorialise dans un long processus participatif et gouvernant qui la rapproche des paradigmes de la durabilité. Toujours est-il que l'intégration de la culture comme pilier du développement durable est loin d'être démontrée malgré la multiplication des communiqués sur la question. Appui technique ou raison d'être, entre moyen d'action et fin du développement, les activités culturelles et artistiques sont plus que jamais le reflet symbolique des préoccupations sociétales. Après avoir voulu démontrer la pertinence de la notion de ressource territoriale dans l'émergence d'une certaine " authenticité culturelle " au sein des territoires, nous nous positionnerons pour un rassemblement positif entre action culturelle et politique publique au travers de l'effacement des jeux de contradiction souvent souhaité par les porteurs du développement culturel. Le postulat de départ veut que la culture soit présentée comme levier et indicateur du développement. L'hypothèse, en tentant de qualifier ce même développement de " durable ", positionne cette dernière comme dominante de l'action territoriale. En redéfinissant la place des comportements culturels dans le développement durable, nous tenterons de montrer comment l'intégration territoriale des pratiques artistiques et leur appropriation par les ...
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Les mutations sociétales contemporaines semblent pousser dans le sens d'une homogénéisation de la culture, vers une massification des us et pratiques. L'émancipation des classes moyennes, de la mobilité individualisée, des échanges planétaires, les technologies de l'information et de la communication, l'idéalisation des modes de vie occidentaux., ont fortement réduit les volontés propres et potentialités induites de créativité. Pourtant, dans la réponse des territoires locaux à la globalisation, les concepts de spécificité et de particularisme s'affichent comme de nouveaux référentiels pour le développement. Décentralisation, principe de subsidiarité, émergence de la société civile et projets de territoire.l'action culturelle se territorialise dans un long processus participatif et gouvernant qui la rapproche des paradigmes de la durabilité. Toujours est-il que l'intégration de la culture comme pilier du développement durable est loin d'être démontrée malgré la multiplication des communiqués sur la question. Appui technique ou raison d'être, entre moyen d'action et fin du développement, les activités culturelles et artistiques sont plus que jamais le reflet symbolique des préoccupations sociétales. Après avoir voulu démontrer la pertinence de la notion de ressource territoriale dans l'émergence d'une certaine " authenticité culturelle " au sein des territoires, nous nous positionnerons pour un rassemblement positif entre action culturelle et politique publique au travers de l'effacement des jeux de contradiction souvent souhaité par les porteurs du développement culturel. Le postulat de départ veut que la culture soit présentée comme levier et indicateur du développement. L'hypothèse, en tentant de qualifier ce même développement de " durable ", positionne cette dernière comme dominante de l'action territoriale. En redéfinissant la place des comportements culturels dans le développement durable, nous tenterons de montrer comment l'intégration territoriale des pratiques artistiques et leur appropriation par les ...
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Les mutations sociétales contemporaines semblent pousser dans le sens d'une homogénéisation de la culture, vers une massification des us et pratiques. L'émancipation des classes moyennes, de la mobilité individualisée, des échanges planétaires, les technologies de l'information et de la communication, l'idéalisation des modes de vie occidentaux., ont fortement réduit les volontés propres et potentialités induites de créativité. Pourtant, dans la réponse des territoires locaux à la globalisation, les concepts de spécificité et de particularisme s'affichent comme de nouveaux référentiels pour le développement. Nous pensons alors qu'il existe, au travers de la notion de ressource territoriale, une extension des paradigmes de la durabilité qui fait corps avec la dérangeante question de l'authenticité. En s'appuyant sur des études relatives à la territorialisation des activités culturelles et artistiques, nous mettrons l'accent sur les pratiques quotidiennes, festives et religieuses des cultures locales et la mise en tourisme des leurs aspects souvent spectaculaires, exotiques et/ou porteur d'images et de représentations. Néo-patrimonialisation, folklorisation, muséification, apparaissent dès lors comme les causes, encore dépourvues d'une réflexion postmoderne, de ce que nous nommerons " risque culturel ". De la définition de l'UNESCO du patrimoine immatériel aux recherches sur l'intégration des gages d'une " authenticité " dans le tourisme culturel, nous apporterons des réponses basées sur un retour au pragmatisme, suivant par exemple les modèles de la réflexivité et de l'improvisation, comme suite logique du développement durable. La question se pose donc de la pérennisation d'une action culturelle localisée et de la rectification des problèmes viciés nés d'une implication politique, d'un excès de subjectivisme ou d'une pure mercantilisation.
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Les mutations sociétales contemporaines semblent pousser dans le sens d'une homogénéisation de la culture, vers une massification des us et pratiques. L'émancipation des classes moyennes, de la mobilité individualisée, des échanges planétaires, les technologies de l'information et de la communication, l'idéalisation des modes de vie occidentaux., ont fortement réduit les volontés propres et potentialités induites de créativité. Pourtant, dans la réponse des territoires locaux à la globalisation, les concepts de spécificité et de particularisme s'affichent comme de nouveaux référentiels pour le développement. Nous pensons alors qu'il existe, au travers de la notion de ressource territoriale, une extension des paradigmes de la durabilité qui fait corps avec la dérangeante question de l'authenticité. En s'appuyant sur des études relatives à la territorialisation des activités culturelles et artistiques, nous mettrons l'accent sur les pratiques quotidiennes, festives et religieuses des cultures locales et la mise en tourisme des leurs aspects souvent spectaculaires, exotiques et/ou porteur d'images et de représentations. Néo-patrimonialisation, folklorisation, muséification, apparaissent dès lors comme les causes, encore dépourvues d'une réflexion postmoderne, de ce que nous nommerons " risque culturel ". De la définition de l'UNESCO du patrimoine immatériel aux recherches sur l'intégration des gages d'une " authenticité " dans le tourisme culturel, nous apporterons des réponses basées sur un retour au pragmatisme, suivant par exemple les modèles de la réflexivité et de l'improvisation, comme suite logique du développement durable. La question se pose donc de la pérennisation d'une action culturelle localisée et de la rectification des problèmes viciés nés d'une implication politique, d'un excès de subjectivisme ou d'une pure mercantilisation.
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Les mutations sociétales contemporaines semblent pousser dans le sens d'une homogénéisation de la culture, vers une massification des us et pratiques. L'émancipation des classes moyennes, de la mobilité individualisée, des échanges planétaires, les technologies de l'information et de la communication, l'idéalisation des modes de vie occidentaux., ont fortement réduit les volontés propres et potentialités induites de créativité. Pourtant, dans la réponse des territoires locaux à la globalisation, les concepts de spécificité et de particularisme s'affichent comme de nouveaux référentiels pour le développement. Nous pensons alors qu'il existe, au travers de la notion de ressource territoriale, une extension des paradigmes de la durabilité qui fait corps avec la dérangeante question de l'authenticité. En s'appuyant sur des études relatives à la territorialisation des activités culturelles et artistiques, nous mettrons l'accent sur les pratiques quotidiennes, festives et religieuses des cultures locales et la mise en tourisme des leurs aspects souvent spectaculaires, exotiques et/ou porteur d'images et de représentations. Néo-patrimonialisation, folklorisation, muséification, apparaissent dès lors comme les causes, encore dépourvues d'une réflexion postmoderne, de ce que nous nommerons " risque culturel ". De la définition de l'UNESCO du patrimoine immatériel aux recherches sur l'intégration des gages d'une " authenticité " dans le tourisme culturel, nous apporterons des réponses basées sur un retour au pragmatisme, suivant par exemple les modèles de la réflexivité et de l'improvisation, comme suite logique du développement durable. La question se pose donc de la pérennisation d'une action culturelle localisée et de la rectification des problèmes viciés nés d'une implication politique, d'un excès de subjectivisme ou d'une pure mercantilisation.
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International audience ; Voilà plus de 20 ans qu'Alain Darré (1996) publiait son recueil d'articles intitulé Musique et politique. Les répertoires de l'identité. Depuis, il en a coulé de l'encre ! Et le rapport musique/politique a connu un traitement important. L'intégration des phénomènes culturels dans l'analyse des rapports sociaux, économiques et politiques, qualifiée de tournant culturel, allant de pair avec de nouvelles méthodologies et approches théoriques, témoigne de cet investissement d'un champ thématique par les sciences sociales. Dans ces principes fondateurs apparus aux États-Unis au cours des années 1980, la new musicology apparaît comme un bon exemple pour illustrer cette ouver-ture. Elle a su déplacer le centre d'intérêt de l'analyse musicologique stricto sensu, c'est-à-dire explicitement tourné vers la partition musicale, « vers des analyses de nature historique, politique, culturelle ou sociale » 1. Sans forcément s'inscrire dans une continuité épistémologique, l'apport de la géographie en la matière était d'ajouter la dimension spatiale à l'analyse politique de la musique. En géographie, des propositions éparses, sur lesquelles nous allons revenir, suivent ce mouvement, mais sans toujours réussir leur intégration interdisci-plinaire. Le tournant spatial et le tournant culturel n'apparaissent d'ailleurs 1
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International audience ; Voilà plus de 20 ans qu'Alain Darré (1996) publiait son recueil d'articles intitulé Musique et politique. Les répertoires de l'identité. Depuis, il en a coulé de l'encre ! Et le rapport musique/politique a connu un traitement important. L'intégration des phénomènes culturels dans l'analyse des rapports sociaux, économiques et politiques, qualifiée de tournant culturel, allant de pair avec de nouvelles méthodologies et approches théoriques, témoigne de cet investissement d'un champ thématique par les sciences sociales. Dans ces principes fondateurs apparus aux États-Unis au cours des années 1980, la new musicology apparaît comme un bon exemple pour illustrer cette ouver-ture. Elle a su déplacer le centre d'intérêt de l'analyse musicologique stricto sensu, c'est-à-dire explicitement tourné vers la partition musicale, « vers des analyses de nature historique, politique, culturelle ou sociale » 1. Sans forcément s'inscrire dans une continuité épistémologique, l'apport de la géographie en la matière était d'ajouter la dimension spatiale à l'analyse politique de la musique. En géographie, des propositions éparses, sur lesquelles nous allons revenir, suivent ce mouvement, mais sans toujours réussir leur intégration interdisci-plinaire. Le tournant spatial et le tournant culturel n'apparaissent d'ailleurs 1
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