What is the Point of (the Hundreds of Thousands of Billions of) Stock Transactions?
In: Comparative economic studies, Band 60, Heft 1, S. 15-33
ISSN: 1478-3320
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In: Comparative economic studies, Band 60, Heft 1, S. 15-33
ISSN: 1478-3320
In: Revue économique, Band 60, Heft 1, S. 157-171
ISSN: 1950-6694
Résumé Depuis le début des années 1970-1980, la sphère financière connaît un flot intense d'innovations et il existe un certain consensus aujourd'hui pour affirmer qu'elles ont globalement une incidence positive. Malgré tout, à chaque crise financière, le débat est relancé. En particulier, les produits dérivés, qui sont certainement les innovations financières les plus importantes des trente dernières années, suscitent de vives inquiétudes : les qualificatifs de « bête sauvage » ou d'« armes de destruction massive » leur collent à la peau. On a d'abord craint que les produits dérivés favorisent la volatilité, mais les études empiriques ne semblent pas valider ces soupçons. En revanche, la complexité des produits et la concentration des risques sont sources d'instabilité : augmentation de l'incertitude, de la fréquence et de l'ampleur des risques extrêmes, possibilité accrue de risque systémique.
In: Revue économique, Band 54, Heft 3, S. 663
ISSN: 1950-6694
In: Revue économique, Band 54, Heft 3, S. 663
ISSN: 1950-6694
SSRN
In: CEPR Covid Economics, 2020
SSRN
Working paper
In: Economic Notes, Band 45, Heft 1, S. 37-51
SSRN
In: Economic notes, Band 45, Heft 1, S. 37-51
ISSN: 1468-0300
We re‐examine empirically the finance–growth relationship. We argue that financial deepening should not only be assessed via the familiar measures of financial activity output—the volume of credit—but also through its inputs—for example, the relative number of employees in the financial industry—or the efficiency of the financial‐intermediation process. The latter is measured in this paper by the ratio of credit volume to the number of financial‐sector employees. We compare these measures using the econometric approach recommended by Roodman (). Overall, we fail to find a positive relationship between financial deepening and economic growth in OECD countries over the last 40 years.
Les données bancaires et financières forment un ensemble vaste et hétérogène. Dans aucun autre domaine d'activité on ne retrouve une telle variété de données, pas un secteur ne répond à autant de demandes de reporting, aucune industrie ne produit, ni ne consomme une telle masse de données. Et pourtant, ces données sont aujourd'hui largement inaccessibles pour un grand nombre d'utilisateurs, qu'ils soient chercheurs, économistes, conseillers financiers, journalistes, citoyens engagés ou simplement consommateurs de services bancaires et financiers. L'accès le plus large possible aux données doit être vu comme une mission de service public. Les bénéfices seraient nombreux, qu'il s'agisse de la recherche, de la mise en œuvre et du suivi des politiques publiques, de la stabilité financière, de l'information des consommateurs et de l'efficacité du marché. Plus fondamentalement encore, il s'agit de répondre à une demande sociale de transparence, et ce faisant de restaurer la confiance dans notre système bancaire et financier.Ce rapport est organisé en deux parties. La première présente la problématique d'ensemble, décrit les solutions envisageables en distinguant les données non-confidentielles et les données confidentielles ; cette partie se conclut par plusieurs recommandations. La seconde partie est organisée sous formes de compléments et donne libre champ aux parties prenantes, producteurs de bases de données (à savoir principalement les autorités de supervision financière, la Banque de France, l'ACPR et l'AMF) et utilisateurs (chercheurs, ou membres de la société civile). Ce rapport prône le libre accès aux données publiques et la transparence des procédures d'accès aux données confidentielles. Les recommandations s'articulent autour de deux axes : •rendre public ce qui peut l'être ;•améliorer les procédures d'accès aux données.
BASE
Les données bancaires et financières forment un ensemble vaste et hétérogène. Dans aucun autre domaine d'activité on ne retrouve une telle variété de données, pas un secteur ne répond à autant de demandes de reporting, aucune industrie ne produit, ni ne consomme une telle masse de données. Et pourtant, ces données sont aujourd'hui largement inaccessibles pour un grand nombre d'utilisateurs, qu'ils soient chercheurs, économistes, conseillers financiers, journalistes, citoyens engagés ou simplement consommateurs de services bancaires et financiers. L'accès le plus large possible aux données doit être vu comme une mission de service public. Les bénéfices seraient nombreux, qu'il s'agisse de la recherche, de la mise en œuvre et du suivi des politiques publiques, de la stabilité financière, de l'information des consommateurs et de l'efficacité du marché. Plus fondamentalement encore, il s'agit de répondre à une demande sociale de transparence, et ce faisant de restaurer la confiance dans notre système bancaire et financier.Ce rapport est organisé en deux parties. La première présente la problématique d'ensemble, décrit les solutions envisageables en distinguant les données non-confidentielles et les données confidentielles ; cette partie se conclut par plusieurs recommandations. La seconde partie est organisée sous formes de compléments et donne libre champ aux parties prenantes, producteurs de bases de données (à savoir principalement les autorités de supervision financière, la Banque de France, l'ACPR et l'AMF) et utilisateurs (chercheurs, ou membres de la société civile). Ce rapport prône le libre accès aux données publiques et la transparence des procédures d'accès aux données confidentielles. Les recommandations s'articulent autour de deux axes : •rendre public ce qui peut l'être ;•améliorer les procédures d'accès aux données.
BASE
Les données bancaires et financières forment un ensemble vaste et hétérogène. Dans aucun autre domaine d'activité on ne retrouve une telle variété de données, pas un secteur ne répond à autant de demandes de reporting, aucune industrie ne produit, ni ne consomme une telle masse de données. Et pourtant, ces données sont aujourd'hui largement inaccessibles pour un grand nombre d'utilisateurs, qu'ils soient chercheurs, économistes, conseillers financiers, journalistes, citoyens engagés ou simplement consommateurs de services bancaires et financiers. L'accès le plus large possible aux données doit être vu comme une mission de service public. Les bénéfices seraient nombreux, qu'il s'agisse de la recherche, de la mise en œuvre et du suivi des politiques publiques, de la stabilité financière, de l'information des consommateurs et de l'efficacité du marché. Plus fondamentalement encore, il s'agit de répondre à une demande sociale de transparence, et ce faisant de restaurer la confiance dans notre système bancaire et financier.Ce rapport est organisé en deux parties. La première présente la problématique d'ensemble, décrit les solutions envisageables en distinguant les données non-confidentielles et les données confidentielles ; cette partie se conclut par plusieurs recommandations. La seconde partie est organisée sous formes de compléments et donne libre champ aux parties prenantes, producteurs de bases de données (à savoir principalement les autorités de supervision financière, la Banque de France, l'ACPR et l'AMF) et utilisateurs (chercheurs, ou membres de la société civile). Ce rapport prône le libre accès aux données publiques et la transparence des procédures d'accès aux données confidentielles. Les recommandations s'articulent autour de deux axes : •rendre public ce qui peut l'être ;•améliorer les procédures d'accès aux données.
BASE
Les données bancaires et financières forment un ensemble vaste et hétérogène. Dans aucun autre domaine d'activité on ne retrouve une telle variété de données, pas un secteur ne répond à autant de demandes de reporting, aucune industrie ne produit, ni ne consomme une telle masse de données. Et pourtant, ces données sont aujourd'hui largement inaccessibles pour un grand nombre d'utilisateurs, qu'ils soient chercheurs, économistes, conseillers financiers, journalistes, citoyens engagés ou simplement consommateurs de services bancaires et financiers. L'accès le plus large possible aux données doit être vu comme une mission de service public. Les bénéfices seraient nombreux, qu'il s'agisse de la recherche, de la mise en œuvre et du suivi des politiques publiques, de la stabilité financière, de l'information des consommateurs et de l'efficacité du marché. Plus fondamentalement encore, il s'agit de répondre à une demande sociale de transparence, et ce faisant de restaurer la confiance dans notre système bancaire et financier.Ce rapport est organisé en deux parties. La première présente la problématique d'ensemble, décrit les solutions envisageables en distinguant les données non-confidentielles et les données confidentielles ; cette partie se conclut par plusieurs recommandations. La seconde partie est organisée sous formes de compléments et donne libre champ aux parties prenantes, producteurs de bases de données (à savoir principalement les autorités de supervision financière, la Banque de France, l'ACPR et l'AMF) et utilisateurs (chercheurs, ou membres de la société civile). Ce rapport prône le libre accès aux données publiques et la transparence des procédures d'accès aux données confidentielles. Les recommandations s'articulent autour de deux axes : •rendre public ce qui peut l'être ;•améliorer les procédures d'accès aux données.
BASE
SSRN
Working paper
In: CEPII Working Paper No. 2011–28
SSRN
Working paper
In: Review of financial economics: RFE, Band 17, Heft 1, S. 14-32
ISSN: 1873-5924
AbstractThis article assesses the relative importance of different types of news in driving significant stock price changes in the defense industry. We implement a systematic event study with the 58 largest publicly listed companies in the defense industry, over the time period 1995–2005. We first identify, for each firm, the statistically significant abnormal returns over the time period. Then, we look for information releases likely to cause such stock price movements. Most of the key drivers in the defense industry are the same as in other industries (key role of formal earnings announcements and analysts' recommendations) but we also identify some specific features, in particular the influence of geopolitical events and the relevance and frequency of bids and contracts on stock prices. Finally, we examine the impact of the September 11 terrorist attacks on defense firms.