De la Françafrique à la responsabilité sociale des entreprises: les dynamiques entre les firmes, l'etat et les mouvements sociaux en France
In: Marchés, entreprises et réglementation 6
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In: Marchés, entreprises et réglementation 6
In: Alternatives économiques
In: Entrprises et Soociété
International audience ; Face aux difficultés de comprendre la notion de « responsabilité dans le contexte de la RSE, le recours à la notion de « redevabilité » ( accountability en anglais) qui est liée à l'idée de dette, permet de mieux cerner les relations entreprises-société. Elle permet sur le plan pratique de définir les comportements attendus des entreprises devant les exigences de la société et sur le plan théorique de réconcilier les conceptions éthiques et politiques de la RSE.
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International audience ; Face aux difficultés de comprendre la notion de « responsabilité dans le contexte de la RSE, le recours à la notion de « redevabilité » ( accountability en anglais) qui est liée à l'idée de dette, permet de mieux cerner les relations entreprises-société. Elle permet sur le plan pratique de définir les comportements attendus des entreprises devant les exigences de la société et sur le plan théorique de réconcilier les conceptions éthiques et politiques de la RSE.
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International audience ; Face aux difficultés de comprendre la notion de « responsabilité dans le contexte de la RSE, le recours à la notion de « redevabilité » ( accountability en anglais) qui est liée à l'idée de dette, permet de mieux cerner les relations entreprises-société. Elle permet sur le plan pratique de définir les comportements attendus des entreprises devant les exigences de la société et sur le plan théorique de réconcilier les conceptions éthiques et politiques de la RSE.
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In: Economies et sociétés: cahiers de l'ISMEA. Série SG, Sciences de gestion, Band 47, Heft 8, S. 1225-1237
ISSN: 0013-0567
In: Projet: civilisation, travail, économie, Band 331, Heft 6, S. 56-59
ISSN: 2108-6648
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2101-2102, Heft 16, S. 5-67
La fin de l'année 2010 a été une période de négociation pour le renouvellement de l'accord interprofessionnel (AIP) pour les années 2011-2012. Le préaccord paraphé en janvier 2011 au Groupe des dix ne put cependant être signé par deux des trois organisations syndicales après consultation de leur base. Michel Capron retrace les étapes d'un processus qui commence dès le début de l'année 2010, lorsque les interlocuteurs sociaux font connaître leurs revendications. Le contexte politique, économique et social est plus complexe que lors de la conclusion de l'AIP précédent. Les effets de la récession pèsent encore sensiblement sur l'emploi et sur les salaires. La faible marge de manœuvre du gouvernement fédéral démissionnaire ne lui permet pas d'intervenir financièrement pour faciliter l'accord. L'OCDE, les agences de notation et certains États de la zone euro appuient le patronat dans sa demande de supprimer l'indexation des salaires. Les mesures anticrise ont mis à l'ordre du jour le rapprochement des statuts ouvrier et employé, qui sera, avec la marge salariale, le point d'achoppement sur lequel ont buté la FGTB et, plus étonnamment, la CGSLB. La médiation gouvernementale ne parvint pas à rapprocher les parties et le gouvernement a appliqué d'autorité la plupart des mesures prévues par le préaccord telles que revues par ses soins.
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2090-2091, Heft 5, S. 5-60
Les conflits sociaux dans les filiales belges des groupes AB Inbev, Carrefour et Brink's en 2010 et au début de 2011 ont fait la une de l'actualité socio-économique vu les objectifs et les stratégies mises en œuvre par les directions de ces filiales et par les organisations syndicales. Dans les cas d'AB Inbev et de Carrefour, ces conflits sont la suite de conflits antérieurs : il a donc paru utile de retracer l'évolution de ces groupes pour mieux situer les épisodes récents. Le cas de Brink's est lié à la décision des propriétaires américains de liquider une filiale devenue structurellement déficitaire. Dans les trois cas, les syndicats se sont opposés à des décisions patronales de restructuration, de délocalisation ou de fermeture destinées à améliorer la rentabilité de l'entreprise de manière à satisfaire aux exigences des actionnaires. Ces trois conflits sont marquants par l'opposition entre une intransigeance patronale plus ou moins appuyée et par des répliques syndicales plus pertinentes que dans certains conflits antérieurs. Marquant également, le nombre de travailleurs impliqués dans les manifestations et les piquets de grève dans les trois régions du pays. Même s'il y eut des divergences tactiques entre organisations syndicales, il est frappant de constater que les actions ont été généralement menées en front commun. La conclusion est centrée sur l'appréciation de l'issue des trois conflits, de l'évolution de l'attitude patronale et de l'efficacité des actions syndicales.
In: Revue de l'organisation responsable: Responsible Organization review, Band 6, Heft 1, S. 7
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2019, Heft 14, S. 5-40
L'accord interprofessionnel pour 2009-2010 conclu fin décembre 2008 est très marqué par l'aggravation soudaine du contexte socio-économique au moment même où les interlocuteurs sociaux devaient se réunir pour négocier. Tout au long de l'année, et déjà en mars 2008 à l'occasion de la formation du gouvernement Leterme I, la tension avait été vive entre eux. Michel Capron rappelle le cadre dans lequel s'exerce la liberté de négociation et le rôle qu'y joue le gouvernement fédéral : si les interlocuteurs sociaux s'entendent sur un projet d'accord, c'est en formulant parallèlement des demandes au gouvernement fédéral, qui doit tenir compte de sa politique budgétaire. L'auteur décrit les positions en présence et le déroulement des négociations en vue d'un accord que les interlocuteurs sociaux ont eux-mêmes qualifié d'« exceptionnel ». Il l'est en effet d'abord par l'intervention d'un médiateur, qui a remis en présence les interlocuteurs sociaux qui s'étaient séparés devant l'échec d'une première phase de négociation. Il l'est aussi par le montant particulièrement élevé de l'intervention financière du gouvernement fédéral, qui considère l'accord comme une pièce maîtresse de son propre Plan de relance de l'économie.
In: Vlaams marxistisch tijdschrift: VMT, Band 43, Heft 3, S. 97-98
In: Vlaams marxistisch tijdschrift: VMT, Band 43, Heft 2, S. 8-14
In: Vlaams marxistisch tijdschrift: VMT, Band 43, Heft 1, S. 38-43
In: Vlaams marxistisch tijdschrift: VMT, Band 42, Heft 4, S. 3-9