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Le coût du logement selon sa localisation
National audience ; Les prix d'achat et les loyers des logements varient fortement selon les départements et à l'intérieur de ceux-ci. L'économie urbaine explique ces variations par un arbitrage entre coût des migrations alternantes et coût foncier, ce qui est illustré à partir des coûts du logement en Île-de-France et selon la taille des pôles urbains. Une analyse respectant la condition « toutes choses égales par ailleurs » montre l'importance d'autres facteurs spatiaux dans l'explication des coûts, parmi lesquels la richesse de la commune et la qualité du voisinage sont les plus importants. Le logement a été source d'un accroissement des inégalités sociales/spatiales depuis vingt-cinq ans, ce qui appelle des politiques correctrices.
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Le coût du logement selon sa localisation
In: Informations Sociales 155 , 38-46. (2009)
Les prix d'achat et les loyers des logements varient fortement selon les départements et à l'intérieur de ceux-ci. L'économie urbaine explique ces variations par un arbitrage entre coût des migrations alternantes et coût foncier, ce qui est illustré à partir des coûts du logement en Île-de-France et selon la taille des pôles urbains. Une analyse respectant la condition « toutes choses égales par ailleurs » montre l'importance d'autres facteurs spatiaux dans l'explication des coûts, parmi lesquels la richesse de la commune et la qualité du voisinage sont les plus importants. Le logement a été source d'un accroissement des inégalités sociales/spatiales depuis vingt-cinq ans, ce qui appelle des politiques correctrices.
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Households' direct CO2 émissions according to location ; Les émissions directes de CO2 des ménages selon leur localisation
National audience ; Limiting direct emissions of carbon dioxide (CO2) by households is an important factor for achieving reductions in greenhouse gas emissions in compliance with the Kyoto Protocol and European policy. The two main sources of emissions are, in descending order, housing and commuting between home and the workplace or place of study. Average housing-related emissions are 3,150 kg of CO2 per year, reaching 4,200 kg of CO2 per year in mountain and semicontinental climates. Individual houses in urban centres, often old and with fuel-oil heating, emit more CO2 than peri-urban dwellings, which are more recent and often have 100% electric heating. Conversely, emissions from commuting are higher in peri-urban areas, where the needs for transport are greater but less transport services are on offer. ; Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre conformément à l'accord de Kyoto et à la politique de l'Union européenne, il est important de limiter les émissions directes de dioxyde de carbone (CO2) des ménages. Les deux sources principales de ces émissions sont, par ordre d'importance décroissante, les logements et les navettes vers le lieu de travail ou d'études. Les logements émettent en moyenne 3 150 kg de CO2 par an ; les émissions atteignent 4 200 kg de CO2 par an sous les climats montagnard et semi-continental. Les maisons individuelles des pôles urbains, souvent anciennes et chauffées au fioul, émettent plus de CO2 que celles du périurbain, plus récentes et souvent dotées d'un chauffage 100 % électrique. À l'inverse, les émissions liées aux navettes sont plus importantes dans le périurbain, où les besoins de transport sont importants mais l'offre de services de transports réduite.
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Les émissions directes de CO2 des ménages selon leur localisation
In: Le Point sur (Commissariat Général au Développement Durable) 137 , 1-4. (2012)
Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre conformément à l'accord de Kyoto et à la politique de l'Union européenne, il est important de limiter les émissions directes de dioxyde de carbone (CO2) des ménages. Les deux sources principales de ces émissions sont, par ordre d'importance décroissante, les logements et les navettes vers le lieu de travail ou d'études. Les logements émettent en moyenne 3 150 kg de CO2 par an ; les émissions atteignent 4 200 kg de CO2 par an sous les climats montagnard et semi-continental. Les maisons individuelles des pôles urbains, souvent anciennes et chauffées au fioul, émettent plus de CO2 que celles du périurbain, plus récentes et souvent dotées d'un chauffage 100 % électrique. À l'inverse, les émissions liées aux navettes sont plus importantes dans le périurbain, où les besoins de transport sont importants mais l'offre de services de transports réduite. ; Limiting direct emissions of carbon dioxide (CO2) by households is an important factor for achieving reductions in greenhouse gas emissions in compliance with the Kyoto Protocol and European policy. The two main sources of emissions are, in descending order, housing and commuting between home and the workplace or place of study. Average housing-related emissions are 3,150 kg of CO2 per year, reaching 4,200 kg of CO2 per year in mountain and semicontinental climates. Individual houses in urban centres, often old and with fuel-oil heating, emit more CO2 than peri-urban dwellings, which are more recent and often have 100% electric heating. Conversely, emissions from commuting are higher in peri-urban areas, where the needs for transport are greater but less transport services are on offer.
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Faut-il choisir entre égalité des territoires et développement économique
In: Vers l'égalité des territoires. Dynamiques, mesures, politiques.2013, 383-399
Les grandes agglomérations urbaines sont, comme elles l'ont toujours été, les moteurs de la compétitivité et de l'innovation, donc de la croissance économique : la concentration métropolitaine est vertueuse. Mais les inégalités sociales au sein des grandes villes sont aujourd'hui beaucoup plus fortes que celles entre régions. Il faut que l'effort public soit centré sur les personnes dont le seul tort est d'être nées dans des trappes à chômage et à délinquance. Comment ? La France a su, dans les années 1960, lutter contre les inégalités villes‑campagnes par un plan global et cohérent de modernisation de son agriculture, endormie depuis Méline et le règne de notables ruraux avides de subventions. De la même façon, le défi des politiques territoriales est aujourd'hui de former les jeunes des quartiers en déshérence et de les faire venir là où sont les innovations et le capital humain, par des politiques de logement et de mobilité adaptées.
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Faut-il choisir entre égalité des territoires et développement économique
Dans le rapport en ligne la pagination de ce chapitre va de la page 365 à 380 ; National audience ; Les grandes agglomérations urbaines sont, comme elles l'ont toujours été, les moteurs de la compétitivité et de l'innovation, donc de la croissance économique : la concentration métropolitaine est vertueuse. Mais les inégalités sociales au sein des grandes villes sont aujourd'hui beaucoup plus fortes que celles entre régions. Il faut que l'effort public soit centré sur les personnes dont le seul tort est d'être nées dans des trappes à chômage et à délinquance. Comment ? La France a su, dans les années 1960, lutter contre les inégalités villes‑campagnes par un plan global et cohérent de modernisation de son agriculture, endormie depuis Méline et le règne de notables ruraux avides de subventions. De la même façon, le défi des politiques territoriales est aujourd'hui de former les jeunes des quartiers en déshérence et de les faire venir là où sont les innovations et le capital humain, par des politiques de logement et de mobilité adaptées.
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Revenus et systèmes de production. L'élevage bovin dans le Charolais
National audience ; La production de viande bovine est l'un des grands secteurs concernés par les décisions de réforme du 21 mai 1992 ; celle-ci prévoit une baisse de 15 % du prix de la viande d'ici 1996, compensée par une forte revalorisation des primes à la vache allaitante et aux jeunes bovins mâles, dans la limite d'un niveau de chargement à l'hectare. L'effet de ces mesures variera selon les systèmes de production et les régions : les résultats de simulations micro-économiques d'exploitations-types par programmation linéaire présentés ici concernent la région charolaise.
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Revenus et systèmes de production. L'élevage bovin dans le Charolais
In: Productions Animales 1 (6), 79-81. (1993)
La production de viande bovine est l'un des grands secteurs concernés par les décisions de réforme du 21 mai 1992 ; celle-ci prévoit une baisse de 15 % du prix de la viande d'ici 1996, compensée par une forte revalorisation des primes à la vache allaitante et aux jeunes bovins mâles, dans la limite d'un niveau de chargement à l'hectare. L'effet de ces mesures variera selon les systèmes de production et les régions : les résultats de simulations micro-économiques d'exploitations-types par programmation linéaire présentés ici concernent la région charolaise.
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Des rentes classiques aux options de rentes. Une analyse de l'évolution du prix des terres en France
In: Revue économique, Band 47, Heft 4, S. 963
ISSN: 1950-6694
La ville périurbaine
In: Revue économique, Band 54, Heft 1, S. 5
ISSN: 1950-6694
Groupe de prospective sur l'avenir des espaces ruraux : rapport final
Quatre idées-clés 1. La prolongation des tendances actuelles implique une véritable transformation qualitative de l'espace rural français. La différenciation rapidement . accentuée des territoires est le résultat de la rétraction agricole, du boisement, du retournement du marché foncier, de l'étalement de l'urbanisation, du développement des besoins de loisir. 2. L'espace rural est une ressource, rare en Europe du "Nord", pour l'ensemble de la or' r _ société. La mise en valeur de cette ressource nécessite une croissance du potentiel humain, c'est-à-dire l'installation de nouveaux habitants et de nouvelles activités. 3. La faiblesse et la dépendance du monde rural appellent l'intervention énergique des moyens publics pour son développement. Mais les décisions politiques nécessaires procèdent d'abord de la prise de conscience de la société. 4. La renaissance rurale est nécessairement liée à la croissance économique globale et régionale : pas de campagnes dynamiques sans villes dynamiques. L'intégration ville-campagne est l'ardente obligation de l'aménagement du territoire.
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Groupe de prospective sur l'avenir des espaces ruraux : rapport final
Quatre idées-clés 1. La prolongation des tendances actuelles implique une véritable transformation qualitative de l'espace rural français. La différenciation rapidement . accentuée des territoires est le résultat de la rétraction agricole, du boisement, du retournement du marché foncier, de l'étalement de l'urbanisation, du développement des besoins de loisir. 2. L'espace rural est une ressource, rare en Europe du "Nord", pour l'ensemble de la or' r _ société. La mise en valeur de cette ressource nécessite une croissance du potentiel humain, c'est-à-dire l'installation de nouveaux habitants et de nouvelles activités. 3. La faiblesse et la dépendance du monde rural appellent l'intervention énergique des moyens publics pour son développement. Mais les décisions politiques nécessaires procèdent d'abord de la prise de conscience de la société. 4. La renaissance rurale est nécessairement liée à la croissance économique globale et régionale : pas de campagnes dynamiques sans villes dynamiques. L'intégration ville-campagne est l'ardente obligation de l'aménagement du territoire.
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Groupe de prospective sur l'avenir des espaces ruraux : rapport final
Quatre idées-clés 1. La prolongation des tendances actuelles implique une véritable transformation qualitative de l'espace rural français. La différenciation rapidement . accentuée des territoires est le résultat de la rétraction agricole, du boisement, du retournement du marché foncier, de l'étalement de l'urbanisation, du développement des besoins de loisir. 2. L'espace rural est une ressource, rare en Europe du "Nord", pour l'ensemble de la or' r _ société. La mise en valeur de cette ressource nécessite une croissance du potentiel humain, c'est-à-dire l'installation de nouveaux habitants et de nouvelles activités. 3. La faiblesse et la dépendance du monde rural appellent l'intervention énergique des moyens publics pour son développement. Mais les décisions politiques nécessaires procèdent d'abord de la prise de conscience de la société. 4. La renaissance rurale est nécessairement liée à la croissance économique globale et régionale : pas de campagnes dynamiques sans villes dynamiques. L'intégration ville-campagne est l'ardente obligation de l'aménagement du territoire.
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Groupe de prospective sur l'avenir des espaces ruraux : rapport final
Quatre idées-clés 1. La prolongation des tendances actuelles implique une véritable transformation qualitative de l'espace rural français. La différenciation rapidement . accentuée des territoires est le résultat de la rétraction agricole, du boisement, du retournement du marché foncier, de l'étalement de l'urbanisation, du développement des besoins de loisir. 2. L'espace rural est une ressource, rare en Europe du "Nord", pour l'ensemble de la or' r _ société. La mise en valeur de cette ressource nécessite une croissance du potentiel humain, c'est-à-dire l'installation de nouveaux habitants et de nouvelles activités. 3. La faiblesse et la dépendance du monde rural appellent l'intervention énergique des moyens publics pour son développement. Mais les décisions politiques nécessaires procèdent d'abord de la prise de conscience de la société. 4. La renaissance rurale est nécessairement liée à la croissance économique globale et régionale : pas de campagnes dynamiques sans villes dynamiques. L'intégration ville-campagne est l'ardente obligation de l'aménagement du territoire.
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