Moldau - Bessarabien - Transnistrien
In: Der Donauraum: Zeitschrift des Institutes für den Donauraum und Mitteleuropa, Band 36, Heft 3-4, S. 14-21
ISSN: 2307-289X
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In: Der Donauraum: Zeitschrift des Institutes für den Donauraum und Mitteleuropa, Band 36, Heft 3-4, S. 14-21
ISSN: 2307-289X
In: Materiaux pour l'histoire de notre temps, Band 71, Heft 1, S. 49-61
ISSN: 1952-4226
Matei Cazacu,
La disparition des Juifs de Roumanie
La communauté juive de Roumanie a été la plus importante de tous les États balkaniques. L'interdiction qui lui était fait de posséder de la terre en faisait un ensemble majoritairement citadin — commerçant, artisan et industriel —, différent du reste de la population roumaine majoritairement rurale et agricole. Dès l'entre-deux-guerres, elle a subi de très importantes persécutions. Pendant la guerre, si la population juive de Transylvanie, de Bukovine et de Bessarabie a été en grande partie exterminée, ce ne fut pas la cas des Juifs du «Vieux-Royaume» (Valachie et Moldavie), que les autorités roumaines préférèrent pressurer autant que possible. Si le communisme avait d'abord séduit de nombreux juifs, les conditions de vie de la Roumanie communiste leur ont été bientôt insupportables et ils ont massivement émigré principalement vers Israël. Aujourd'hui, il ne reste à peu près plus de Juifs en Roumanie.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 56, Heft 3, S. 757-759
ISSN: 1953-8146
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 34, Heft 1, S. 211-226
Мatei Cazacu, Familles de la noblesse roumaine au service de la Russie, XVe - XIXе siècles.
On peut distinguer trois phases dans le processus d'émigration en Russie d'individus ou de familles de la noblesse roumaine de Moldavie et de Valachie : 1. Du XVe à la première moitié du XVIIe siècle, il s'agit d'une période de contacts individuels, où les alliances matrimoniales seules justifient le départ de nobles roumains à Moscou ; 2. La période de Pierre le Grand - deuxième moitié du XVIIIe siècle - est l'époque de départs massifs (comme ce fut le cas des Moldaves en 1711 après la bataille du Prut), mais qui n'excluent pas les initiatives individuelles ; 3. Depuis la fin du XVIIIe siècle, la Russie occupe des provinces polonaises et roumaines (Bessarabie, en 1812), dont toute la noblesse, lorsqu'elle choisit de rester sur place, entre au service de la Russie.
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 30, Heft 3, S. 245-253
Matei Cazacu, L'emploi de gaz toxiques au XVIIIe siècle : le cas de la Russie.
Trois témoignages attestent que l'armée russe possédait effectivement des armes chimiques au XVIIIe siècle et qu'elle s'en servit au mois en une occasion. Ce fut lors des opérations d'un débarquement turc en Crimée (1787) que les Russes employèrent pour la première fois des gaz toxiques de combat contre les Turcs.
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 24, Heft 1, S. 7-41
Matei Cazacu, Aux sources de l'autocratie russe. Les influences roumaines et hongroises, XVe-XVIe siècles.
Les sources traditionnelles de l'autocratie moscovite aux XVe-XVIe siècles ont fait l'objet de recherches diverses qui ont souligné l'apport de la pensée politique de Byzance, de la Horde d'Or et même de l'Empire ottoman dans la structuration de l'arsenal idéologique des grands-princes, puis des tsars russes.
Le présent article se propose d'étudier deux autres sources possibles de l'idéologie russe, à savoir la théorie politique hongroise élaborée à la Cour de Mathias Corvin (1458-1490), d'une part, et, d'autre part, les traditions des Cours princières de Valachie et de Moldavie aux XVe-XVIe siècles.
On a choisi trois représentants russes de cette époque et analysé leurs oeuvres pour déceler l'apport hongrois et roumain : Fedor Kuricyn, l'auteur anonyme du Récit sur les princes de Vladimir, et Ivan Peresvetov.
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 15, Heft 3, S. 279-296
Matei Cazacu, A propos du récit russe Skazanie о Drakule voevode.
Le récit russe Skazanie о Drakule voevode, œuvre du d'jak Fedor Kuricyn, ambassadeur d'Ivan III à Bude dans les années 1482-83, occupe une place à part dans l'ancienne littérature russe. Inspiré par les récits écrits et oraux qui circulaient à Bude, en Transylvanie et en Moldavie sur le voïévode valaque Vlad l'Empaleur, connu aussi sous le nom de Dracula (1448, 1456-1462, 1476), le récit combine les traits propres aux ouvrages d'information sur les pays lointains et des éléments moralisateurs. Les déboires de la politique extérieure d'Ivan III — surtout dans ses relations avec la Horde d'Or — ont pu inciter Kuricyn à écrire cet ouvrage. Est mise en vedette la résistance du prince roumain face aux pressions de l'Empire ottoman.
In: Slavistische Forschungen 56
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 17, Heft 4, S. 495-538
Matei Cazacu et Kéram Kévonian, La chute de Caffa en 1475 à la lumière de nouveaux documents.
La chute de Caffa, en juin 1475, et l'établissement des Ottomans en Crimée sont déjà connus, non sans lacunes, par divers textes d'époque. Plusieurs documents nouveaux ou ignorés, sans fournir toutes les précisions voulues sur ces événements, permettent de les reconsidérer à travers le témoignage des principaux protagonistes : Génois, Turcs, Tartares, et Arméniens. Il s'agit, d'une part, des dernières instructions données à Gênes au consul de Caffa, d'un Feth-nâme décrivant la campagne du grand vizir ottoman et d'une supplique du khan de Crimée, tombé entre ses mains ; d'autre part, de différents textes arméniens contemporains ou tardifs : mentions extraites de chroniques ou de colophons, « Histoire des originaires d'Ani habitant Caffa », « Thrène sur la métropole de Caffa ».
In: Florilegium magistrorum historiae archaeologiaeque Antiquitatis et Medii Aevi 18
In: Connexe: les espaces postcommunistes en question(s), Band 2, S. 159-188
ISSN: 2673-2750