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This book analyses the functions, content, methods, findings and impact of social and cultural research carried out by the worldwide network of 16 international agricultural research centres of the CGIAR. It brings together the perspectives of 50 eminent scholars and social researchers from 30 countries working within the centres or in outside academic and development institutions. The contributions examine critically the priorities, strengths, and weaknesses of research on the sociostructural, behavioural, cultural and institutional variables of developing agriculture, forestry, livestock and fisheries. The studies focus on farmers' values, needs, knowledge, their patterns of social organization, issues of food security, natural resource management and poverty reduction. Alternative models of multidisciplinary research, reuniting biological, natural, economic and social sciences, are scrutinized in the light of experience and results, with emphasis on the nature of social science research as a source of international public goods and a key contributor to induced development. The book is intended for researchers of agricultural and rural development, economics, sociology, culture and anthropology. It has 22 chapters in addition to an editors' preface, and has a subject index.

Argues that the concept of sovereignty as responsibility is the single most important idea promoted by Roberta Cohen & Francis Deng in their groundbreaking books. Issues discussed include use of the concept of sovereignty as responsibility to defend the rights of internally displaced persons (IDPs); the gap between research on development-displacees & conflict-displacees; the increase in the number of development displacees; & the potential for the concept of sovereignty as responsibility to provide a theoretical & legal basis for programs to support IDPs, including those displaced by development projects. Adapted from the source document.

Résumé Beaucoup de projets de développement destinés à réduire la pauvreté finissent par l'accroître en déplaçant un grand nombre d'individus sans assurer durablement leur réinstallation. Comme des projets impliquant la réinstallation de populations déplacées continueront de voir le jour dans l'avenir, nous devrons approfondir sans cesse notre compréhension des déplacements forcés. L'auteur de cet article reconnaît les apports de la science économique en matière de compensation, mais lui reproche de s'intéresser seulement à la compensation des pertes, et d'employer souvent des méthodes inadéquates dans le cadre des projets qui entraînent des réinstallations. Il soutient que l'appauvrissement à la fois matériel et immatériel que subissent les individus déplacés dépasse de loin, par son ampleur, les possibilités de réparation qu'offrent les solutions limitées, fondées sur le principe de compensation, proposées par l'économie traditionnelle. Il indique les risques d'appauvrissement inhérents aux déplacements forcés. Il signale l'inadéquation qui existe entre les objectifs des politiques de réinstallation et les moyens qu'elles se donnent, et critique les méthodes d'évaluation économique et financière actuellement appliquées aux réinstallations. Il propose de passer à une économie axée sur la reconstitution des moyens d'existence des réinstallés, – ce qui suppose non seulement la compensation des pertes, mais aussi des investissements en faveur du développement. La sociologie, l'anthropologie et l'économie doivent, selon lui, réunir les connaissances qu'elles ont acquises sur l'appauvrissement des populations déplacées, sur ses causes, ses effets et les moyens d'y remédier.