Soziologie und Nationalsozialismus: Positionen, Debatten, Perspektiven
In: Suhrkamp-Taschenbuch Wissenschaft 2129
In: Suhrkamp-E-Books
In: Kultur- und Sozialwissenschaft
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In: Suhrkamp-Taschenbuch Wissenschaft 2129
In: Suhrkamp-E-Books
In: Kultur- und Sozialwissenschaft
In: Aus Politik und Zeitgeschichte: APuZ, Band 67, Heft 4, S. 9-15
ISSN: 0479-611X
In: Soziologie und Nationalsozialismus: Positionen, Debatten, Perspektiven, S. 332-364
In: Gewalt: ein interdisziplinäres Handbuch, S. 371-378
Im Rahmen des interdisziplinären Handbuchs zur Gewalt beschäftigt sich der Beitrag mit dem Thema Gewalt aus einer soziologischen Perspektive. Dabei geht der Beitrag zunächst auf die Konjunkturen der Gewaltforschung innerhalb der Soziologie ein und betrachtet anschließend die Debatte um eine genuine Soziologie der Gewalt. Ein weiteres Themenfeld, dass der Beitrag in diesem Zusammenhang betrachtet, betrifft den soziologischen Diskurs um Gewalt und Moderne sowie um Gewalt und Zivilisation. Nach dem Hinweis, dass der soziologischen Gewaltforschung kein auch nur annähernd einheitliches Forschungsparadigma zugrunde liegt skizziert der Beitrag den soziologischen Diskurs um den Begriff der Gewalt. Abschließend verweist der Beitrag auf einige Forschungsdefizite der soziologischen Gewaltforschung. (ICA2)
In: Fischer 19185
In: Die Zeit des Nationalsozialismus
In: Fischer 16732
In: Die Zeit des Nationalsozialismus
Überblick über ein hochbrisantes Thema. Auf den globalen Schauplätzen oder auf dem Schulhof nebenan, Gewalt ist hier wie dort gegenwärtig und wird in den Medien intensiv diskutiert. Was verbirgt sich hinter dem Begriff Gewalt ? Woraus erwächst Gewalt und wie äußert sie sich? Welches sind die Umstände und Ursachen? Von der Anthropologie bis zu den Sportwissenschaften: Der Band zeigt den Gewalt-Diskurs aus unterschiedlichen wissenschaftlichen Perspektiven. Mit einem ausführlichen Kapitel über die Darstellung von Gewalt in Kunst und Medien
In: TATuP - Zeitschrift für Technikfolgenabschätzung in Theorie und Praxis / Journal for Technology Assessment in Theory and Practice, Band 31, Heft 2, S. 70-73
In: The journal of holocaust research, Band 33, Heft 3, S. 191-211
ISSN: 2578-5656
In: Emulations: revue étudiante de sciences sociales, Heft 12, S. 51-65
ISSN: 1784-5734
En se penchant sur l'occupation de la ville ukrainienne de Berditchev et le meurtre de 18.000 habitants juifs par des SS et des policiers allemands, cet article examine les transformations de l'espace au travers de la violence de masse autant en termes sociaux que topographiques. Immédiatement après avoir pris la ville, les Allemands commencent à utiliser l'espace en le restructurant et en le modelant en fonction de leurs intérêts. Le parc du centre-ville se mue en cimetière pour les soldats allemands tombés durant la prise de la ville. Les écoles servent de zone d'accueil pour les troupes de la Wehrmacht, tandis que les habitants doivent quitter leur maison pour laisser place aux militaires et au personnel civil allemand. Tous les Juifs sont forcés de se déplacer dans les quartiers les plus pauvres et les plus sales, avant d'être rassemblés, assassinés et enterrés dans le voisinage immédiat de la ville. Dans l'étude de ces pratiques d'occupation et d'annihilation, cet article s'interroge en même temps sur la manière dont les Juifs et les Ukrainiens y réagissent. Il montre comment la ville de Berditchev est devenue la ville allemande de Berditschew, en soutenant que les transformations spatiales dans leur dimension sociale et topographique ont été parallèlement produites par tous les groupes, et en quoi ils ont été l'objet de nouvelles assignations et appropriations par tous.
Examining the occupation of the Ukrainian city of Berdichev and the murder of some 18,000 Jewish inhabitants by German SS and police, this paper explores the transformation of space in both social and topographical terms by means of mass violence. Immediately after they had seized the town, the Germans started to use the location for their interests, thus restructuring and remodeling it. For example, the park in the city center was transformed into a cemetery for German soldiers killed in action during the conquest, schools gave shelter to Wehrmacht troops, townspeople had to leave their houses for German military and civil personnel, and all Jews were forced to move to the poorest and dirtiest neighborhood before they were rounded up, shot, and buried in the immediate vicinity of the town. This paper focuses on these practices of occupation and annihilation and asks how Jews and Ukrainians reacted to them, thus taking all agents into account. It shows how the city of Berdichev turned step by step to the German city of Berditschew, arguing that social and topographical spaces were created separately by all groups and at the same time all groups participated in mutual naming and appropriation. ; En se penchant sur l'occupation de la ville ukrainienne de Berditchev et le meurtre de 18.000 habitants juifs par des SS et des policiers allemands, cet article examine les transformations de l'espace au travers de la violence de masse autant en termes sociaux que topographiques. Immédiatement après avoir pris la ville, les Allemands commencent à utiliser l'espace en le restructurant et en le modelant en fonction de leurs intérêts. Le parc du centre-ville se mue en cimetière pour les soldats allemands tombés durant la prise de la ville. Les écoles servent de zone d'accueil pour les troupes de la Wehrmacht, tandis que les habitants doivent quitter leur maison pour laisser place aux militaires et au personnel civil allemand. Tous les Juifs sont forcés de se déplacer dans les quartiers les plus pauvres et les plus sales, avant d'être rassemblés, assassinés et enterrés dans le voisinage immédiat de la ville. Dans l'étude de ces pratiques d'occupation et d'annihilation, cet article s'interroge en même temps sur la manière dont les Juifs et les Ukrainiens y réagissent. Il montre comment la ville de Berditchev est devenue la ville allemande de Berditschew, en soutenant que les transformations spatiales dans leur dimension sociale et topographique ont été parallèlement produites par tous les groupes, et en quoi ils ont été l'objet de nouvelles assignations et appropriations par tous.
BASE
In: Soziologie und Nationalsozialismus: Positionen, Debatten, Perspektiven, S. 13-34