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AbstractWhereas some authors have suggested that organizational commitment might have a buffering effect on stressor‐strain relations, others have suggested that commitment may exacerbate these relations. We examined the potential moderating effect of different forms of organizational commitment on relations between role ambiguity (a particular form of stressor) and job tension (an outcome of stress) in an organization that was undergoing significant change. We surveyed 225 individuals working for a public‐sector organization that was being partially privatized. Results supported the hypothesis that continuance commitment exacerbates relations between role ambiguity and job tension. Contrary to our hypothesis, affective commitment also exacerbated these relations.RésuméAlors que certains auteurs laissent entendre que l'engagement organisationnel aurait un effet tampon sur les relations entre les agents stressants et la tension (stressor‐strain relations), d'autres suggèrent que l'engagement peut exacerber ces rapports. Nous avons examiné l'effet modérateur que peuvent avoir différents types d'engagement organisationnel sur les relations entre l'ambiguïte du rôle (un genre particulier d'agent stressant) et la tension au travail (un résultat du stress) au sein d'un organisme subissant des changements profonds. Nous avons effectué un sondage auprès de 225 personnes travaillant au sein d'un organisme du secteur public qui était en voie d'être privatisé. Les résultats ont confirmé l'hypothèse suggérant que l'engagement de continuité (continuance commitment) exacerbe les relations entre l'ambiguïté du rôle et la tension au travail. Contrairement è notre hypothèse, l'engagement affectif (affective commitment) a également exacerbé ces relations.

AbstractStudies investigating the relationship between various psychological variables (i.e. organizational commitment, job involvement and job satisfaction) and absenteeism, have generally yielded either weak or conflicting results. Based on the literature that documents the influence of weather on moods and other behaviour, and on intuitive expectations, this paper explores the relationship between weather and absenteeism. The results show that "poor" weather, particularly low temperatures, is related to higher rates of absenteeism and the relationship differs across the seasons. Implications for future research are discussed.RésuméLes études évaluant les relations entre différentes variables psychologiques (c'est‐à‐dire l'engagement envers l'organisation, l'implication dans le travail, la satisfaction au travail) et l'absentéisme, ont généralement donné des résultats ou faibles ou contradictoires. Cet article, fondé sur la littérature qui concerne l'influence du climat sur les humeurs et sur d'autres comportements, aussi que sur certaines intuitions, explore la relation entre les variations météorologiques et l'absentéisme. II en resulte que de mauvaises conditions météorologiques, en particulier des températures basses, sont reliées à des taux plus élevés d'absentéisme et que la relation varie avec les saisons. On en tire des implications pour des recherches à venir.

AbstractA survey was sent to the heads of all business schools in Canada to gather their views on the desirability of possessing American Assembly of Collegiate Schools of Business (AACSB) accreditation and the desirability of forming a Canadian accrediting agency. Responses were received from 26 business school heads, representing slightly more than 50 per cent of the population of Canadian university based business schools. Results show negative opinions toward accreditation in general, and toward AACSB accreditation in particular.RésuméUn questionnaire a été envoyé à tous les directeurs d'écoles commerciales du Canada afin de connaǐtre leurs points de vue sur les avantages de l'accréditation de l'American Assembly of Collegiate Schools of Business (AACSB) et de la mise sur pied d'une agence d'accréditation canadienne. Vingt‐six directeurs d'écoles commerciales ont répondu au questionnaire, ce qui représente un peu plus de 50 p. 100 de la population des écoles commerciales rattachées à une université canadienne. Les résultats révèlent que l'ensemble des répondants sont contre l'accréditation, et plus particulièrement contre l'accréditation de l'AACSB.