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International audience ; génère des tensions liées à l'accès à une eau potable. Il est donc devenu urgent de sécuriser l'approvisionnement en eau potable des différents centres urbains de ces États souvent confrontés à une situation de sécheresse endémique et de stress hydrique. Les prélèvements importants des agglomérations comme Dakar ou Nouakchott ont poussé le Sénégal et la Mauritanie à initier des politiques centrées sur le transfert interbassin de l'eau. La maitrise progressive du fleuve Sénégal permet, depuis 1986, de garantir un accès durable en eau potable des centres urbains situés dans la vallée et hors de son bassin. Les résultats montrent que ces transferts interbassins contribuent, à partir d'une ressource certes transfrontalière, mais maitrisée (fleuve Sénégal), à la sécurité en eau des centres urbains alors que les ressources en eau souterraine se dégradent tant quantitativement que qualitativement. Par ailleurs, ces transferts ont amélioré l'accès à l'eau potable de la ville de Nouakchott, au contraire de la ville de Dakar. Pour cette dernière, d'importants investissements sont encore consentis (KMS3) pour sécuriser l'accès à l'eau potable des populations. Par ailleurs, les projets de transferts d'eau interbassin ont généré des tensions et des controverses entre la Mauritanie et le Sénégal. Cette situation a permis à l'OMVS de mettre en place des outils de régulation des allocations de l'eau entre les États tout en plaçant l'AEP comme usager stratégique.

International audience ; génère des tensions liées à l'accès à une eau potable. Il est donc devenu urgent de sécuriser l'approvisionnement en eau potable des différents centres urbains de ces États souvent confrontés à une situation de sécheresse endémique et de stress hydrique. Les prélèvements importants des agglomérations comme Dakar ou Nouakchott ont poussé le Sénégal et la Mauritanie à initier des politiques centrées sur le transfert interbassin de l'eau. La maitrise progressive du fleuve Sénégal permet, depuis 1986, de garantir un accès durable en eau potable des centres urbains situés dans la vallée et hors de son bassin. Les résultats montrent que ces transferts interbassins contribuent, à partir d'une ressource certes transfrontalière, mais maitrisée (fleuve Sénégal), à la sécurité en eau des centres urbains alors que les ressources en eau souterraine se dégradent tant quantitativement que qualitativement. Par ailleurs, ces transferts ont amélioré l'accès à l'eau potable de la ville de Nouakchott, au contraire de la ville de Dakar. Pour cette dernière, d'importants investissements sont encore consentis (KMS3) pour sécuriser l'accès à l'eau potable des populations. Par ailleurs, les projets de transferts d'eau interbassin ont généré des tensions et des controverses entre la Mauritanie et le Sénégal. Cette situation a permis à l'OMVS de mettre en place des outils de régulation des allocations de l'eau entre les États tout en plaçant l'AEP comme usager stratégique.

International audience ; génère des tensions liées à l'accès à une eau potable. Il est donc devenu urgent de sécuriser l'approvisionnement en eau potable des différents centres urbains de ces États souvent confrontés à une situation de sécheresse endémique et de stress hydrique. Les prélèvements importants des agglomérations comme Dakar ou Nouakchott ont poussé le Sénégal et la Mauritanie à initier des politiques centrées sur le transfert interbassin de l'eau. La maitrise progressive du fleuve Sénégal permet, depuis 1986, de garantir un accès durable en eau potable des centres urbains situés dans la vallée et hors de son bassin. Les résultats montrent que ces transferts interbassins contribuent, à partir d'une ressource certes transfrontalière, mais maitrisée (fleuve Sénégal), à la sécurité en eau des centres urbains alors que les ressources en eau souterraine se dégradent tant quantitativement que qualitativement. Par ailleurs, ces transferts ont amélioré l'accès à l'eau potable de la ville de Nouakchott, au contraire de la ville de Dakar. Pour cette dernière, d'importants investissements sont encore consentis (KMS3) pour sécuriser l'accès à l'eau potable des populations. Par ailleurs, les projets de transferts d'eau interbassin ont généré des tensions et des controverses entre la Mauritanie et le Sénégal. Cette situation a permis à l'OMVS de mettre en place des outils de régulation des allocations de l'eau entre les États tout en plaçant l'AEP comme usager stratégique.

International audience ; génère des tensions liées à l'accès à une eau potable. Il est donc devenu urgent de sécuriser l'approvisionnement en eau potable des différents centres urbains de ces États souvent confrontés à une situation de sécheresse endémique et de stress hydrique. Les prélèvements importants des agglomérations comme Dakar ou Nouakchott ont poussé le Sénégal et la Mauritanie à initier des politiques centrées sur le transfert interbassin de l'eau. La maitrise progressive du fleuve Sénégal permet, depuis 1986, de garantir un accès durable en eau potable des centres urbains situés dans la vallée et hors de son bassin. Les résultats montrent que ces transferts interbassins contribuent, à partir d'une ressource certes transfrontalière, mais maitrisée (fleuve Sénégal), à la sécurité en eau des centres urbains alors que les ressources en eau souterraine se dégradent tant quantitativement que qualitativement. Par ailleurs, ces transferts ont amélioré l'accès à l'eau potable de la ville de Nouakchott, au contraire de la ville de Dakar. Pour cette dernière, d'importants investissements sont encore consentis (KMS3) pour sécuriser l'accès à l'eau potable des populations. Par ailleurs, les projets de transferts d'eau interbassin ont généré des tensions et des controverses entre la Mauritanie et le Sénégal. Cette situation a permis à l'OMVS de mettre en place des outils de régulation des allocations de l'eau entre les États tout en plaçant l'AEP comme usager stratégique.

International audience ; génère des tensions liées à l'accès à une eau potable. Il est donc devenu urgent de sécuriser l'approvisionnement en eau potable des différents centres urbains de ces États souvent confrontés à une situation de sécheresse endémique et de stress hydrique. Les prélèvements importants des agglomérations comme Dakar ou Nouakchott ont poussé le Sénégal et la Mauritanie à initier des politiques centrées sur le transfert interbassin de l'eau. La maitrise progressive du fleuve Sénégal permet, depuis 1986, de garantir un accès durable en eau potable des centres urbains situés dans la vallée et hors de son bassin. Les résultats montrent que ces transferts interbassins contribuent, à partir d'une ressource certes transfrontalière, mais maitrisée (fleuve Sénégal), à la sécurité en eau des centres urbains alors que les ressources en eau souterraine se dégradent tant quantitativement que qualitativement. Par ailleurs, ces transferts ont amélioré l'accès à l'eau potable de la ville de Nouakchott, au contraire de la ville de Dakar. Pour cette dernière, d'importants investissements sont encore consentis (KMS3) pour sécuriser l'accès à l'eau potable des populations. Par ailleurs, les projets de transferts d'eau interbassin ont généré des tensions et des controverses entre la Mauritanie et le Sénégal. Cette situation a permis à l'OMVS de mettre en place des outils de régulation des allocations de l'eau entre les États tout en plaçant l'AEP comme usager stratégique.

International audience ; Dans le bassin du fleuve Sénégal, les politiques d'aménagement du territoire sont mises en œuvre, depuis les indépendances, dans le cadre d'une coopération transfrontalière (bassin partagé). Cette vision politique est au cœur d'un processus de maîtrise de l'eau douce à travers une modernisation hydraulique à différentes échelles (grands barrages sur le fleuve lui-même, petits barrages de régulation hydraulique sur des affluents ou des défluents, projets d'irrigation, etc.). Cette démarche proactive devrait permettre d'atteindre un double objectif : d'une part une autosuffisance alimentaire en riz pour le Sénégal et, d'autre part un recul de la pauvreté rurale à l'échelle des communautés villageoises. Cet article tente de montrer, au travers de l'analyse de la riziculture irriguée développée dans le delta du Sénégal (pratiques culturales et pratiques sociales ou sociétales intriquées), comment des politiques d'aménagement du territoire associées au développement de l'irrigation, initialement dans des cuvettes topographiques, ont permis l'émergence d'innovations sociales et de nouveaux espaces de pouvoir par une appropriation « hybride «(appropriation locale d'une technologie importée) de la modernité agricole.

International audience ; Dans le bassin du fleuve Sénégal, les politiques d'aménagement du territoire sont mises en œuvre, depuis les indépendances, dans le cadre d'une coopération transfrontalière (bassin partagé). Cette vision politique est au cœur d'un processus de maîtrise de l'eau douce à travers une modernisation hydraulique à différentes échelles (grands barrages sur le fleuve lui-même, petits barrages de régulation hydraulique sur des affluents ou des défluents, projets d'irrigation, etc.). Cette démarche proactive devrait permettre d'atteindre un double objectif : d'une part une autosuffisance alimentaire en riz pour le Sénégal et, d'autre part un recul de la pauvreté rurale à l'échelle des communautés villageoises. Cet article tente de montrer, au travers de l'analyse de la riziculture irriguée développée dans le delta du Sénégal (pratiques culturales et pratiques sociales ou sociétales intriquées), comment des politiques d'aménagement du territoire associées au développement de l'irrigation, initialement dans des cuvettes topographiques, ont permis l'émergence d'innovations sociales et de nouveaux espaces de pouvoir par une appropriation « hybride «(appropriation locale d'une technologie importée) de la modernité agricole.

International audience ; Dans le bassin du fleuve Sénégal, les politiques d'aménagement du territoire sont mises en œuvre, depuis les indépendances, dans le cadre d'une coopération transfrontalière (bassin partagé). Cette vision politique est au cœur d'un processus de maîtrise de l'eau douce à travers une modernisation hydraulique à différentes échelles (grands barrages sur le fleuve lui-même, petits barrages de régulation hydraulique sur des affluents ou des défluents, projets d'irrigation, etc.). Cette démarche proactive devrait permettre d'atteindre un double objectif : d'une part une autosuffisance alimentaire en riz pour le Sénégal et, d'autre part un recul de la pauvreté rurale à l'échelle des communautés villageoises. Cet article tente de montrer, au travers de l'analyse de la riziculture irriguée développée dans le delta du Sénégal (pratiques culturales et pratiques sociales ou sociétales intriquées), comment des politiques d'aménagement du territoire associées au développement de l'irrigation, initialement dans des cuvettes topographiques, ont permis l'émergence d'innovations sociales et de nouveaux espaces de pouvoir par une appropriation « hybride «(appropriation locale d'une technologie importée) de la modernité agricole.

International audience ; Dans le bassin du fleuve Sénégal, les politiques d'aménagement du territoire sont mises en œuvre, depuis les indépendances, dans le cadre d'une coopération transfrontalière (bassin partagé). Cette vision politique est au cœur d'un processus de maîtrise de l'eau douce à travers une modernisation hydraulique à différentes échelles (grands barrages sur le fleuve lui-même, petits barrages de régulation hydraulique sur des affluents ou des défluents, projets d'irrigation, etc.). Cette démarche proactive devrait permettre d'atteindre un double objectif : d'une part une autosuffisance alimentaire en riz pour le Sénégal et, d'autre part un recul de la pauvreté rurale à l'échelle des communautés villageoises. Cet article tente de montrer, au travers de l'analyse de la riziculture irriguée développée dans le delta du Sénégal (pratiques culturales et pratiques sociales ou sociétales intriquées), comment des politiques d'aménagement du territoire associées au développement de l'irrigation, initialement dans des cuvettes topographiques, ont permis l'émergence d'innovations sociales et de nouveaux espaces de pouvoir par une appropriation « hybride «(appropriation locale d'une technologie importée) de la modernité agricole.

International audience ; Dans le bassin du fleuve Sénégal, les politiques d'aménagement du territoire sont mises en œuvre, depuis les indépendances, dans le cadre d'une coopération transfrontalière (bassin partagé). Cette vision politique est au cœur d'un processus de maîtrise de l'eau douce à travers une modernisation hydraulique à différentes échelles (grands barrages sur le fleuve lui-même, petits barrages de régulation hydraulique sur des affluents ou des défluents, projets d'irrigation, etc.). Cette démarche proactive devrait permettre d'atteindre un double objectif : d'une part une autosuffisance alimentaire en riz pour le Sénégal et, d'autre part un recul de la pauvreté rurale à l'échelle des communautés villageoises. Cet article tente de montrer, au travers de l'analyse de la riziculture irriguée développée dans le delta du Sénégal (pratiques culturales et pratiques sociales ou sociétales intriquées), comment des politiques d'aménagement du territoire associées au développement de l'irrigation, initialement dans des cuvettes topographiques, ont permis l'émergence d'innovations sociales et de nouveaux espaces de pouvoir par une appropriation « hybride «(appropriation locale d'une technologie importée) de la modernité agricole.

In the Senegal river basin, spatial planning policies have been implemented, from independence, through cross-border cooperation (shared basin). This political vision is at the heart of a process of controlling fresh water through hydraulic modernisation at various scales (large dams on the river itself, small hydraulic regulating dams on tributaries or deflusions, irrigation projects, etc.). This proactive approach should achieve a twofold objective: on the one hand, food self-sufficiency in rice for Senegal and, on the other hand, a reduction in rural poverty across village communities. This article attempts to show, through the analysis of irrigated rice farming developed in the Senegalese Delta (indiscriminate cultivation and social or societal practices), how spatial planning policies associated with the development of irrigation, initially in topographical pans, have led to the emergence of social innovations and new areas of power through 'hybrid' ownership (local ownership of imported technology) of agricultural modernity. ; International audience ; In the Senegal river basin, spatial planning policies have been implemented, from independence, through cross-border cooperation (shared basin). This political vision is at the heart of a process of controlling fresh water through hydraulic modernisation at various scales (large dams on the river itself, small hydraulic regulating dams on tributaries or deflusions, irrigation projects, etc.). This proactive approach should achieve a twofold objective: on the one hand, food self-sufficiency in rice for Senegal and, on the other hand, a reduction in rural poverty across village communities. This article attempts to show, through the analysis of irrigated rice farming developed in the Senegalese Delta (indiscriminate cultivation and social or societal practices), how spatial planning policies associated with the development of irrigation, initially in topographical pans, have led to the emergence of social innovations and new areas of power through 'hybrid' ...

This paper utilizes a multi-level governance framework to explain how and at what scale climate adaptation, exemplified by flood risk management, was governed in the medium-scale city of Saint Louis, Senegal. It explores how this policy sector worked toward a "resilient city" pointing to gaps between governance as prescribed and as practiced. The paper suggests that strong coordination of climate change adaptation and flood risk management should take place at city level, reflecting the "place-based" character of these policy sectors. However, adaptation cannot be addressed successfully at any single geographic scale or by any one category of actor. Effective collaboration across politico-administrative boundaries at multiple scales is required in order to address tensions between competing policy agendas and tackle socio-spatial inequality and vulnerability. We found that public officials at the city and regional state level encouraged some degree of citizen participation in planning and input into adaptation. However, despite emerging networks for city-level coordination and capacity to adapt to flood risks among local residents, there were limitations in how higher-level government and institutions supported the lower levels in vertical and horizontal coordination. In particular, services and investments within poor and vulnerable settlements were lacking. This undermined the capability of municipal staff for local engagement and for diverse groups of residents to become really effective partners with the government in coproducing services required to enhance resilience. More so, it limited opportunities to bring local actions to scale—beyond the city boundaries and toward transitional adaptation and transformation. ; publishedVersion

The book presents results of CLUVA (CLimate Change and Urban Vulnerability in Africa), a large European Commission funded research project (2010-2013). The project aimed to develop a better understanding of the risks and impacts of climate change related hazards to African cities, assess their vulnerability to these risks, and identify innovative strategies for planning and governance to increase their resilience. For the first time, a systematic and groundbreaking study of this kind was applied in an inter- and trans-disciplinary approach. CLUVA was unique in that it combined: a top-down perspective of climate change modeling with a bottom-up perspective of vulnerability assessment; quantitative approaches from engineering sciences and qualitative approaches of the social sciences; a novel multi-risk modeling methodology; strategic approaches to urban and green infrastructure planning with neighborhood perspectives of adaptation. The book broadly follows the approach taken in the CLUVA project. First, the combined pressures of urbanisation and climate change on the African continent and the potential impacts these will have on cities are illustrated. Then, the vulnerability of three main elements of the urban system is explored: built structures and infrastructures, urban ecosystems and people. Rich material from five case studies is provided for in-depth discussion of the factors that make these elements vulnerable to climate change, while alternatives for increasing their adaptive capacity are outlined. Another section is dedicated to the role of urban planning and governance for climate change adaptation, which is approached from diverse perspectives. Finally, the different dimensions of the CLUVA project are synthesised to develop an outlook on future coping strategies for urbanisation and climate change in African cities. Leading researchers in the fields of vulnerability and urban planning have been invited to contribute complementary chapters. Thus, the book should be of wide interest to scholars in the field of urban vulnerability and climate change.