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International audience ; Depuis une trentaine d'années, la place de la vulnérabilité n'a cessé d'évoluer dans la recherche sur les risques et la gestion de ces derniers. Sans vraiment porter ombrage aux recherches sur l'aléa, même si ces dernières sont parfois englobées dans les études de vulnérabilité, les rapports de force entre aléa et vulnérabilité se sont modifiés. Parmi les raisons qui expliquent cette situation : les incertitudes de plus en plus reconnues en matière d'aléa (prédictions, zonages…) et une approche de la vulnérabilité devenue moins militante, mais plus solide sur le plan méthodologique, plus « scientifique ». Cependant, si la vulnérabilité semble plus crédible qu'à ses débuts, est-elle pour autant devenue plus opérationnelle ? Le conférencier tentera de donner des éléments de réponse à cette question à partir de quelques pistes et de sa propre expérience de recherche sur les vulnérabilités dans les pays du Sud.Parmi ces pistes, l'approche systémique (concrétisée par exemple par le modèle PAR : Pressure and release) constitue une avancée indéniable mais, en elle-même, elle permet peut-être davantage de démêler la complexité de la vulnérabilité et donc, de mieux la comprendre, que de la réduire concrètement.La résilience offre une autre piste. Extrait du monde scientifique au sein duquel différentes acceptions sont défendues, le concept est éminemment politique sur le terrain. C'est notamment une manière d'afficher en positif ce que la vulnérabilité présente en négatif même si de nombreux chercheurs soulignent que la résilience n'est pas l'inverse de la vulnérabilité. Les discours des bailleurs de fonds et des politiques considérant la résilience comme un gage de qualité, avec de « bonnes pratiques » et de « bons élèves », ne suffisent cependant pas à rendre opérationnel ce concept et, à travers lui, celui de vulnérabilité.Pour sa part, l'approche par l'enjeu aborde la vulnérabilité à partir des éléments ou ressources du territoire qui permettent son fonctionnement, son développement ou la gestion de situations de crise, en d'autres termes, à partir d'éléments qui interpellent directement les gestionnaires du territoire. L'approche est ainsi davantage opérationnelle que celles qui placent les aléas au premier plan, elle est prometteuse en termes de réduction des vulnérabilités, mais elle demande à être validée sur divers terrains et à différentes échelles. La vulnérabilité intéressant plusieurs champs disciplinaires, on peut aussi aborder la question à partir de la manière dont les différentes disciplines produisent des connaissances. Il est clair que les travaux pluridisciplinaires sur la vulnérabilité qui se sont multipliés ces dernières années ont contribué à donner l'image d'un concept plus crédible et plus opérationnel. Encore faudrait-il, pour que cela se concrétise en termes de gestion, que ces disciplines puissent travailler en interdisciplinarité sur des objets communs plutôt que de juxtaposer des points de vue aussi pertinents soient-ils.

International audience ; Depuis une trentaine d'années, la place de la vulnérabilité n'a cessé d'évoluer dans la recherche sur les risques et la gestion de ces derniers. Sans vraiment porter ombrage aux recherches sur l'aléa, même si ces dernières sont parfois englobées dans les études de vulnérabilité, les rapports de force entre aléa et vulnérabilité se sont modifiés. Parmi les raisons qui expliquent cette situation : les incertitudes de plus en plus reconnues en matière d'aléa (prédictions, zonages…) et une approche de la vulnérabilité devenue moins militante, mais plus solide sur le plan méthodologique, plus « scientifique ». Cependant, si la vulnérabilité semble plus crédible qu'à ses débuts, est-elle pour autant devenue plus opérationnelle ? Le conférencier tentera de donner des éléments de réponse à cette question à partir de quelques pistes et de sa propre expérience de recherche sur les vulnérabilités dans les pays du Sud.Parmi ces pistes, l'approche systémique (concrétisée par exemple par le modèle PAR : Pressure and release) constitue une avancée indéniable mais, en elle-même, elle permet peut-être davantage de démêler la complexité de la vulnérabilité et donc, de mieux la comprendre, que de la réduire concrètement.La résilience offre une autre piste. Extrait du monde scientifique au sein duquel différentes acceptions sont défendues, le concept est éminemment politique sur le terrain. C'est notamment une manière d'afficher en positif ce que la vulnérabilité présente en négatif même si de nombreux chercheurs soulignent que la résilience n'est pas l'inverse de la vulnérabilité. Les discours des bailleurs de fonds et des politiques considérant la résilience comme un gage de qualité, avec de « bonnes pratiques » et de « bons élèves », ne suffisent cependant pas à rendre opérationnel ce concept et, à travers lui, celui de vulnérabilité.Pour sa part, l'approche par l'enjeu aborde la vulnérabilité à partir des éléments ou ressources du territoire qui permettent son fonctionnement, son développement ou la gestion de situations de crise, en d'autres termes, à partir d'éléments qui interpellent directement les gestionnaires du territoire. L'approche est ainsi davantage opérationnelle que celles qui placent les aléas au premier plan, elle est prometteuse en termes de réduction des vulnérabilités, mais elle demande à être validée sur divers terrains et à différentes échelles. La vulnérabilité intéressant plusieurs champs disciplinaires, on peut aussi aborder la question à partir de la manière dont les différentes disciplines produisent des connaissances. Il est clair que les travaux pluridisciplinaires sur la vulnérabilité qui se sont multipliés ces dernières années ont contribué à donner l'image d'un concept plus crédible et plus opérationnel. Encore faudrait-il, pour que cela se concrétise en termes de gestion, que ces disciplines puissent travailler en interdisciplinarité sur des objets communs plutôt que de juxtaposer des points de vue aussi pertinents soient-ils.

International audience ; Depuis une trentaine d'années, la place de la vulnérabilité n'a cessé d'évoluer dans la recherche sur les risques et la gestion de ces derniers. Sans vraiment porter ombrage aux recherches sur l'aléa, même si ces dernières sont parfois englobées dans les études de vulnérabilité, les rapports de force entre aléa et vulnérabilité se sont modifiés. Parmi les raisons qui expliquent cette situation : les incertitudes de plus en plus reconnues en matière d'aléa (prédictions, zonages…) et une approche de la vulnérabilité devenue moins militante, mais plus solide sur le plan méthodologique, plus « scientifique ». Cependant, si la vulnérabilité semble plus crédible qu'à ses débuts, est-elle pour autant devenue plus opérationnelle ? Le conférencier tentera de donner des éléments de réponse à cette question à partir de quelques pistes et de sa propre expérience de recherche sur les vulnérabilités dans les pays du Sud.Parmi ces pistes, l'approche systémique (concrétisée par exemple par le modèle PAR : Pressure and release) constitue une avancée indéniable mais, en elle-même, elle permet peut-être davantage de démêler la complexité de la vulnérabilité et donc, de mieux la comprendre, que de la réduire concrètement.La résilience offre une autre piste. Extrait du monde scientifique au sein duquel différentes acceptions sont défendues, le concept est éminemment politique sur le terrain. C'est notamment une manière d'afficher en positif ce que la vulnérabilité présente en négatif même si de nombreux chercheurs soulignent que la résilience n'est pas l'inverse de la vulnérabilité. Les discours des bailleurs de fonds et des politiques considérant la résilience comme un gage de qualité, avec de « bonnes pratiques » et de « bons élèves », ne suffisent cependant pas à rendre opérationnel ce concept et, à travers lui, celui de vulnérabilité.Pour sa part, l'approche par l'enjeu aborde la vulnérabilité à partir des éléments ou ressources du territoire qui permettent son fonctionnement, son développement ou la ...

International audience ; Depuis une trentaine d'années, la place de la vulnérabilité n'a cessé d'évoluer dans la recherche sur les risques et la gestion de ces derniers. Sans vraiment porter ombrage aux recherches sur l'aléa, même si ces dernières sont parfois englobées dans les études de vulnérabilité, les rapports de force entre aléa et vulnérabilité se sont modifiés. Parmi les raisons qui expliquent cette situation : les incertitudes de plus en plus reconnues en matière d'aléa (prédictions, zonages…) et une approche de la vulnérabilité devenue moins militante, mais plus solide sur le plan méthodologique, plus « scientifique ». Cependant, si la vulnérabilité semble plus crédible qu'à ses débuts, est-elle pour autant devenue plus opérationnelle ? Le conférencier tentera de donner des éléments de réponse à cette question à partir de quelques pistes et de sa propre expérience de recherche sur les vulnérabilités dans les pays du Sud.Parmi ces pistes, l'approche systémique (concrétisée par exemple par le modèle PAR : Pressure and release) constitue une avancée indéniable mais, en elle-même, elle permet peut-être davantage de démêler la complexité de la vulnérabilité et donc, de mieux la comprendre, que de la réduire concrètement.La résilience offre une autre piste. Extrait du monde scientifique au sein duquel différentes acceptions sont défendues, le concept est éminemment politique sur le terrain. C'est notamment une manière d'afficher en positif ce que la vulnérabilité présente en négatif même si de nombreux chercheurs soulignent que la résilience n'est pas l'inverse de la vulnérabilité. Les discours des bailleurs de fonds et des politiques considérant la résilience comme un gage de qualité, avec de « bonnes pratiques » et de « bons élèves », ne suffisent cependant pas à rendre opérationnel ce concept et, à travers lui, celui de vulnérabilité.Pour sa part, l'approche par l'enjeu aborde la vulnérabilité à partir des éléments ou ressources du territoire qui permettent son fonctionnement, son développement ou la gestion de situations de crise, en d'autres termes, à partir d'éléments qui interpellent directement les gestionnaires du territoire. L'approche est ainsi davantage opérationnelle que celles qui placent les aléas au premier plan, elle est prometteuse en termes de réduction des vulnérabilités, mais elle demande à être validée sur divers terrains et à différentes échelles. La vulnérabilité intéressant plusieurs champs disciplinaires, on peut aussi aborder la question à partir de la manière dont les différentes disciplines produisent des connaissances. Il est clair que les travaux pluridisciplinaires sur la vulnérabilité qui se sont multipliés ces dernières années ont contribué à donner l'image d'un concept plus crédible et plus opérationnel. Encore faudrait-il, pour que cela se concrétise en termes de gestion, que ces disciplines puissent travailler en interdisciplinarité sur des objets communs plutôt que de juxtaposer des points de vue aussi pertinents soient-ils.

International audience ; Depuis une trentaine d'années, la place de la vulnérabilité n'a cessé d'évoluer dans la recherche sur les risques et la gestion de ces derniers. Sans vraiment porter ombrage aux recherches sur l'aléa, même si ces dernières sont parfois englobées dans les études de vulnérabilité, les rapports de force entre aléa et vulnérabilité se sont modifiés. Parmi les raisons qui expliquent cette situation : les incertitudes de plus en plus reconnues en matière d'aléa (prédictions, zonages…) et une approche de la vulnérabilité devenue moins militante, mais plus solide sur le plan méthodologique, plus « scientifique ». Cependant, si la vulnérabilité semble plus crédible qu'à ses débuts, est-elle pour autant devenue plus opérationnelle ? Le conférencier tentera de donner des éléments de réponse à cette question à partir de quelques pistes et de sa propre expérience de recherche sur les vulnérabilités dans les pays du Sud.Parmi ces pistes, l'approche systémique (concrétisée par exemple par le modèle PAR : Pressure and release) constitue une avancée indéniable mais, en elle-même, elle permet peut-être davantage de démêler la complexité de la vulnérabilité et donc, de mieux la comprendre, que de la réduire concrètement.La résilience offre une autre piste. Extrait du monde scientifique au sein duquel différentes acceptions sont défendues, le concept est éminemment politique sur le terrain. C'est notamment une manière d'afficher en positif ce que la vulnérabilité présente en négatif même si de nombreux chercheurs soulignent que la résilience n'est pas l'inverse de la vulnérabilité. Les discours des bailleurs de fonds et des politiques considérant la résilience comme un gage de qualité, avec de « bonnes pratiques » et de « bons élèves », ne suffisent cependant pas à rendre opérationnel ce concept et, à travers lui, celui de vulnérabilité.Pour sa part, l'approche par l'enjeu aborde la vulnérabilité à partir des éléments ou ressources du territoire qui permettent son fonctionnement, son développement ou la gestion de situations de crise, en d'autres termes, à partir d'éléments qui interpellent directement les gestionnaires du territoire. L'approche est ainsi davantage opérationnelle que celles qui placent les aléas au premier plan, elle est prometteuse en termes de réduction des vulnérabilités, mais elle demande à être validée sur divers terrains et à différentes échelles. La vulnérabilité intéressant plusieurs champs disciplinaires, on peut aussi aborder la question à partir de la manière dont les différentes disciplines produisent des connaissances. Il est clair que les travaux pluridisciplinaires sur la vulnérabilité qui se sont multipliés ces dernières années ont contribué à donner l'image d'un concept plus crédible et plus opérationnel. Encore faudrait-il, pour que cela se concrétise en termes de gestion, que ces disciplines puissent travailler en interdisciplinarité sur des objets communs plutôt que de juxtaposer des points de vue aussi pertinents soient-ils.

International audience ; Depuis une trentaine d'années, la place de la vulnérabilité n'a cessé d'évoluer dans la recherche sur les risques et la gestion de ces derniers. Sans vraiment porter ombrage aux recherches sur l'aléa, même si ces dernières sont parfois englobées dans les études de vulnérabilité, les rapports de force entre aléa et vulnérabilité se sont modifiés. Parmi les raisons qui expliquent cette situation : les incertitudes de plus en plus reconnues en matière d'aléa (prédictions, zonages…) et une approche de la vulnérabilité devenue moins militante, mais plus solide sur le plan méthodologique, plus « scientifique ». Cependant, si la vulnérabilité semble plus crédible qu'à ses débuts, est-elle pour autant devenue plus opérationnelle ? Le conférencier tentera de donner des éléments de réponse à cette question à partir de quelques pistes et de sa propre expérience de recherche sur les vulnérabilités dans les pays du Sud.Parmi ces pistes, l'approche systémique (concrétisée par exemple par le modèle PAR : Pressure and release) constitue une avancée indéniable mais, en elle-même, elle permet peut-être davantage de démêler la complexité de la vulnérabilité et donc, de mieux la comprendre, que de la réduire concrètement.La résilience offre une autre piste. Extrait du monde scientifique au sein duquel différentes acceptions sont défendues, le concept est éminemment politique sur le terrain. C'est notamment une manière d'afficher en positif ce que la vulnérabilité présente en négatif même si de nombreux chercheurs soulignent que la résilience n'est pas l'inverse de la vulnérabilité. Les discours des bailleurs de fonds et des politiques considérant la résilience comme un gage de qualité, avec de « bonnes pratiques » et de « bons élèves », ne suffisent cependant pas à rendre opérationnel ce concept et, à travers lui, celui de vulnérabilité.Pour sa part, l'approche par l'enjeu aborde la vulnérabilité à partir des éléments ou ressources du territoire qui permettent son fonctionnement, son développement ou la gestion de situations de crise, en d'autres termes, à partir d'éléments qui interpellent directement les gestionnaires du territoire. L'approche est ainsi davantage opérationnelle que celles qui placent les aléas au premier plan, elle est prometteuse en termes de réduction des vulnérabilités, mais elle demande à être validée sur divers terrains et à différentes échelles. La vulnérabilité intéressant plusieurs champs disciplinaires, on peut aussi aborder la question à partir de la manière dont les différentes disciplines produisent des connaissances. Il est clair que les travaux pluridisciplinaires sur la vulnérabilité qui se sont multipliés ces dernières années ont contribué à donner l'image d'un concept plus crédible et plus opérationnel. Encore faudrait-il, pour que cela se concrétise en termes de gestion, que ces disciplines puissent travailler en interdisciplinarité sur des objets communs plutôt que de juxtaposer des points de vue aussi pertinents soient-ils.

Depuis sa fondation en 1535, Lima a connu plus de 30 séismes ayant entraîné des dommages matériels et humains et son port Callao s'est trouvé confronté à six tsunamis dont trois particulièrement dévastateurs. La ville a plus ou moins rapidement pansé les blessures dues à ces événements que très peu de liméniens connaissent, même le Big One de 1746 dont les sismologues redoutent le retour. On peut ainsi se demander si la capitale politique et économique du Pérou qui rassemble le tiers de la population nationale est à même d'affronter un séisme majeur. La réponse présente deux faces opposées. D'un côté on assiste à une sensibilisation liée aux catastrophes sismiques récentes (Pisco en 2007, Chili et Haïti en 2010 et Japon en 2011) avec la multiplication de programmes et projets de préparation à la survenue d'un tremblement de terre, la plupart à financements internationaux. Mais de l'autre, une vulnérabilité de fond de la ville s'exprime par les modalités de l'urbanisation et la mauvaise qualité d'une partie importante du parc immobilier, à laquelle se greffent les difficultés prévisibles des autorités liméniennes et de la population à gérer une crise de grande ampleur. Après avoir rappelé son passé sismique et souligné le risque pour les années à venir, le texte met en évidence les forces et les faiblesses de Lima face au péril sismique.

International audience ; De manera general, los análisis de percepción permiten entender cómo el hombre, sea de modo individual, sea de modo colectivo, ve el mundo, su entorno, el espacio donde vive y sus problemas. En el campo de los riesgos, sean estos de origen volcánico o de otro tipo, la población no comparte uniformemente la visión de los científicos. Los vulcanólogos, sismólogos o hidrólogos tienen su propia percepción de los riesgos, basada en criterios científicos, mientras que la población funda su percepción según criterios propios relacionados con la cultura, la religión, las características socioeconómicas y de educación, las experiencias anteriores, la edad, el género, etc.El modo en que la población percibe las amenazas y los riesgos puede inducir comportamientos muy diferentes de los esperados por los científicos y autoridades políticas y muchas veces peligrosos tanto para los individuos como para la comunidad. Es entonces sumamente importante, en el marco de la gestión de los riesgos y de las emergencias, considerar las diferencias de percepción entre población y científicos, así como dentro de la misma población. ; De manière générale, les analyses de perception permettent de comprendre comment les hommes, individuellement ou collectivement, voient le monde, leur environnement, l'espace dans lequel ils vivent et ses problèmes. Dans le domaine des risques, volcaniques ou autres, la population ne partage pas uniformément le point de vue des scientifiques. Les volcanologues, sismologues ou hydrologues, ont leur propre perception des risques fondée sur des critères scientifiques tandis que la population fonde sa perception sur des critères qui lui sont propres, liés à la culture, la religion, les caractéristiques socio-économiques et d'éducation, les expériences antérieures, l'âge, le sexe, etc.La manière dont la population perçoit les aléas et les risques encourus peut induire des comportements très différents de ceux que souhaiteraient les scientifiques et les autorités politiques, ...

We are proposing a study on the vulnerability of populations in the face of volcanic hazards primely based on the ecuadorian area case, mainly chosen because of its relation to the columbian catastrophe of nov. 13th 85 (eruption of Nevado del Ruiz volcano).We aimed to a global approach of this vulnerability. The physical component of the risk doesn't make up an end in itself, but the first element of a research based on an investigation campain regarding mainly the human component, this latter beeing generally put in low priority in preventive planification studies.The vulnerability factor weight varies upon the location, or the social group considered. However if the cognitive factor (hazard perception and assessment of protection means) is far from beeing negligeable, it's mainly the economic, social, cultural and logistic factors that seem to influence the human behavior in the event of an emergency situation.In spite of these constraints, research study tends to show that the so called "natural" risk is not a fatality, even in third world countries as long as there is a true political concern for it, backed up with the proper means of decision. In that view, particular effort has been put on the methodological aspects, and specially on a cartography that put into light various types and levels of vulnerability of population exposed to the risk of Cotopaxi volcano, elements that seems indispensable to be known before starting to get involved with preventive local actions. ; A partir du cas équatorien dont le choix est en grande partie lié à la catastrophe colombienne du 13 novembre 1985 (éruption du Nevado del Ruiz), nous proposons une étude de la vulnérabilité des populations face au risque volcanique.L'approche de cette vulnérabilité se veut globale. La composante physique du risque ne constitue pas une fin en soi. Elle est la base d'une recherche, fondée sur une longue campagne d'enquêtes, qui privilégie la composante humaine, cette dernière passant généralement au second plan dans les travaux de planification préventive.Le poids des facteurs de vulnérabilité diverge selon le lieu ou le groupe social considéré. Cependant si celui des facteurs cognitifs (perception du risque, connaissance des moyens de protection) est loin d'être négligeable, ce sont surtout les facteurs économiques, sociaux, culturels et logistiques qui semblent devoir influencer les comportements humains lors d'une éventuelle situation d'urgence.En dépit de ces contraintes, la thèse tend à montrer que le risque dit « naturel » n'est pas une fatalité, même dans les pays en voie de développement, dès lors que se manifeste une véritable volonté politique appuyée par des outils de décision appropriés. Pour cela, un effort particulier a été placé sur le plan méthodologique, notamment sur une cartographie destinée à mettre en évidence des types et des niveaux de vulnérabilité de la population exposée au Cotopaxi, dont la connaissance est indispensable avant de s'engager dans des actions préventives locales.

We are proposing a study on the vulnerability of populations in the face of volcanic hazards primely based on the ecuadorian area case, mainly chosen because of its relation to the columbian catastrophe of nov. 13th 85 (eruption of Nevado del Ruiz volcano).We aimed to a global approach of this vulnerability. The physical component of the risk doesn't make up an end in itself, but the first element of a research based on an investigation campain regarding mainly the human component, this latter beeing generally put in low priority in preventive planification studies.The vulnerability factor weight varies upon the location, or the social group considered. However if the cognitive factor (hazard perception and assessment of protection means) is far from beeing negligeable, it's mainly the economic, social, cultural and logistic factors that seem to influence the human behavior in the event of an emergency situation.In spite of these constraints, research study tends to show that the so called "natural" risk is not a fatality, even in third world countries as long as there is a true political concern for it, backed up with the proper means of decision. In that view, particular effort has been put on the methodological aspects, and specially on a cartography that put into light various types and levels of vulnerability of population exposed to the risk of Cotopaxi volcano, elements that seems indispensable to be known before starting to get involved with preventive local actions. ; A partir du cas équatorien dont le choix est en grande partie lié à la catastrophe colombienne du 13 novembre 1985 (éruption du Nevado del Ruiz), nous proposons une étude de la vulnérabilité des populations face au risque volcanique.L'approche de cette vulnérabilité se veut globale. La composante physique du risque ne constitue pas une fin en soi. Elle est la base d'une recherche, fondée sur une longue campagne d'enquêtes, qui privilégie la composante humaine, cette dernière passant généralement au second plan dans les travaux de planification préventive.Le poids des facteurs de vulnérabilité diverge selon le lieu ou le groupe social considéré. Cependant si celui des facteurs cognitifs (perception du risque, connaissance des moyens de protection) est loin d'être négligeable, ce sont surtout les facteurs économiques, sociaux, culturels et logistiques qui semblent devoir influencer les comportements humains lors d'une éventuelle situation d'urgence.En dépit de ces contraintes, la thèse tend à montrer que le risque dit « naturel » n'est pas une fatalité, même dans les pays en voie de développement, dès lors que se manifeste une véritable volonté politique appuyée par des outils de décision appropriés. Pour cela, un effort particulier a été placé sur le plan méthodologique, notamment sur une cartographie destinée à mettre en évidence des types et des niveaux de vulnérabilité de la population exposée au Cotopaxi, dont la connaissance est indispensable avant de s'engager dans des actions préventives locales.

We are proposing a study on the vulnerability of populations in the face of volcanic hazards primely based on the ecuadorian area case, mainly chosen because of its relation to the columbian catastrophe of nov. 13th 85 (eruption of Nevado del Ruiz volcano).We aimed to a global approach of this vulnerability. The physical component of the risk doesn't make up an end in itself, but the first element of a research based on an investigation campain regarding mainly the human component, this latter beeing generally put in low priority in preventive planification studies.The vulnerability factor weight varies upon the location, or the social group considered. However if the cognitive factor (hazard perception and assessment of protection means) is far from beeing negligeable, it's mainly the economic, social, cultural and logistic factors that seem to influence the human behavior in the event of an emergency situation.In spite of these constraints, research study tends to show that the so called "natural" risk is not a fatality, even in third world countries as long as there is a true political concern for it, backed up with the proper means of decision. In that view, particular effort has been put on the methodological aspects, and specially on a cartography that put into light various types and levels of vulnerability of population exposed to the risk of Cotopaxi volcano, elements that seems indispensable to be known before starting to get involved with preventive local actions. ; A partir du cas équatorien dont le choix est en grande partie lié à la catastrophe colombienne du 13 novembre 1985 (éruption du Nevado del Ruiz), nous proposons une étude de la vulnérabilité des populations face au risque volcanique.L'approche de cette vulnérabilité se veut globale. La composante physique du risque ne constitue pas une fin en soi. Elle est la base d'une recherche, fondée sur une longue campagne d'enquêtes, qui privilégie la composante humaine, cette dernière passant généralement au second plan dans les travaux de ...

We are proposing a study on the vulnerability of populations in the face of volcanic hazards primely based on the ecuadorian area case, mainly chosen because of its relation to the columbian catastrophe of nov. 13th 85 (eruption of Nevado del Ruiz volcano).We aimed to a global approach of this vulnerability. The physical component of the risk doesn't make up an end in itself, but the first element of a research based on an investigation campain regarding mainly the human component, this latter beeing generally put in low priority in preventive planification studies.The vulnerability factor weight varies upon the location, or the social group considered. However if the cognitive factor (hazard perception and assessment of protection means) is far from beeing negligeable, it's mainly the economic, social, cultural and logistic factors that seem to influence the human behavior in the event of an emergency situation.In spite of these constraints, research study tends to show that the so called "natural" risk is not a fatality, even in third world countries as long as there is a true political concern for it, backed up with the proper means of decision. In that view, particular effort has been put on the methodological aspects, and specially on a cartography that put into light various types and levels of vulnerability of population exposed to the risk of Cotopaxi volcano, elements that seems indispensable to be known before starting to get involved with preventive local actions. ; A partir du cas équatorien dont le choix est en grande partie lié à la catastrophe colombienne du 13 novembre 1985 (éruption du Nevado del Ruiz), nous proposons une étude de la vulnérabilité des populations face au risque volcanique.L'approche de cette vulnérabilité se veut globale. La composante physique du risque ne constitue pas une fin en soi. Elle est la base d'une recherche, fondée sur une longue campagne d'enquêtes, qui privilégie la composante humaine, cette dernière passant généralement au second plan dans les travaux de planification préventive.Le poids des facteurs de vulnérabilité diverge selon le lieu ou le groupe social considéré. Cependant si celui des facteurs cognitifs (perception du risque, connaissance des moyens de protection) est loin d'être négligeable, ce sont surtout les facteurs économiques, sociaux, culturels et logistiques qui semblent devoir influencer les comportements humains lors d'une éventuelle situation d'urgence.En dépit de ces contraintes, la thèse tend à montrer que le risque dit « naturel » n'est pas une fatalité, même dans les pays en voie de développement, dès lors que se manifeste une véritable volonté politique appuyée par des outils de décision appropriés. Pour cela, un effort particulier a été placé sur le plan méthodologique, notamment sur une cartographie destinée à mettre en évidence des types et des niveaux de vulnérabilité de la population exposée au Cotopaxi, dont la connaissance est indispensable avant de s'engager dans des actions préventives locales.

We are proposing a study on the vulnerability of populations in the face of volcanic hazards primely based on the ecuadorian area case, mainly chosen because of its relation to the columbian catastrophe of nov. 13th 85 (eruption of Nevado del Ruiz volcano).We aimed to a global approach of this vulnerability. The physical component of the risk doesn't make up an end in itself, but the first element of a research based on an investigation campain regarding mainly the human component, this latter beeing generally put in low priority in preventive planification studies.The vulnerability factor weight varies upon the location, or the social group considered. However if the cognitive factor (hazard perception and assessment of protection means) is far from beeing negligeable, it's mainly the economic, social, cultural and logistic factors that seem to influence the human behavior in the event of an emergency situation.In spite of these constraints, research study tends to show that the so called "natural" risk is not a fatality, even in third world countries as long as there is a true political concern for it, backed up with the proper means of decision. In that view, particular effort has been put on the methodological aspects, and specially on a cartography that put into light various types and levels of vulnerability of population exposed to the risk of Cotopaxi volcano, elements that seems indispensable to be known before starting to get involved with preventive local actions. ; A partir du cas équatorien dont le choix est en grande partie lié à la catastrophe colombienne du 13 novembre 1985 (éruption du Nevado del Ruiz), nous proposons une étude de la vulnérabilité des populations face au risque volcanique.L'approche de cette vulnérabilité se veut globale. La composante physique du risque ne constitue pas une fin en soi. Elle est la base d'une recherche, fondée sur une longue campagne d'enquêtes, qui privilégie la composante humaine, cette dernière passant généralement au second plan dans les travaux de planification préventive.Le poids des facteurs de vulnérabilité diverge selon le lieu ou le groupe social considéré. Cependant si celui des facteurs cognitifs (perception du risque, connaissance des moyens de protection) est loin d'être négligeable, ce sont surtout les facteurs économiques, sociaux, culturels et logistiques qui semblent devoir influencer les comportements humains lors d'une éventuelle situation d'urgence.En dépit de ces contraintes, la thèse tend à montrer que le risque dit « naturel » n'est pas une fatalité, même dans les pays en voie de développement, dès lors que se manifeste une véritable volonté politique appuyée par des outils de décision appropriés. Pour cela, un effort particulier a été placé sur le plan méthodologique, notamment sur une cartographie destinée à mettre en évidence des types et des niveaux de vulnérabilité de la population exposée au Cotopaxi, dont la connaissance est indispensable avant de s'engager dans des actions préventives locales.

We are proposing a study on the vulnerability of populations in the face of volcanic hazards primely based on the ecuadorian area case, mainly chosen because of its relation to the columbian catastrophe of nov. 13th 85 (eruption of Nevado del Ruiz volcano).We aimed to a global approach of this vulnerability. The physical component of the risk doesn't make up an end in itself, but the first element of a research based on an investigation campain regarding mainly the human component, this latter beeing generally put in low priority in preventive planification studies.The vulnerability factor weight varies upon the location, or the social group considered. However if the cognitive factor (hazard perception and assessment of protection means) is far from beeing negligeable, it's mainly the economic, social, cultural and logistic factors that seem to influence the human behavior in the event of an emergency situation.In spite of these constraints, research study tends to show that the so called "natural" risk is not a fatality, even in third world countries as long as there is a true political concern for it, backed up with the proper means of decision. In that view, particular effort has been put on the methodological aspects, and specially on a cartography that put into light various types and levels of vulnerability of population exposed to the risk of Cotopaxi volcano, elements that seems indispensable to be known before starting to get involved with preventive local actions. ; A partir du cas équatorien dont le choix est en grande partie lié à la catastrophe colombienne du 13 novembre 1985 (éruption du Nevado del Ruiz), nous proposons une étude de la vulnérabilité des populations face au risque volcanique.L'approche de cette vulnérabilité se veut globale. La composante physique du risque ne constitue pas une fin en soi. Elle est la base d'une recherche, fondée sur une longue campagne d'enquêtes, qui privilégie la composante humaine, cette dernière passant généralement au second plan dans les travaux de planification préventive.Le poids des facteurs de vulnérabilité diverge selon le lieu ou le groupe social considéré. Cependant si celui des facteurs cognitifs (perception du risque, connaissance des moyens de protection) est loin d'être négligeable, ce sont surtout les facteurs économiques, sociaux, culturels et logistiques qui semblent devoir influencer les comportements humains lors d'une éventuelle situation d'urgence.En dépit de ces contraintes, la thèse tend à montrer que le risque dit « naturel » n'est pas une fatalité, même dans les pays en voie de développement, dès lors que se manifeste une véritable volonté politique appuyée par des outils de décision appropriés. Pour cela, un effort particulier a été placé sur le plan méthodologique, notamment sur une cartographie destinée à mettre en évidence des types et des niveaux de vulnérabilité de la population exposée au Cotopaxi, dont la connaissance est indispensable avant de s'engager dans des actions préventives locales.

http://mappemonde.mgm.fr/num23/articles/art09302.html ; This paper presents a set of maps that make it possible to understand the risks a territory — the Metropolitan District of Quito — is exposed to. The authors consider the risks attributable to a reduction of accessibility that may occur in some parts of the District due to a loss of road network integrity. This research (conducted between 1999 and 2004) required the upgrade of a pre-existing location-based dataset managed by the Municipality of Quito using the SavGIS software. All the maps produced are intended to support discussion that could be useful to various urban stakeholders for preventive land planning and risk preparedness. ; Este artículo presenta una serie de mapas cuya lectura permite entender progresivamente los riesgos a los cuales está confrontado un territorio -el Distrito Metropolitano de Quito – DMQ. El enfoque considera los riesgos derivados de las reducciones de accesibilidad que podrían experimentar algunos sectores del DMQ asociadas a la pérdida de integridad de la red vial. Esta investigación (realizada entre 1994 y 2004) implicó la evolución de una base de datos geográficos preexistente administrada por el municipio de Quito en SavGIS. Los mapas elaborados a partir de esta base de datos son en primer lugar destinados a servir de soporte para la reflexión a la autoridad municipal para su política de planificación territorial preventiva y reducción de riesgos. ; Cet article présente une série de cartes dont la lecture permet de comprendre progressivement les risques auxquels est confronté un territoire, ici le District Métropolitain de Quito. La démarche considère les risques attribuables aux réductions d'accessibilité que pourraient connaître certains espaces du District du fait de la perte d'intégrité du réseau routier. Cette recherche (conduite de 1999 à 2004) a nécessité l'évolution d'une base de données géographiques préexistante administrée par la mairie de Quito sous SavGIS. Les cartes produites à partir de cette base de données sont en premier lieu destinées à servir de support de réflexion à l'autorité municipale pour sa politique de planification territoriale préventive et de réduction des risques.