Quelle place la religion occupe-t-elle dans le roman policier écrit par les anglo-saxonnes? Même si le roman policier se préoccupe peu des questions de religion, il demeure un roman à caractère moralisateur. Ce genre littéraire, aux États-Unis, a été longtemps dominé par les hommes, ce qui n'est pas le cas pour le roman anglais. Toutefois, les féministes américaines écrivent de plus en plus de romans policiers. Quoique religion et femmes soient souvent antinomiques, cette fiction peut mettre en scène des femmes qui ont des préoccupations religieuses. Le roman policieraméricain reflète la place de la religion dans la vie des femmes et des féministes.
International audience ; Nicole Décuré Actes du Colloque International Langues et modernité, Université d'Oran Es-Senia (Algérie) 13-15 mars 2004. Passerelle, n° spécial, 2005, Oran : Dar El Gharb, pp. 195-212. Plaidoyer pour le jeu, philosophique, politique et pédagogique Définitions Je voudrais partir du concept abstrait de modernité, qui est le thème de ce colloque, pour en arriver à ce que je considère être la modernité en action dans le domaine de l'enseignement des langues étrangères, c'est-à-dire la communication orale et, plus précisément, le jeu. Depuis que je m'intéresse à l'Algérie, c'est-à-dire depuis mon 1 er voyage au début des années 80, j'ai souvent entendu mentionner ce concept de modernité à propos de ce pays ou des pays voisins et il m'a toujours paru avoir un sens singulier, en dire beaucoup plus que: "La modernité c'est ce qui est moderne". J'ai consulté cet instrument qui, selon les auteur/es serait un instrument de la modernité, ou du modernisme, ou de la modernisation, voire du postmodernisme, je veux parler, bien sûr d'Internet. En partant des mots clés Algérie et modernité j' ai obtenu 15 400 entrées possibles en 0,13 secondes. Si l'on ajoute à ces deux mots enseignement et langues on trouve 2080 entrées en 0,21 secondes, la 1 ère entrée étant… l'annonce de ce colloque et la 3 ème un texte de Sidi Mohamed Lakhdar Barka de novembre 2002 sur l'enseignement des langues dans les universités algériennes et celle d'Oran-Es Sénia en particulier. Il s'agit donc bien d'un débat réel qui fait travailler cerveaux et claviers. Ceci peut se comprendre car les questions de pluralisme linguistique, d'arabisation (arable classique vs arabe vernaculaire), de présence persistante du français sont, depuis longtemps, à l'ordre du jour. À ces divers problèmes de langues, qui sont autant de questions politiques, vient s'ajouter l'introduction d'autres langues étrangères, notamment de l'anglais dont on sait la place qu'il occupe dans le monde d'aujourd'hui. Dans les premiers textes que j'ai lus, j'ai été ...
International audience ; Politics often seems to be a sensitive subject in the foreign language class. This article deals with warious ways in which it can be dealt with in LSP classes. ; Le politique semble souvent un sujet sensible et difficile à traiter en classe de langue étrangère. Cet article traite des diverses façons dont on peut l'aborder avec des étudiant.e.s en LANSAD.
International audience ; Politics often seems to be a sensitive subject in the foreign language class. This article deals with warious ways in which it can be dealt with in LSP classes. ; Le politique semble souvent un sujet sensible et difficile à traiter en classe de langue étrangère. Cet article traite des diverses façons dont on peut l'aborder avec des étudiant.e.s en LANSAD.
International audience ; The perception of culture of LSP students, in their own culture and the culture of the foreign anguage they are learning. ; La perception de la culture chez les étudiants LANSAD, dans leur culture propre et dans la culture de la langue étrangère apprise.
International audience ; The perception of culture of LSP students, in their own culture and the culture of the foreign anguage they are learning. ; La perception de la culture chez les étudiants LANSAD, dans leur culture propre et dans la culture de la langue étrangère apprise.
International audience ; Hormis à Toulouse où cette formule évoque le contexte politique local, lorsque l'on parle de motivation on pense aux apprenant/es pour dire que, globalement, ils/elles en manquent et que nous, les enseignant/es, nous cherchons les moyens de la susci-ter. Diverses enquêtes menées par le laboratoire LAIRDIL 1 à l'Université Toulouse III dans les dix dernières années ont fait ressortir que les apprenant/es, en majorité, re-connaissent que leur faiblesse est due à leur manque de travail. Les autres (un quart environ) déclarent avoir été dégoûté/es ou perdu/es dès le départ par des ensei-gnant/es qui, entre autres raisons, n'ont pas su les intéresser ou ont été très absent/es, ou encore connaissaient mal la langue enseignée. Dans la triangulation apprenant/e-enseignant/e-matériel pédagogique, le deuxième facteur est rarement examiné, comme s'il allait de soi que l'enseignant/e est motivé/e, motivant/e, capable, efficace, qu'il/elle possède toutes les qualités at-tendues dans ce métier. Il est difficile d'interroger les enseignant/es sur ce sujet quasiment tabou : il en va de leur propre image, de leur amour-propre, de leur existence sociale. Comment oser s'avouer, et encore moins avouer, que ce métier est juste un travail comme un autre alors que la société attend des enseignant/es un investissement fort ? La conséquence directe serait la nécessité de changer de métier, chose fort difficile en France lors-1 LAIRDIL : Laboratoire Interuniversitaire de Recherche en Didactique des Langues.