Regulation of a Spatial Externality: Refuges versus Tax for Managing Pest Resistance
In: Environmental and resource economics, Band 51, Heft 1, S. 79-104
ISSN: 1573-1502
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In: Environmental and resource economics, Band 51, Heft 1, S. 79-104
ISSN: 1573-1502
In: American Journal of Agricultural Economics, Band 84, Heft 4, S. 1033-1041
SSRN
Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales rue Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes Cedex (FRA) ; Ce document propose une modélisation des politiques appliquées sur les marchés liés verticalement d'un produit agricole brut et d'un produit agricole transformé, dans le cas où les firmes transformatrices exercent du pouvoir de marché vers l'amont (producteurs agricoles) et vers l'aval (consommateurs finaux). Le cadre retenu est celui d'un modèle d'équilibre partiel à deux pays et à deux marchés liés verticalement. Les producteurs du bien intermédiaire sont en concurrence parfaite, et il existe un nombre fixe de firmes transformatrices dans chaque pays, caractérisées par un comportement de Cournot vers l'amont et vers l'aval. L'analyse s'attache alors à caractériser l'intervention optimale par des instruments de prix dans un pays exportateur aux deux stades, dans un jeu où le gouvernement choisit les niveaux des instruments de prix dans un premier stade. Le principe du ciblage est utilisé pour caractériser l'intervention optimale en présence d'une contrainte de revenu minimal vers les producteurs agricoles.
BASE
Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales rue Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes Cedex (FRA) ; Dans la plupart des pays industrialisés, les gouvernements interviennent dans la production et la commercialisation des biens agricoles pour stabiliser les prix et redistribuer du revenu des consommateurs et/ou contribuables vers les producteurs agricoles. L'analyse de l'efficacité des instruments de politique publique peut être menée dans ce cadre en supposant que le gouvernement cherche à maximiser le bien-être national sous une contrainte de redistribution vers les producteurs agricoles. Ce document s'inscrit dans cette ligne de recherche mais diffère des analyses habituelles en prenant en compte le fait que les produits actuellement soutenus sont à la fois des biens agricoles primaires et des biens agricoles transformés. L'analyse s'attache alors à caractériser l'intervention optimale dans ces deux marchés liés verticalement, sous une contrainte de redistribution vers les producteurs primaires et/ou vers les transformateurs. Les instruments considérés sont les instruments de prix, et la possibilité d'un coût d'opportunité des fonds publics non nul est prise en compte.
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Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales rue Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes Cedex (FRA) ; Dans la plupart des pays industrialisés, les gouvernements interviennent dans la production et la commercialisation des biens agricoles pour stabiliser les prix et redistribuer du revenu des consommateurs et/ou contribuables vers les producteurs agricoles. L'analyse de l'efficacité des instruments de politique publique peut être menée dans ce cadre en supposant que le gouvernement cherche à maximiser le bien-être national sous une contrainte de redistribution vers les producteurs agricoles. Ce document s'inscrit dans cette ligne de recherche mais diffère des analyses habituelles en prenant en compte le fait que les produits actuellement soutenus sont à la fois des biens agricoles primaires et des biens agricoles transformés. L'analyse s'attache alors à caractériser l'intervention optimale dans ces deux marchés liés verticalement, sous une contrainte de redistribution vers les producteurs primaires et/ou vers les transformateurs. Les instruments considérés sont les instruments de prix, et la possibilité d'un coût d'opportunité des fonds publics non nul est prise en compte.
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In: American Journal of Agricultural Economics, Band 91, Heft 3, S. 656-672
SSRN
We show that whether intensive or extensive farming is most beneficial to biodiversity depends on the equilibrium of agricultural markets. With higher production costs, extensive farming tends to be more beneficial to biodiversity than intensive farming, except when there is a very high degree of convexity between biodiversity and yield. Extensive farming is detrimental to consumers while its effect on agricultural producers is indeterminate. It has no straightforward effect on food security, but could decrease the pressure on protected areas. Additional demand f reinforces the preference for extensive farming, especially in the case of animal feed. (Résumé auteur)
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We show that the most interesting type of farming for biodiversity depends on the equilibrium on agricultural markets. All other things being equal, when demand reacts to prices and when extensive farming has higher production costs, this type of farming may allow a higher level of biodiversity than intensive farming if the relation between biodiversity and yield does not have a very high degree of convexity. This extensive farming is detrimental to consumers when their surplus is evaluated restrictively as increasing with quantities consumed and decreasing with higher prices. Its effect on agricultural producers is indeterminate. It does not have a simple effect on food security. ; National audience Nous montrons que la forme d'agriculture la plus intéressante pour la biodiversité dépend de l'équilibre des marchés agricoles. Toutes choses égales par ailleurs, tant que la demande réagit aux prix et que l'agriculture extensive a des coûts de production plus élevés, cette dernière est souvent plus intéressante pour la biodiversité que l'agriculture intensive si la relation entre biodiversité et rendement n'a pas un degré de convexité très élevé. Cette agriculture extensive est désavantageuse pour les consommateurs lorsque l'on évalue leur surplus de manière restrictive comme croissant avec les quantités consommées et décroissant avec les prix. Son effet sur les producteurs agricoles est indéterminé. Elle n'a pas d'effet simple sur la sécurité alimentaire, et devrait avoir pour effet de diminuer la pression pesant sur les espaces protégés.
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We show that between intensive and extensive farming, the production method most beneficial to biodiversity depends on the equilibrium of agricultural markets. All other things equal, as long as demand reacts to prices and extensive farming has higher production costs, extensive farming tends to be more beneficial to biodiversity than intensive farming, except when there is a very high degree of convexity between biodiversity and yield. Extensive farming is detrimental to consumers when their surplus is evaluated restrictively, as increasing in quantities consumed, while its effect on agricultural producers is indeterminate. Extensive farming has no straightforward effect on food security, but could decrease the pressure on protected areas. Any increase in demand, notably for animal feed or biofuels, decreases biodiversity, regardless of the production method employed. However, additional demand reinforces the preference for extensive farming, especially in the case of animal feed, for which price elasticity is higher.
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Nous montrons que la forme d'agriculture la plus intéressante pour la biodiversité dépend de l'équilibre des marchés agricoles. Toutes choses égales par ailleurs, tant que la demande réagit aux prix et que l'agriculture extensive a des coûts de production plus élevés, cette dernière est souvent plus intéressante pour la biodiversité que l'agriculture intensive si la relation entre biodiversité et rendement n'a pas un degré de convexité très élevé. Cette agriculture extensive est désavantageuse pour les consommateurs lorsque l'on évalue leur surplus de manière restrictive comme croissant avec les quantités consommées et décroissant avec les prix. Son effet sur les producteurs agricoles est indéterminé. Elle n'a pas d'effet simple sur la sécurité alimentaire, et devrait avoir pour effet de diminuer la pression pesant sur les espaces protégés.
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In: American Agricultural Economics Association Annual Meeting, Tampa, USA, 2000-07-30-2000-08-02
Consumer preferences and GMO legislation in the EU creates the need of a marketing channel preserving the identity of non-GMO soybeans from the farm level to the consumer level in exporting countries like the US. The paper discusses in detail how farmers decision changes with this new situation.
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In: Land use policy: the international journal covering all aspects of land use, Band 96, S. 103610
ISSN: 0264-8377
In: 16. Journées de micro-économie appliquée, Lyon, FRA, 1999-06-03-1999-06-04
Ce document propose une modélisation des politiques appliquées sur les marchés liés verticalement d'un produit agricole brut et d'un produit agricole transformé, dans le cas où les firmes transformatrices exercent du pouvoir de marché vers l'amont (producteurs agricoles) et vers l'aval (consommateurs finaux). Le cadre retenu est celui d'un modèle d'équilibre partiel à deux pays et à deux marchés liés verticalement. Les producteurs du bien intermédiaire sont en concurrence parfaite, et il existe un nombre fixe de firmes transformatrices dans chaque pays, caractérisées par un comportement de Cournot vers l'amont et vers l'aval. L'analyse s'attache alors à caractériser l'intervention optimale par des instruments de prix dans un pays exportateur aux deux stades, dans un jeu où le gouvernement choisit les niveaux des instruments de prix dans un premier stade. Le principe du ciblage est utilisé pour caractériser l'intervention optimale en présence d'une contrainte de revenu minimal vers les producteurs agricoles.
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In: 15. journées de microéconomie appliquée, Pointe-à-Pitre, FRA, 1998-06-04-1998-06-05
Dans la plupart des pays industrialisés, les gouvernements interviennent dans la production et la commercialisation des biens agricoles pour stabiliser les prix et redistribuer du revenu des consommateurs et/ou contribuables vers les producteurs agricoles. L'analyse de l'efficacité des instruments de politique publique peut être menée dans ce cadre en supposant que le gouvernement cherche à maximiser le bien-être national sous une contrainte de redistribution vers les producteurs agricoles. Ce document s'inscrit dans cette ligne de recherche mais diffère des analyses habituelles en prenant en compte le fait que les produits actuellement soutenus sont à la fois des biens agricoles primaires et des biens agricoles transformés. L'analyse s'attache alors à caractériser l'intervention optimale dans ces deux marchés liés verticalement, sous une contrainte de redistribution vers les producteurs primaires et/ou vers les transformateurs. Les instruments considérés sont les instruments de prix, et la possibilité d'un coût d'opportunité des fonds publics non nul est prise en compte.
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Consumer preferences and GMO legislation in the EU creates the need of a marketing channel preserving the identity of non-GMO soybeans from the farm level to the consumer level in exporting countries like the US. The paper discusses in detail how farmers decision changes with this new situation.
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