Adam Smith and the wealth of nations: the discovery of capitalism and its limits
In: Palgrave studies in the history of economic thought
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In: Palgrave studies in the history of economic thought
In: Cahiers d'économie politique, Band 80, Heft 1, S. 173-176
In: L' économie politique: revue trimestrielle, Band 71, Heft 3, S. 54
In: Revue économique, Band 65, Heft 2, S. 337-356
ISSN: 1950-6694
La Richesse des nations montre une continuité entre le système mercantile qu'attaque Smith et le système de la liberté naturelle qu'il défend. Cette continuité est fondée sur la distance qui sépare les législateurs des marchands et manufacturiers. Lorsque cette distance est trop courte, les premiers sont partiaux, car ils tendent à confondre l'intérêt des marchands et l'intérêt général. Si elle est trop grande, l'anarchie qui en résulte peut conduire à la guerre civile. Entre ces deux situations existe donc une distance optimale qui caractérise le système de la liberté naturelle et autorise un gouvernement impartial. Cet article montre qu'il apparaît ainsi possible de penser la (très difficile) transition du système mercantile vers le système de liberté naturelle.
In: Cahiers d'économie Politique, Band 64, Heft 1, S. 271-273
In: Economies et sociétés: cahiers de l'ISMEA. Série SG, Sciences de gestion, Band 46, Heft 7
ISSN: 0013-0567
In: Cahiers d'économie Politique, Band 58, Heft 1, S. 145-155
In: The European journal of the history of economic thought, Band 17, Heft 3, S. 383-404
ISSN: 1469-5936
In: Cahiers d'économie Politique, Band 52, Heft 1, S. 31-56
Résumé La plupart des lecteurs de la Richesse des nations savent que les relations de Smith et du libéralisme économique sont plutôt lointaines. L'article étudie ces relations en analysant les critiques que Smith adresse au système mercantile. Smith montre que le système mercantile engendre un taux de croissance plus faible que celui engendré par le système de la liberté naturelle. Cette critique se double d'une autre, plus décisive et qui est politique. Pour Smith le vote de l'impôt est une condition nécessaire à la croissance. Mais, en même temps, le système mercantile est fondé sur une connivence entre les marchands et l'État autorisée par le suffrage. Or, le système mercantile engendre la croissance de la dette publique provoquée par les guerres économiques, ce qui conduit à la banqueroute publique et donc à la fin de cette relation de confiance mutuelle entre l'État et les citoyens.
In: Cahiers d'économie politique, Band 27, Heft 1, S. 21-38
Adam Smith and the Colonial Scheme of the Future of an Illusion As ail important books do, the Wealth of Nations is written to fight against an adversary. Adam Smith' adversary is clearly the Mercantile System. However Smith builds a theory of his adversary. The Mercantile System, the Colonial System and the Sovereign Companies are the effects of merchants's partiality and rethorics (I). Consequently, the Mercantile System is also the effect of the Love of Systems, whose importance is emphasised in the Theory of Moral Sentiments (II). So the Mercantile System is in a sense necessary.
In: Cahiers d'économie politique, Band 18, Heft 1, S. 119-123
In: Cahiers d'économie politique, Band 16, Heft 1, S. 3-19
Hume a été considéré soit comme le fondateur du libéralisme économique (D. Deleule), soit comme son précurseur (F. Hayek). Ces deux lectures ne sont pas convaincantes, car on ne trouve dans son œuvre ni concept de richesse réelle, comme le propose D. Deuleule, ni darwinisme social, comme l'affirme F. Hayek.
In: Cahiers d'économie politique, Band 10, Heft 1, S. 409-419
Cet article concerne la définition proposée par Keynes de «l'école classique». On sait que l'auteur de la Théorie Générale s'oppose explicitement à Marx sur ce point, puisqu'il exclue A. Smith du champ de l'analyse classique.
On se propose de rendre compte de cette exclusion en montrant qu'existent encore chez A. Smith les agents économiques désignés sous les termes de «prodigue» et de «projector», le premier confondant capital et revenu, le second employant mal le capital.
On montre ensuite comment ces deux types d'agents disparaissent de l'analyse ricardienne après l'adoption définitive du principe selon lequel «l'industrie est limitée par le capital», forme ricardienne de la loi de Say.
In: Cahiers d'économie politique, Band 7, Heft 1, S. 67-92