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Une épopée tribale en Iran: des origines à la République islamique ; les Bakhtyâri
In: Bibliothèque de l'anthropologie
L'homme et les animaux domestiques: anthropologie d'une passion
In: Le Temps des sciences
Être nomade ou sédentaire : de quoi parle-t-on et en quels termes ? Considérations lexicales et typologiques
In: Cahiers d'anthropologie sociale, Band 21, Heft 2, S. 23-31
ISSN: 2728-3372
Le pouvoir évocateur du mot « nomade » a favorisé la multiplication de ses usages en même temps que de ses mésusages. En revenant au sens premier, étymologique, du terme, qui désigne les déplacements saisonniers conjoints de troupeaux d'animaux herbivores et de sociétés humaines, on proposera un inventaire des mots à préférer et de ceux à éviter pour décrire les différentes modalités de tels déplacements.
Patrick Williams et le jazz
In: Ethnologie française: revue de la Société d'Ethnologie française, Band 51, Heft 3, S. 665-672
ISSN: 2101-0064
Patrick Williams n'était pas seulement le spécialiste incontesté des Tsiganes que l'on connaît. Il était aussi un amateur passionné et érudit de jazz. C'est à cette part de notre collègue et ami disparu qu'est consacré cet article. Ses travaux sur Django Reinhardt, le livre Jazz et anthropologie qu'il publia avec Jean Jamin en 2001 et le séminaire du même titre que les deux compères créèrent et animèrent à l'EHESS de 2001 à 2009 imposèrent le jazz comme objet anthropologique au sens plein et firent de cette décennie une période d'intense effervescence jazzologique.
Qui, entre Orient et Occident, mange de la viande, quelle viande et pourquoi ?
In: Anthropology of the Middle East, Band 15, Heft 2, S. 18-33
ISSN: 1746-0727
Abstract:The consumption of meat depends first of all on religious prescripts: unlike Christianity, Judaism and Islam prohibit certain meats. Then comes the cultural status (distinct from the legal status) of animals: in Europe, the consumption of rabbits has declined due to his assimilation to a "pet". After an increase in the post Second World War period, meat consumption has been declining in Europe since the 2000s; similarly, in North Africa and the Middle East, its consumption tends to be closer to that of Europe. These fluctuations owe more to changes in living modes and standards than to animalist activism.Résumé :La consommation carnée dépend d'abord de prescriptions religieuses : à la différence du christianisme, le judaïsme et l'islam interdisent certaines viandes. Vient ensuite le statut culturel (distinct du statut légal) des animaux : en Europe, la consommation du lapin a reculé du fait de son assimilation à un « animal de compagnie ». En Europe toujours, après une hausse après la Seconde Guerre mondiale, la consommation carnée diminue depuis les années 2000 ; à l'inverse, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, elle tend à se rapprocher de celle de l'Europe. Ces fluctuations doivent davantage à l'évolution des genres et des niveaux de vie qu'au militantisme animaliste.
In Memoriam Pierre Bonte (1942-2013)
In: Anthropology of the Middle East, Band 9, Heft 1
ISSN: 1746-0727
Arash Khazeni, Tribes and Empire on the Margins of Nineteenth-Century Iran (Seattle, Wash.: University of Washington Press, 2010). Pp. 304. $60.00 cloth, $30.00 paper
In: International journal of Middle East studies: IJMES, Band 45, Heft 1, S. 167-170
ISSN: 1471-6380
Jocelyne Porcher, Vivre avec les animaux. Une utopie pour le XXIe siècle: Paris, La Découverte, « Textes à l'Appui - Bibliothèque du MAUSS », 2011, 162 p
In: Etudes rurales: anthropologie, économie, géographie, histoire, sociologie ; ER, Heft 188
ISSN: 1777-537X
Raisons et déraisons. Des revendications animalitaires: Essai de lecture anthropologique et politique
In: Pouvoirs: revue française d'études constitutionelles et politiques, Band 131, Heft 4, S. 97-111
Résumé Trois types de rapports aux animaux caractérisent aujourd'hui la société occidentale : 1. des relations effectives d'élevage et d'utilisation d'« animaux de rente », qui sont le fait de professionnels (agriculteurs, éleveurs, etc.) devenus minoritaires dans la société française ; 2. des relations effectives, à dominante affective, avec des « animaux de compagnie », fait d'amateurs, majoritaires ; 3. des relations fictives, imaginées et conçues comme un idéal à atteindre par des militants « animalitaires » ultraminoritaires mais hyperactifs, qui se présentent indûment comme les porte-parole d'une majorité silencieuse, réussissant ainsi à abuser certains établissements publics, médias et décideurs. En réalité, il n'existe aucune raison objective de céder aux pressions animalitaires, qui reposent sur une imposture intellectuelle consistant pour l'essentiel à donner des apparences scientifiques à des choix purement éthiques.
Éditorial. Qu'ont à voir les sciences sociales avec le cheval ?
In: Le mouvement social, Band 229, Heft 4, S. 3-11
ISSN: 1961-8646
Éric Baratay, La société des animaux. De la Révolution à la Libération: Paris, Éditions de La Martinière, 2008, 191 p., ill
In: Etudes rurales: anthropologie, économie, géographie, histoire, sociologie ; ER, Heft 184
ISSN: 1777-537X