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World Affairs Online
Structurer une capacité politique à l'échelle urbaine: les dynamiques de planification à Nantes et à Rennes ; (1977-2001)
In: Revue française de science politique, Volume 56, Issue 5, p. 837-867
ISSN: 0035-2950
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Structurer une capacité politique à l'échelle urbaine: Les dynamiques de planification à Nantes et à Rennes (1977-2001)
In: Revue française de science politique, Volume 56, Issue 5, p. 837
ISSN: 1950-6686
Sous la mixité sociale, la race: Les impasses renouvelées d'une politique publique
In: Terrains & travaux: cahiers du Département de Sciences Sociales de l'ENS de Cachan, Volume 39, Issue 2, p. 215-237
ISSN: 1627-9506
À partir d'une enquête collective menée entre 2017 et 2020 sur les recompositions des politiques d'attribution et de peuplement dans six agglomérations françaises, cet article examine les processus de catégorisation à l'œuvre dans les politiques locales du logement social. Nous montrons d'abord qu'en dépit de la clarification du principe de mixité sociale et de la redistribution des rôles opérées par la loi Égalité et Citoyenneté de 2017, la majorité des acteurs locaux continue de mobiliser les catégories ethnoraciales antérieures. Les référents ethnoraciaux occupent toujours une place saillante dans les représentations sociales des acteurs et la manière dont ils perçoivent les situations d'attribution. Nous mettons ensuite en évidence des processus d'ethnicisation et de racialisation discrètes, construits sur des critères perçus comme plus légitimes que les critères manifestement ethniques ou raciaux. Enfin, nous analysons les conditions sociales qui rendent possible le maintien des catégories ethnoraciales par-delà la loi Égalité et Citoyenneté.
Impossible déségrégation?: la mise en œuvre contrariée de la réforme des attributions de logements sociaux dans les intercommunalités françaises
In: Gouvernement & action publique, Volume 12, Issue 2, p. 65-92
ISSN: 2260-0965
World Affairs Online
Impossible déségrégation ?: La mise en œuvre contrariée de la réforme des attributions de logements sociaux dans les intercommunalités françaises
In: Gouvernement et action publique, Volume 12, Issue 2, p. 65-92
ISSN: 2262-340X
La loi Égalité et citoyenneté, promulguée en 2017, constitue un changement majeur dans la politique du logement social en France. En réformant les processus d'attribution des logements sociaux, elle clarifie l'objectif de mixité sociale et renforce la capacité des structures intercommunales à lutter contre les processus de ségrégation socio-spatiale qui affectent les quartiers défavorisés des agglomérations françaises. À partir d'une enquête collective menée entre 2017 et 2020 sur les politiques d'attribution et de peuplement, cet article examine la manière dont les objectifs nationaux de la réforme ont été mis en œuvre localement. Nous montrons d'abord qu'en dépit de la clarification du principe de mixité sociale et de la redistribution des rôles opérées par la loi Égalité et citoyenneté, les politiques de déségrégation apparaissent toujours aussi peu efficaces pour réorganiser le peuplement à l'échelle des agglomérations. L'échec de la réforme est expliqué par des dynamiques tant nationales que locales. Nous insistons notamment sur la mobilisation des acteurs locaux en charge de la mise en œuvre, principalement les communes et les bailleurs sociaux. Sans remettre en cause l'intégralité de la réforme, ces acteurs ont souvent réussi à domestiquer les instruments de la loi pour en affaiblir la portée. Ceci n'a toutefois pas empêché l'apparition de changements incrémentaux au sein des systèmes d'acteurs locaux et dans l'espace des institutions publiques.
Les métropoles comme enjeu syndical : marginalité et avenir de l'action syndicale dans la territorialisation de l'action publique
Date sur couverture : octobre 2019, mais le rapport a actuellement été diffusé en juin 2020 (cf site web IRES) ; Cette recherche a été réalisée dans le cadre de la convention d'études conclue pour l'année 2016 (projet n° 3) entre l'Institut de recherches économiques et sociales (Ires) «au service des organisations représentatives de travailleurs » et la Confédération générale du travail (CGT). "Les organisations syndicales, et plus précisément leurs instances interprofessionnelles territoriales (unions départementales, locales.), peuvent-elles être considérées comme des acteurs concrètement impliqués dans la fabrique des politiques urbaines ? C'est à partir de cette question a priori surprenante que l'équipe de recherche a mené une enquête comparée sur cinq territoires « métropolitains » : les métropoles de Lyon, Marseille et Bordeaux, et deux coopérations d'échelle métropolitaine, à Belfort-Montbéliard et Nantes-Rennes.Cette enquête démarre sur un constat simple : penser le rôle « territorial » des organisations syndicales en France n'a rien d'évident. L'histoire, les mutations et les difficultés des syndicats ne les positionnent pas comme des acteurs évidents de la « gouvernance territoriale ». Toutefois, plusieurs processus invitent à situer les enjeux territoriaux au cœur de l'agenda syndical : les récentes réformes de décentralisation qui confient toujours plus de compétences en matière de politiques économiques aux métropoles ; les expériences nord-américaines d'alliance entre syndicats de travailleurs et mouvements sociaux urbains, censées répondre aux difficultés de l'action syndicale ; les revendications urbaines portées par des mobilisations extérieures au champs syndical mais qui recoupent largement des enjeux de réponse aux besoins sociaux (conditions de travail, de transport, justice sociale).Dès lors, les cinq monographies réalisées permettent d'insister sur trois résultats principaux. Premièrement, le « fait métropolitain » en France ne saurait être résumé à l'avènement d'institutions locales ...
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Les métropoles comme enjeu syndical : marginalité et avenir de l'action syndicale dans la territorialisation de l'action publique
Date sur couverture : octobre 2019, mais le rapport a actuellement été diffusé en juin 2020 (cf site web IRES) ; Cette recherche a été réalisée dans le cadre de la convention d'études conclue pour l'année 2016 (projet n° 3) entre l'Institut de recherches économiques et sociales (Ires) «au service des organisations représentatives de travailleurs » et la Confédération générale du travail (CGT). "Les organisations syndicales, et plus précisément leurs instances interprofessionnelles territoriales (unions départementales, locales.), peuvent-elles être considérées comme des acteurs concrètement impliqués dans la fabrique des politiques urbaines ? C'est à partir de cette question a priori surprenante que l'équipe de recherche a mené une enquête comparée sur cinq territoires « métropolitains » : les métropoles de Lyon, Marseille et Bordeaux, et deux coopérations d'échelle métropolitaine, à Belfort-Montbéliard et Nantes-Rennes.Cette enquête démarre sur un constat simple : penser le rôle « territorial » des organisations syndicales en France n'a rien d'évident. L'histoire, les mutations et les difficultés des syndicats ne les positionnent pas comme des acteurs évidents de la « gouvernance territoriale ». Toutefois, plusieurs processus invitent à situer les enjeux territoriaux au cœur de l'agenda syndical : les récentes réformes de décentralisation qui confient toujours plus de compétences en matière de politiques économiques aux métropoles ; les expériences nord-américaines d'alliance entre syndicats de travailleurs et mouvements sociaux urbains, censées répondre aux difficultés de l'action syndicale ; les revendications urbaines portées par des mobilisations extérieures au champs syndical mais qui recoupent largement des enjeux de réponse aux besoins sociaux (conditions de travail, de transport, justice sociale).Dès lors, les cinq monographies réalisées permettent d'insister sur trois résultats principaux. Premièrement, le « fait métropolitain » en France ne saurait être résumé à l'avènement d'institutions locales ...
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Les métropoles comme enjeu syndical : marginalité et avenir de l'action syndicale dans la territorialisation de l'action publique
Date sur couverture : octobre 2019, mais le rapport a actuellement été diffusé en juin 2020 (cf site web IRES) ; Cette recherche a été réalisée dans le cadre de la convention d'études conclue pour l'année 2016 (projet n° 3) entre l'Institut de recherches économiques et sociales (Ires) «au service des organisations représentatives de travailleurs » et la Confédération générale du travail (CGT). "Les organisations syndicales, et plus précisément leurs instances interprofessionnelles territoriales (unions départementales, locales.), peuvent-elles être considérées comme des acteurs concrètement impliqués dans la fabrique des politiques urbaines ? C'est à partir de cette question a priori surprenante que l'équipe de recherche a mené une enquête comparée sur cinq territoires « métropolitains » : les métropoles de Lyon, Marseille et Bordeaux, et deux coopérations d'échelle métropolitaine, à Belfort-Montbéliard et Nantes-Rennes.Cette enquête démarre sur un constat simple : penser le rôle « territorial » des organisations syndicales en France n'a rien d'évident. L'histoire, les mutations et les difficultés des syndicats ne les positionnent pas comme des acteurs évidents de la « gouvernance territoriale ». Toutefois, plusieurs processus invitent à situer les enjeux territoriaux au cœur de l'agenda syndical : les récentes réformes de décentralisation qui confient toujours plus de compétences en matière de politiques économiques aux métropoles ; les expériences nord-américaines d'alliance entre syndicats de travailleurs et mouvements sociaux urbains, censées répondre aux difficultés de l'action syndicale ; les revendications urbaines portées par des mobilisations extérieures au champs syndical mais qui recoupent largement des enjeux de réponse aux besoins sociaux (conditions de travail, de transport, justice sociale).Dès lors, les cinq monographies réalisées permettent d'insister sur trois résultats principaux. Premièrement, le « fait métropolitain » en France ne saurait être résumé à l'avènement d'institutions locales ...
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Les métropoles comme enjeu syndical : marginalité et avenir de l'action syndicale dans la territorialisation de l'action publique
Date sur couverture : octobre 2019, mais le rapport a actuellement été diffusé en juin 2020 (cf site web IRES) ; Cette recherche a été réalisée dans le cadre de la convention d'études conclue pour l'année 2016 (projet n° 3) entre l'Institut de recherches économiques et sociales (Ires) «au service des organisations représentatives de travailleurs » et la Confédération générale du travail (CGT). "Les organisations syndicales, et plus précisément leurs instances interprofessionnelles territoriales (unions départementales, locales.), peuvent-elles être considérées comme des acteurs concrètement impliqués dans la fabrique des politiques urbaines ? C'est à partir de cette question a priori surprenante que l'équipe de recherche a mené une enquête comparée sur cinq territoires « métropolitains » : les métropoles de Lyon, Marseille et Bordeaux, et deux coopérations d'échelle métropolitaine, à Belfort-Montbéliard et Nantes-Rennes.Cette enquête démarre sur un constat simple : penser le rôle « territorial » des organisations syndicales en France n'a rien d'évident. L'histoire, les mutations et les difficultés des syndicats ne les positionnent pas comme des acteurs évidents de la « gouvernance territoriale ». Toutefois, plusieurs processus invitent à situer les enjeux territoriaux au cœur de l'agenda syndical : les récentes réformes de décentralisation qui confient toujours plus de compétences en matière de politiques économiques aux métropoles ; les expériences nord-américaines d'alliance entre syndicats de travailleurs et mouvements sociaux urbains, censées répondre aux difficultés de l'action syndicale ; les revendications urbaines portées par des mobilisations extérieures au champs syndical mais qui recoupent largement des enjeux de réponse aux besoins sociaux (conditions de travail, de transport, justice sociale).Dès lors, les cinq monographies réalisées permettent d'insister sur trois résultats principaux. Premièrement, le « fait métropolitain » en France ne saurait être résumé à l'avènement d'institutions locales ...
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Date sur couverture : octobre 2019, mais le rapport a actuellement été diffusé en juin 2020 (cf site web IRES) ; Cette recherche a été réalisée dans le cadre de la convention d'études conclue pour l'année 2016 (projet n° 3) entre l'Institut de recherches économiques et sociales (Ires) «au service des organisations représentatives de travailleurs » et la Confédération générale du travail (CGT). "Les organisations syndicales, et plus précisément leurs instances interprofessionnelles territoriales (unions départementales, locales.), peuvent-elles être considérées comme des acteurs concrètement impliqués dans la fabrique des politiques urbaines ? C'est à partir de cette question a priori surprenante que l'équipe de recherche a mené une enquête comparée sur cinq territoires « métropolitains » : les métropoles de Lyon, Marseille et Bordeaux, et deux coopérations d'échelle métropolitaine, à Belfort-Montbéliard et Nantes-Rennes.Cette enquête démarre sur un constat simple : penser le rôle « territorial » des organisations syndicales en France n'a rien d'évident. L'histoire, les mutations et les difficultés des syndicats ne les positionnent pas comme des acteurs évidents de la « gouvernance territoriale ». Toutefois, plusieurs processus invitent à situer les enjeux territoriaux au cœur de l'agenda syndical : les récentes réformes de décentralisation qui confient toujours plus de compétences en matière de politiques économiques aux métropoles ; les expériences nord-américaines d'alliance entre syndicats de travailleurs et mouvements sociaux urbains, censées répondre aux difficultés de l'action syndicale ; les revendications urbaines portées par des mobilisations extérieures au champs syndical mais qui recoupent largement des enjeux de réponse aux besoins sociaux (conditions de travail, de transport, justice sociale).Dès lors, les cinq monographies réalisées permettent d'insister sur trois résultats principaux. Premièrement, le « fait métropolitain » en France ne saurait être résumé à l'avènement d'institutions locales ...
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Les métropoles comme enjeu syndical : marginalité et avenir de l'action syndicale dans la territorialisation de l'action publique
Date sur couverture : octobre 2019, mais le rapport a actuellement été diffusé en juin 2020 (cf site web IRES) ; Cette recherche a été réalisée dans le cadre de la convention d'études conclue pour l'année 2016 (projet n° 3) entre l'Institut de recherches économiques et sociales (Ires) «au service des organisations représentatives de travailleurs » et la Confédération générale du travail (CGT). "Les organisations syndicales, et plus précisément leurs instances interprofessionnelles territoriales (unions départementales, locales.), peuvent-elles être considérées comme des acteurs concrètement impliqués dans la fabrique des politiques urbaines ? C'est à partir de cette question a priori surprenante que l'équipe de recherche a mené une enquête comparée sur cinq territoires « métropolitains » : les métropoles de Lyon, Marseille et Bordeaux, et deux coopérations d'échelle métropolitaine, à Belfort-Montbéliard et Nantes-Rennes.Cette enquête démarre sur un constat simple : penser le rôle « territorial » des organisations syndicales en France n'a rien d'évident. L'histoire, les mutations et les difficultés des syndicats ne les positionnent pas comme des acteurs évidents de la « gouvernance territoriale ». Toutefois, plusieurs processus invitent à situer les enjeux territoriaux au cœur de l'agenda syndical : les récentes réformes de décentralisation qui confient toujours plus de compétences en matière de politiques économiques aux métropoles ; les expériences nord-américaines d'alliance entre syndicats de travailleurs et mouvements sociaux urbains, censées répondre aux difficultés de l'action syndicale ; les revendications urbaines portées par des mobilisations extérieures au champs syndical mais qui recoupent largement des enjeux de réponse aux besoins sociaux (conditions de travail, de transport, justice sociale).Dès lors, les cinq monographies réalisées permettent d'insister sur trois résultats principaux. Premièrement, le « fait métropolitain » en France ne saurait être résumé à l'avènement d'institutions locales ...
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Les métropoles comme enjeu syndical : marginalité et avenir de l'action syndicale dans la territorialisation de l'action publique
Date sur couverture : octobre 2019, mais le rapport a actuellement été diffusé en juin 2020 (cf site web IRES) ; Cette recherche a été réalisée dans le cadre de la convention d'études conclue pour l'année 2016 (projet n° 3) entre l'Institut de recherches économiques et sociales (Ires) «au service des organisations représentatives de travailleurs » et la Confédération générale du travail (CGT). "Les organisations syndicales, et plus précisément leurs instances interprofessionnelles territoriales (unions départementales, locales.), peuvent-elles être considérées comme des acteurs concrètement impliqués dans la fabrique des politiques urbaines ? C'est à partir de cette question a priori surprenante que l'équipe de recherche a mené une enquête comparée sur cinq territoires « métropolitains » : les métropoles de Lyon, Marseille et Bordeaux, et deux coopérations d'échelle métropolitaine, à Belfort-Montbéliard et Nantes-Rennes.Cette enquête démarre sur un constat simple : penser le rôle « territorial » des organisations syndicales en France n'a rien d'évident. L'histoire, les mutations et les difficultés des syndicats ne les positionnent pas comme des acteurs évidents de la « gouvernance territoriale ». Toutefois, plusieurs processus invitent à situer les enjeux territoriaux au cœur de l'agenda syndical : les récentes réformes de décentralisation qui confient toujours plus de compétences en matière de politiques économiques aux métropoles ; les expériences nord-américaines d'alliance entre syndicats de travailleurs et mouvements sociaux urbains, censées répondre aux difficultés de l'action syndicale ; les revendications urbaines portées par des mobilisations extérieures au champs syndical mais qui recoupent largement des enjeux de réponse aux besoins sociaux (conditions de travail, de transport, justice sociale).Dès lors, les cinq monographies réalisées permettent d'insister sur trois résultats principaux. Premièrement, le « fait métropolitain » en France ne saurait être résumé à l'avènement d'institutions locales ...
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Metropolitan areas as a trade union challenge: marginality and future of trade union action in the territorialisation of public policy ; Les métropoles comme enjeu syndical : marginalité et avenir de l'action syndicale dans la territorialisation de l'action publique
Date on cover: October 2019, but the report was currently disseminated in June 2020 (see IRES website) This research was carried out in the context of the study agreement concluded for 2016 (project No 3) between the Institute for Economic and Social Research (Ires) "at the service of workers' representative organisations" and the General Confederation of Labour (CGT). "Can trade union organisations, and more specifically their territorial inter-branch bodies (departmental and local unions, etc.), be regarded as actors specifically involved in the shaping of urban policies? It was on the basis of this a priori surprising question that the research team conducted a comparative survey into five 'metropolitan' territories: the metropolitan areas of Lyon, Marseille and Bordeaux, and two metropolitan cooperation in Belfort-Montbéliard and Nantes-Rennes.This survey starts with a simple finding: there is nothing obvious about the "territorial" role of trade union organisations in France, and the history, changes and difficulties of trade unions do not place them as obvious players in "territorial governance". However, several processes call for territorial challenges to be placed at the heart of the trade union agenda: the recent decentralisation reforms, which give more and more powers in the field of economic policies to metropolitan areas; North American experiences of alliance between workers' unions and urban social movements, which are supposed to address the challenges of trade union action; the urban demands made by actions outside the trade union field, but which largely overlap with the challenges of meeting social needs (working conditions, transport conditions, social justice). Therefore, the five monographs produced make it possible to highlight three main results. First, the 'metropolitan fact' in France cannot be summed up with the advent of overperforming local institutions and fully aligned with a neoliberal agenda. In each territory, there are very heterogeneous configurations: variable political ...
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