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Forme di presenza della filosofia nel romanzo del XVIII secolo
In: Iride: filosofia e discussione pubblica, Band 27, Heft 72, S. 381-392
ISSN: 1122-7893
Une œuvre cohérente
In: La Pensée, Band 374, Heft 2, S. 37-45
Une question fondamentale divise encore les commentateurs dans l'interprétation qu'ils proposent des textes de Diderot. Une telle question semble bien porter sur l'objet étudié, mais la complexité de l'affaire est ici évidemment que la position explicitement ou implicitement adoptée détermine la lecture de l'œuvre. Nous aimerions ici préciser quel intérêt nous trouvons à privilégier l'hypothèse d'une cohérence de Diderot, de quelle manière nous entendons cette cohérence, et comment elle trouve dans l'œuvre son expression spécifique.
Une bonne guerre ?
In: Autres temps: cahiers d'ethique sociale et politique, Band 53, Heft 1, S. 37-42
ISSN: 2261-1010
Y a-t-il une actualité de Descartes ?
In: Autres temps: cahiers d'ethique sociale et politique, Band 54, Heft 1, S. 89-97
ISSN: 2261-1010
Agir bien dans l'incertain
In: Autres temps: cahiers d'ethique sociale et politique, Band 49, Heft 1, S. 68-72
ISSN: 2261-1010
La philosophie politique au risque du romanesque : fictions politiques et politique fiction chez Rousseau
Pourquoi raconter des histoires pour philosopher ? Cet article s'intéresse à certains usages de la fiction narrative dans l'œuvre de Jean-Jacques Rousseau, et en particulier au rôle joué par la fiction dans sa philosophie politique. En revenant sur les modalités de l'insertion de la fiction dans des textes argumentatifs, on s'attache à montrer les bénéfices de son usage : elle donne un caractère sensible à l'argumentation et touche l'imagination du lecteur pour mieux le convaincre. Dans le cas du savoir politique, la fiction opère une médiation entre les principes et l'expérience : en faisant voir des types et en promouvant des valeurs, elle fournit une grille d'interprétation du réel. Elle repose cependant sur l'adhésion des lecteurs, qui constituent à travers l'expérience de la lecture une communauté sensible : sans cette condition, la fiction échoue à faire connaître, et c'est là sa fragilité. ; Why philosophize by telling stories? This paper focuses on some uses of narrative fiction in Jean-Jacques Rousseau's works, and more specifically on its function in his political philosophy. By studying how fictions are inserted in argumentative writings, we attempt to show the benefits of using it: it makes the argument more tangible and affects the reader's imagination to better convince him. In the case of political knowledge, fiction serves as a mediation between principles and experience. By showing political types and by promoting values, it provides a grid for interpreting reality. However, its effect is based on the commitment of readers, who, through the reading experience, constitute a sensitive community. Without this requirement, fiction fails to provide access to knowledge: that is its fragility.
BASE
Lumières, matérialisme et morale: autour de Diderot : textes réunis en hommage à Jean-Claude Bourdin
In: La philosophie à l'œuvre no 17
Le jeu, invention d'une liberté dans et par une légalité
In: Autres temps: cahiers d'ethique sociale et politique, Band 58, Heft 1, S. 98-105
ISSN: 2261-1010