Gestionnaire de la majeure partie des dunes littorales de la côte atlantique française, l'Office national des Forêts a mis au point des techniques de contrôle souple de la mobilité des dunes bordières non boisées. Ces travaux sont modulés selon le contexte dynamique local et visent à répondre à une large gamme d'attentes sociales : protection de l'arrière-pays, conservation d'écosystèmes originaux, modération du recul des côtes.
International audience ; Gestionnaire de la majeure partie des dunes littorales de la côte atlantique française, l'Office national des Forêts a mis au point des techniques de contrôle souple de la mobilité des dunes bordières non boisées. Ces travaux sont modulés selon le contexte dynamique local et visent à répondre à une large gamme d'attentes sociales : protection de l'arrière-pays, conservation d'écosystèmes originaux, modération du recul des côtes.
International audience ; Gestionnaire de la majeure partie des dunes littorales de la côte atlantique française, l'Office national des Forêts a mis au point des techniques de contrôle souple de la mobilité des dunes bordières non boisées. Ces travaux sont modulés selon le contexte dynamique local et visent à répondre à une large gamme d'attentes sociales : protection de l'arrière-pays, conservation d'écosystèmes originaux, modération du recul des côtes.
Le pic de production du pétrole fut d'abord annoncé aux États-Unis par le géologue de Shell, King Hubbert. Se basant sur le fait qu'un maximum de découvertes avaient été faites aux États-Unis dans les années 1930, il annonça que la production, toujours pour les États-Unis, atteindrait un maximum de production en 1969, ce qui se réalisa. Des géologues membres de l'Association for the Study of Peak Oil (ASPO) ont extrapolé depuis quelques années ce résultat à l'échelle du globe et, puisque les découvertes de pétrole avaient atteint leur maximum dans les années 1970, annoncent un pic de production pour les prochaines années. Les réserves d'hydrocarbures sont finies et donc épuisables. Mais les réserves ultimes (ce qui existe) sont mal connues. Il existe par exemple des réserves très importantes de pétrole non conventionnel en sus des réserves de brut conventionnel. De plus en plus de spécialistes situent à moins de 100 Mbj – millions de barils par jour – le maximum de production (pour une production actuelle de 87 Mbj), davantage pour des raisons géopolitiques que pour des raisons physiques. Le pic ressemblera sans doute plutôt à un plateau « ondulé » et sera fonction de l'évolution du prix du brut.
En dépit de certains discours, le pétrole sur le continent africain ne représente qu'un peu plus de 3% des réserves mondiales prouvées et 5% de la production. L'importance toute relative de l'Afrique subsaharienne n'interdit cependant pas l'émergence de puissances pétrolières comme le Nigeria et l'Angola, voire à terme la Guinée-équatoriale. La situation dans cette partie du continent africain est également originale par les relations entre grands opérateurs privés et Etat et les critiques de la société civile sur le manque de transparence de ce secteur. (Polit afr/DÜI)
En dépit de certains discours, le pétrole sur le continent africain ne représente qu'un peu plus de 3 % des réserves mondiales prouvées et 5 % de la production. L'importance toute relative de l'Afrique subsaharienne n'interdit cependant pas l'émergence de puissances pétrolières comme le Nigeria et l'Angola, voire à terme la Guinée-Équatoriale. La situation dans cette partie du continent africain est également originale par les relations entre grands opérateurs privés et État et les critiques de la société civile sur le manque de transparence de ce secteur.