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In: Ecological sciences series
1.4.1. Social sciences and natural sciences: the "Great Divide"?1.4.2. Expertise and public decisions; 2. Who Are the Ecologists?; 2.1. "Whisteblower" scientists; 2.2. From environmentalism to ecologism; 2.2.1. Naturalist associations; 2.2.2. A "movement" with unclear outlines; 2.2.3. "Ecologists" and "environmentalists"; 2.3. Ecology in politics, in France and around the world; 2.3.1. Ecologism in the French political arena; 2.3.2. Early alter-globalization and international ecopolitics; PART 2 An Active Minority Against the Majorities; Introduction to Part 2; 3. Liberal Skepticism
In: L' homme et la société: revue internationale de recherches et de syntheses en sciences sociales, Band 218, Heft 1, S. 45-68
L'objet de cet article est de « dénaturaliser l'écologie », que l'on comprendra ici comme une tentative de saisir l'écologisme avec les moyens de la raison. Nous procédons en deux parties. La première cherche à clarifier ce concept de nature qui est mobilisé par ce mouvement que les institutions considèrent notamment comme des « usagers de la nature » (Conseil économique, social et environnemental), avec les chasseurs et les pêcheurs. Nous distinguons cinq sens possibles. La seconde partie focalise sur le changement de modes de vie auquel l'écologisme s'emploie depuis ses origines officielles, dans les années 1960 et 1970. En suivant les distinctions proposées par des sociologues s'appuyant sur cette ontologie sartrienne dans laquelle André Gorz allait puiser son inspiration, nous distinguons les modes de vie, styles de vie, genres de vie et système, les séries, les groupes et nous soulignons l'importance du quasi-souverain.
In: Cahiers droit, sciences et technologies, Heft 13, S. 29-47
ISSN: 2431-8663
In: La Revue du MAUSS, Band 57, Heft 1, S. 100-103
ISSN: 1776-3053
À quoi ressemblerait un monde qui irait vers le convivialisme ? En quelques mots, à ce que le rapport du Milllénaire sur les écosystèmes (2005) appelait la « mosaïque adaptative », c'est-à-dire un ensemble d'actions qui convergent sur la base d'un principe de sobriété, « vivre simplement pour que d'autres puissent simplement vivre ».
International audience ; Cet article insiste sur la complémentarité des mouvements sociaux, en soulignant sur la spécificité et les marges de manœuvre singulières des différentes sites de lutte. Un mouvement peut difficilement en « remplacer » un autre, et accomplir ses missions.
BASE
International audience ; This paper reaffirms the rather close links between Gorz and Sartre. In a political theory approach, it seeks to show how Sartre, who did not theorize ecology, can be usefully used to theorize political ecology, perhaps better than Gorz, who has always acknowledged his debt to his master. ; Cet article rappelle les liens assez étroits qui relient Gorz à Sartre. Dans une démarche de théorie politique il cherche à montrer comment Sartre, qui n'a pas pensé l'écologie, peut être utilement mobilisé pour penser l'écologie politique, peut-être mieux que Gorz, qui a toujours reconnu sa dette envers son maître.
BASE
International audience ; Le « conservatisme de gauche » : un « canard lapin » ? A partir de l'écologie politique.Nous partons ici d'un principe méthodologique que nous avons appliqué dans nos travaux sur l'écologie politique : la thèse de W.B. Gallie suivant laquelle les idées politiques sont « essentiellement contestées » ce qui veut dire qu'elles doivent toujours être comprises comme dotées d'une dimension performative, autrement dit qui vise à produire un effet, contre une autre idée politique, avec laquelle cette idée est en désaccord. Dans cette perspective le « conservatisme de gauche » est une catégorie politique qui ne peut pas être comprise sans avoir identifié qui utilise ce terme, et pourquoi. Sans cette précaution nous serions amenés à confondre par exemple ce que certains acteurs appellent les composantes « droitières » du PS ou de la LCR (en son temps) avec la droite elle-même, alors que ce n'est pas ce que les usagers de ce concept ont en tête. La proposition s'inscrit donc dans les axe 1 et 3, parmi les 3 proposés : un travail de différenciation des idées, plus que leur généalogie, même si celle-ci peut être convoquée pour éclairer le présent. Nous défendrons la thèse suivant laquelle non, le conservatisme n'a pas « franchi le rubicon », et que nous avons affaire ici à un « canard lapin ». Pour autant, cette hypothèse d'un conservatisme de gauche pose des questions classiques, mais cruciales à la gauche, comme à droite, dans la mesure où un parti, qui est une minorité active, pour convaincre, doit se concilier avec l'ordre existant, sous peine de marginalité. Mais cette acceptation stratégique ne doit pas être confondue avec une idéologie politique (au sens de Mannheim) telle qu'un « conservatisme de gauche ». Dans cette mesure-là, le conservatisme de gauche est un « canard-lapin », une chimère. Nous allons examiner le sujet à partir de l'écologie politique.
BASE
International audience ; This paper reaffirms the rather close links between Gorz and Sartre. In a political theory approach, it seeks to show how Sartre, who did not theorize ecology, can be usefully used to theorize political ecology, perhaps better than Gorz, who has always acknowledged his debt to his master. ; Cet article rappelle les liens assez étroits qui relient Gorz à Sartre. Dans une démarche de théorie politique il cherche à montrer comment Sartre, qui n'a pas pensé l'écologie, peut être utilement mobilisé pour penser l'écologie politique, peut-être mieux que Gorz, qui a toujours reconnu sa dette envers son maître.
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International audience ; Cet article insiste sur la complémentarité des mouvements sociaux, en soulignant sur la spécificité et les marges de manœuvre singulières des différentes sites de lutte. Un mouvement peut difficilement en « remplacer » un autre, et accomplir ses missions.
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International audience ; Le « conservatisme de gauche » : un « canard lapin » ? A partir de l'écologie politique.Nous partons ici d'un principe méthodologique que nous avons appliqué dans nos travaux sur l'écologie politique : la thèse de W.B. Gallie suivant laquelle les idées politiques sont « essentiellement contestées » ce qui veut dire qu'elles doivent toujours être comprises comme dotées d'une dimension performative, autrement dit qui vise à produire un effet, contre une autre idée politique, avec laquelle cette idée est en désaccord. Dans cette perspective le « conservatisme de gauche » est une catégorie politique qui ne peut pas être comprise sans avoir identifié qui utilise ce terme, et pourquoi. Sans cette précaution nous serions amenés à confondre par exemple ce que certains acteurs appellent les composantes « droitières » du PS ou de la LCR (en son temps) avec la droite elle-même, alors que ce n'est pas ce que les usagers de ce concept ont en tête. La proposition s'inscrit donc dans les axe 1 et 3, parmi les 3 proposés : un travail de différenciation des idées, plus que leur généalogie, même si celle-ci peut être convoquée pour éclairer le présent. Nous défendrons la thèse suivant laquelle non, le conservatisme n'a pas « franchi le rubicon », et que nous avons affaire ici à un « canard lapin ». Pour autant, cette hypothèse d'un conservatisme de gauche pose des questions classiques, mais cruciales à la gauche, comme à droite, dans la mesure où un parti, qui est une minorité active, pour convaincre, doit se concilier avec l'ordre existant, sous peine de marginalité. Mais cette acceptation stratégique ne doit pas être confondue avec une idéologie politique (au sens de Mannheim) telle qu'un « conservatisme de gauche ». Dans cette mesure-là, le conservatisme de gauche est un « canard-lapin », une chimère. Nous allons examiner le sujet à partir de l'écologie politique.
BASE
In: Ecologie & politique: sciences, cultures, sociétés, Band 56, Heft 1, S. 119
ISSN: 2118-3147
In: Ecologie & politique: sciences, cultures, sociétés, Band 57, Heft 2, S. 133
ISSN: 2118-3147