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La Banque mondiale n'a plus d'argent, mais elle a des idées
Ce rapport de la Banque mondiale propose de rendre plus efficace l'aide aux pays en voie de développement, dans une conjoncture de baisse des transferts financiers d'aide publique, sur la base de trois principes: l'adoption du modèle libre-échangiste, la démocratisation et la bonne gestion des affaires publiques. Si la préoccupation revient aux problèmes de développement, après vingt années d'accent mis sur l'ajustement structurel, il apparaît à l'examen des solutions préconisées que cet exercice est avant tout une tentative de justifier les politiques passées et de légitimer le rôle prééminent de la Banque mondiale dans l'aide au développement.
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Politiques des prix et performances des filières cotonnières en Afrique
In: Tiers-Monde, Band 40, Heft 160, S. 929-941
L'unité de recherche Economie des filières
Cette publication expose l'organisation, la gestion, les objectifs et les programmes de recherche en cours de l'unité de recherche en économie des filières du CIRAD
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Devaluation and liberalization as tools for enhancing competitiveness? : some insights from the recent West African experience in cocoa marketing
Face à la baisse importante du prix du cacao sur le marché international dans les années 80, les pays producteurs ont été incités à dévaluer leur monnaie et libéraliser leur économie, pour redevenir compétitifs sur les marchés extérieurs. La question qui se posait était de savoir si ces réformes, qui ont été appliquées en 1994 en Afrique de l'Ouest seraient couronnées du même succès qu'en Asie du Sud-Est, où elles avaient été expérimentées au milieu des années 80. Cette communication essaie de répondre à la question en analysant les changements intervenus dans le secteur du cacao dans trois pays de l'Afrique de l'Ouest : Cameroun, Côte d'Ivoire et Ghana, en les comparant à l'Indonésie. Les résultats ne confirment pas les attentes. Ils montrent que les pays africains ont des difficultés à utiliser l'outil de la dévaluation pour faire baisser les marges des intermédiaires au profit des producteurs. La libéralisation, non plus, n'a pas fait la preuve qu'elle était plus performante que la régulation des prix par les offices d'Etat. Dans ce contexte, le paramètre politique le plus important pour augmenter l'incitation à produire est le niveau des prélèvements de l'Etat. Pour rester compétitifs, les pays producteurs dont les revenus dépendent des taxes à l'exportation doivent s'assurer que le niveau de ces taxes laisse aux producteurs un revenu suffisamment rémunérateur.
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Les cafés robusta africains peuvent-ils encore être compétitifs ?
L'effondrement des cours mondiaux, avec, comme corollaire, une forte pression sur les coûts de production chez l'ensemble des pays producteurs, amène à s'interroger sur la capacité de certains pays africains de se maintenir sur le marché à plus long terme, c'est-à-dire en vendant des produits à moindre coût que leurs concurrents. Deux facteurs sont étudiés : l'analyse comparative de la structure des coûts de la filière robusta et l'analyse des avantages potentiels de l'intensification. On procède à des comparaisons entre pays et pour un même pays entre 2 périodes différentes (l'année 1985-86 antérieure à la crise et la campagne 1991-92). A partir de ce constat, l'analyse prospective cherchera à identifier les réactions possibles des producteurs africains suivant des hypothèses différentes des cours internationaux : retour au prix de 1970-1985, maintien du prix actuel, hausse limitée du prix. On examine l'intérêt dans cette dernière hypothèse, d'augmenter la production avec des systèmes de culture à haut rendement, par rapport au système le plus répandu de défrichement des nouvelles terres
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Un bilan de l'aide au developpement: Synthese des evaluations
Cet ouvrage synthetise les principaux resultats des evaluations qui ont ete menees depuis 1981, au sein du Ministere de la Cooperation
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La crise de l'arachide au Sénégal : un bilan-diagnostic
Par le passé, le secteur arachide a été d'une importance vitale pour le Sénégal, assurant jusqu'à 80% des exportations. Depuis quelques années, la collecte a été divisée par 3, son poids à l'exportation ne représente plus que 10 à 20%. La production a baissé. Avant de lancer un programme de relance, ce bilan diagnostic du secteur tente d'identifier les raisons de la chute de la production de l'arachide d'huilerie et la mauvaise commercialisation de l'arachide de bouche. Trois facteurs essentiels à la relance de la filière sont identifiés : l'itinéraire technique, la qualité des semences et la fertilité des sols. Le respect de l'itinéraire technique est fonction de l'intérêt que le paysan porte à sa culture. Une réévaluation des prix d'achat de l'arachide peut être à même de le remotiver
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République de Côte d'Ivoire. Ministère de l'agriculture et des ressources animales. Evaluation du Programme Soja
Cette étude est une évaluation socioéconomique et technique du programme soja mis en oeuvre dans les départements de Touba et d'Odienne dans le Nord-Ouest de la Côte d'Ivoire. Le premier chapitre décrit l'environnement physique et humain du projet et présente les objectifs et leur réalisation jusqu'à la fin de la campagne 1990. Le chapitre 2 analyse les principales fonctions techniques du projet et évalue les résultats du point de vue agronomique. Le chapitre 3 présente une analyse socioéconomique du monde rural dans la région du projet par le biais d'enquêtes qualitatives. Le chapitre 4 traite l'évaluation économique et financière du programme. Les auteurs concluent sur des recommandations pour conforter le programme.
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Première revue externe du département des cultures annuelles
Les orientations du département des cultures annuelles sont en phase avec les objectifs de lutte contre la faim et la pauvreté, de développement durable et de service aux plus démunis. Le contexte international économique et scientifique est globalement pris en compte. Le rôle du Cirad-ca dans la formation des partenaires du Sud doit être maintenu, voire amplifié, aussi bien pour les jeunes diplômés de l'enseignement supérieur que pour les futurs techniciens. Toutes ces préoccupations constructives amènent le département à adopter une organisation par projets pluridisciplinaires, et non par disciplines scientifiques. Ce choix est capital, et pertinent dans le contexte de la recherche agronomique du début du XXIe siècle. Les disciplines scientifiques présentes au sein du département sont variées. Toutefois, les sciences économiques et la modélisation doivent acquérir un rôle plus important. Uinterdisciplinarité doit être encouragée, malgré les difficultés d'animation scientifique qui en découlent. Les compétences disciplinaires doivent être développées tout en maintenant la qualité actuelle d'expertise globale. Les chefs de programme ont des responsabilités trop grandes, d'où une faiblesse de l'animation scientifique et parfois du management. Ces fonctions devraient être en partie déléguées aux chefs d'équipe. Les compétences de management et de gestion doivent être développées. Le niveau du doctorat requis dans les recrutements de chercheurs est pertinent. Cependant, afin de rester ancré dans les réalités de terrain, il est important que les candidats aient montré leur engagement effectif en faveur des pays en développement. En outre, une personne ayant habilitation à diriger des recherches doit être présente dans chaque programme du département. La proportion des chercheurs qui travaillent hors du centre de Montpellier est satisfaisante. Cette proportion, à maintenir, doit prendre en compte le vieillissement des jeunes chercheurs envoyés récemment en poste a l'étranger. L'éventail des activités, des lieux de travail et des partenariats du Cirad-ca est source de nombreuses synergies potentielles. Certaines de ces synergies restent à exploiter. Les différentes transversalités annoncées devront correspondre à une réalité plutôt qu'à une simple présentation. Par ailleurs, l'agronomie et l'économie sont des disciplines qui doivent être intégrées à l'ensemble des filières. Le bon fonctionnement des unités mixtes de recherche est salué. Il permet de mettre en place des partenariats avec d'autres institutions et de définir des pôles de compétence communs. Le secteur productif doit quant à lui être associé à la définition des actions de recherche appliquée et, si possible, au financement des programmes. Une procédure d'évaluation des équipes et des individus du Cirad doit être mise en place. Le département des cultures annuelles constitue un département propice au lancement de cette procédure. On peut s'interroger sur le bien-fondé d'une cellule de valorisation dans chaque département. Ne serait-il pas plus logique de disposer d'une unité centrale de valorisation pour l'ensemble du Cirad ?
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