Changement ou continuité ? Les processus participatifs au gouvernement du Canada 1975-2005
In: Gouvernance et Gestion Publiqu
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In: Gouvernance et Gestion Publiqu
In: Recherches sociographiques, Band 51, Heft 1-2, S. 265
ISSN: 1705-6225
In: Canadian journal of political science: CJPS = Revue canadienne de science politique, Band 37, Heft 3, S. 762-765
ISSN: 1744-9324
L'aide au conditionnel. La contrepartie dans les mesures envers
les personnes sans emploi en Europe et en Amérique du Nord, Pascale Dufour, Gérard Boismenu et Alain Noël, Montréal : Les Presses de l'Université de Montréal, 2003, 219 p.Les dépenses publiques sont, dans la majorité des pays
occidentaux, sous haute surveillance. Dans la dynamique générale de réduction des dépenses que
l'on observe depuis maintenant plusieurs années, l'aide
sociale et les autres formes d'aide aux sans-emploi se retrouvent
parmi les postes budgétaires les plus questionnés par les
pouvoirs publics. Ce questionnement s'est notamment traduit par
l'introduction de mesures visant à contraindre les
prestataires à de nouvelles exigences, de sorte que l'aide qui
leur est octroyée est de plus en plus " conditionnelle
". Dufour, Boismenu et Noël proposent une analyse
comparée de l'évolution de ce type de mesures qui
comporte 6 pays, soit le Canada (fédéral, Québec,
Ontario et Alberta), les États-Unis (fédéral,
Wisconsin et Californie), la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne et
le Danemark. Plus spécifiquement, les auteurs cherchent à
répondre à deux questions principales : comment comprendre
les transformations actuelles des systèmes de protection sociale et
quels sont les éléments de convergence et de divergence
entre les divers pays. L'ouvrage est découpé en sept
sections, incluant l'introduction et la conclusion.
In: Canadian journal of political science: CJPS = Revue canadienne de science politique : RCSP, Band 37, Heft 3, S. 762-764
ISSN: 0008-4239
In: Canadian journal of political science: CJPS = Revue canadienne de science politique, Band 43, Heft 3, S. 607-631
ISSN: 1744-9324
Résumé.En 2001, le gouvernement québécois adopte laPolitique de reconnaissance et de soutien à l'action communautaire. La mise en œuvre de cette politique a mené à des résultats contrastés en fonction des champs d'intervention considérés. Dans cet article, nous soutenons que la mise en œuvre différenciée de la Politique est directement liée à la structuration des acteurs sociaux dans chaque champ d'intervention. Par l'analyse de deux champs, le champ de l'environnement et celui de la défense collective des droits, nous montrons comment, au-delà des explications usuelles des processus de mise en œuvre des politiques publiques qui font intervenir le rôle des acteurs politiques et des réseaux, c'est la prise en compte de l'action autonome des acteurs sociaux qui permet de comprendre la différenciation des trajectoires de mise en œuvre.Abstract.In 2001, the Québec government adopted itsPolitique de reconnaissance et de soutien à l'action communautaire. The implementation of this policy has led to contrasting results depending on the fields of intervention considered. We argue that the different implementation pathways of this policy are directly linked to the structuring of social actors in each field. Using two fields of intervention – the environment and advocacy – as case studies, we show the need to go beyond the usual explanations regarding the implementation of public policies which stress the importance of political actors and policy networks. Without neglecting the role of the latter, the different pathways in the implementation processes of this policy are also largely due to the autonomous action of social actors.
In: Canadian journal of political science: CJPS = Revue canadienne de science politique : RCSP, Band 43, Heft 3, S. 607-632
ISSN: 0008-4239
In: Politique et sociétés, Band 32, Heft 1, S. 129
ISSN: 1703-8480
In: Politique et sociétés, Band 32, Heft 1, S. 3
ISSN: 1703-8480
This article introduces a thematic file on participatory schemes which have all been analysed on the basis of the same research question: how do they relate to civic power and capabilities? In other words, the article and the file consider these devices as possible laboratories to study new links between power (traditional design in political science) and capabilities (citizens). The article therefore reviews, in a first part, four main types of criticism of participation. Next, in the following two sections, the article sets out the main dimensions, on the one hand, of power and, on the other, of capabilities, by referring to the texts which make up the thematic dossier. Finally, the article concludes on the interaction between institutions and participation, particularly in terms of legitimacy and empowerment. ; Cet article introduit un dossier thématique sur des dispositifs participatifs qui ont tous été analysés à partir d'une même question de recherche: quel est leur rapport au pouvoir et aux capacités citoyennes? En d'autres termes, l'article et le dossier considèrent ces dispositifs comme autant de laboratoires possibles pour étudier de nouvelles articulations entre pouvoir (conception traditionnelle en science politique) et capacités (citoyennes). L'article passe dès lors en revue, dans une première partie, quatre grands types de critiques adressées à la participation. Ensuite, dans les deux sections suivantes, l'article met à plat les principales dimensions, d'une part du pouvoir, d'autre part des capacités, en renvoyant aux textes qui constituent le dossier thématique. Enfin, l'article conclut sur les interactions entre institutions et participation, notamment en termes de légitimité et d'empowerment.
BASE
Cet article introduit un dossier thématique sur des dispositifs participatifs qui ont tous été analysés à partir d'une même question de recherche: quel est leur rapport au pouvoir et aux capacités citoyennes? En d'autres termes, l'article et le dossier considèrent ces dispositifs comme autant de laboratoires possibles pour étudier de nouvelles articulations entre pouvoir (conception traditionnelle en science politique) et capacités (citoyennes). L'article passe dès lors en revue, dans une première partie, quatre grands types de critiques adressées à la participation. Ensuite, dans les deux sections suivantes, l'article met à plat les principales dimensions, d'une part du pouvoir, d'autre part des capacités, en renvoyant aux textes qui constituent le dossier thématique. Enfin, l'article conclut sur les interactions entre institutions et participation, notamment en termes de légitimité et d'empowerment.
BASE
Une des mutations les plus profondes de l'époque contemporaine est la revalorisation de la participation dans les processus de discussion et de décision publiques. Cette mutation est porteuse si elle s'inscrit dans l'essence même de la démocratie, c'est-à-dire si elle contribue à asseoir et à renforcer le pouvoir dévolu aux citoyens. Aujourd'hui, il est donc impératif d'interroger la gamme des capacités permettant d'incarner ledit pouvoir. Notre article mobilise deux grands axes de comparaison, d'une part institutionnalisation-mobilisation, et d'autre part individuel-collectif, pour comparer entre eux plusieurs dispositifs. Le premier axe renvoie à la formalisation du dispositif (plus ou moins codé). Le deuxième axe questionne la conception de l'acteur véhiculée par le dispositif (plus ou moins mobilisé). A partir de cette comparaison, l'article relève plusieurs conditions auxquelles les dispositifs peuvent recomposer les relations entre pouvoir politique et capacités citoyennes.
BASE
Cet article introduit un dossier thématique sur des dispositifs participatifs qui ont tous été analysés à partir d'une même question de recherche: quel est leur rapport au pouvoir et aux capacités citoyennes? En d'autres termes, l'article et le dossier considèrent ces dispositifs comme autant de laboratoires possibles pour étudier de nouvelles articulations entre pouvoir (conception traditionnelle en science politique) et capacités (citoyennes). L'article passe dès lors en revue, dans une première partie, quatre grands types de critiques adressées à la participation. Ensuite, dans les deux sections suivantes, l'article met à plat les principales dimensions, d'une part du pouvoir, d'autre part des capacités, en renvoyant aux textes qui constituent le dossier thématique. Enfin, l'article conclut sur les interactions entre institutions et participation, notamment en termes de légitimité et d'empowerment.
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Une des mutations les plus profondes de l'époque contemporaine est la revalorisation de la participation dans les processus de discussion et de décision publiques. Cette mutation est porteuse si elle s'inscrit dans l'essence même de la démocratie, c'est-à-dire si elle contribue à asseoir et à renforcer le pouvoir dévolu aux citoyens. Aujourd'hui, il est donc impératif d'interroger la gamme des capacités permettant d'incarner ledit pouvoir. Notre article mobilise deux grands axes de comparaison, d'une part institutionnalisation-mobilisation, et d'autre part individuel-collectif, pour comparer entre eux plusieurs dispositifs. Le premier axe renvoie à la formalisation du dispositif (plus ou moins codé). Le deuxième axe questionne la conception de l'acteur véhiculée par le dispositif (plus ou moins mobilisé). A partir de cette comparaison, l'article relève plusieurs conditions auxquelles les dispositifs peuvent recomposer les relations entre pouvoir politique et capacités citoyennes.
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