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The dissertation seeks to account for the place of gender in Fatna El Bouih's testimonial enterprise and her writing of the prison experience of the years of lead through Une femme nommée Rachid. Presented as the first testimony of a political prisonerin Morocco, the text is analyzed, in its various editions (Arabic, English, and the two French versions) from its context of writing and publication, its transformations (the passage from the Arabic version to the French version, then the second French edition) and its literary dimension which presents itself as a writing of the difficult confession and highlights the gender-based violence experienced during the detention of Fatna El Bouih. ; Le mémoire cherche à rendre compte de la place du genre dans l'entreprise testimoniale de Fatna El Bouih et de son écriture de l'expérience carcérale des années de plomb à travers Une femme nommée Rachid. Présenté comme le premier témoignage d'une détenue politique au Maroc, le texte est analysé, dans ses diverses éditions (arabe, anglaise, et les deux versions françaises) à partir de son contexte d'écriture et de publication, de ses transformations (le passage de la version arabe vers la version française, puis la seconde édition française) et de sa dimension littéraire qui se présente comme une écriture de l'aveu difficile et met en lumière la violence carcérale de genre subie pendant la détention de Fatna El Bouih.

The dissertation seeks to account for the place of gender in Fatna El Bouih's testimonial enterprise and her writing of the prison experience of the years of lead through Une femme nommée Rachid. Presented as the first testimony of a political prisonerin Morocco, the text is analyzed, in its various editions (Arabic, English, and the two French versions) from its context of writing and publication, its transformations (the passage from the Arabic version to the French version, then the second French edition) and its literary dimension which presents itself as a writing of the difficult confession and highlights the gender-based violence experienced during the detention of Fatna El Bouih. ; Le mémoire cherche à rendre compte de la place du genre dans l'entreprise testimoniale de Fatna El Bouih et de son écriture de l'expérience carcérale des années de plomb à travers Une femme nommée Rachid. Présenté comme le premier témoignage d'une détenue politique au Maroc, le texte est analysé, dans ses diverses éditions (arabe, anglaise, et les deux versions françaises) à partir de son contexte d'écriture et de publication, de ses transformations (le passage de la version arabe vers la version française, puis la seconde édition française) et de sa dimension littéraire qui se présente comme une écriture de l'aveu difficile et met en lumière la violence carcérale de genre subie pendant la détention de Fatna El Bouih.

The dissertation seeks to account for the place of gender in Fatna El Bouih's testimonial enterprise and her writing of the prison experience of the years of lead through Une femme nommée Rachid. Presented as the first testimony of a political prisonerin Morocco, the text is analyzed, in its various editions (Arabic, English, and the two French versions) from its context of writing and publication, its transformations (the passage from the Arabic version to the French version, then the second French edition) and its literary dimension which presents itself as a writing of the difficult confession and highlights the gender-based violence experienced during the detention of Fatna El Bouih. ; Le mémoire cherche à rendre compte de la place du genre dans l'entreprise testimoniale de Fatna El Bouih et de son écriture de l'expérience carcérale des années de plomb à travers Une femme nommée Rachid. Présenté comme le premier témoignage d'une détenue politique au Maroc, le texte est analysé, dans ses diverses éditions (arabe, anglaise, et les deux versions françaises) à partir de son contexte d'écriture et de publication, de ses transformations (le passage de la version arabe vers la version française, puis la seconde édition française) et de sa dimension littéraire qui se présente comme une écriture de l'aveu difficile et met en lumière la violence carcérale de genre subie pendant la détention de Fatna El Bouih.