Éditorial
In: Medium: transmettre pour innover, Band 10, Heft 1, S. 1-2
ISSN: 1771-3757
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In: Medium: transmettre pour innover, Band 10, Heft 1, S. 1-2
ISSN: 1771-3757
In: Déviance et société, Band 18, Heft 3, S. 245-273
La relation de la police et du public est au cœur même de l'activité policière et au centre de la définition de la police de proximité. Le rapprochement de la police du public qu'elle est censée servir est posé à juste titre comme impératif dans la lutte contre la petite et moyenne délinquance. L'image de la police est plutôt bonne dans l'opinion publique et les Français font plutôt confiance aux responsables de la sécurité. Deux points cependant, attirent plus particulièrement les critiques des Français vis-à-vis de la police : l'accueil qui leur est fait dans les services et l'efficacité policière. Mais malgré ces critiques, la police et, d'une façon générale, les autorités demeurent la première institution à être saisie en cas de problème. Les attentes du public à l'égard de la police vont découler en partie de ces récriminations : les Français réclament en particulier une meilleure information, une plus grande visibilité et une plus grande proximité de la part des policiers. Mais les attentes des Français sont aussi motivées par les peurs qu'ils ressentent et se structurent en fonction de leurs attitudes face à la loi et au contrôle social. Ces attentes, dont les ressorts sont complexes, sont multiformes souvent fluctuantes, parfois même contradictoires. Les policiers vont donc avoir pour agir une marge de manœuvre relativement étroite. C'est pourquoi, ils ont souvent l'impression de l'existence d'un fossé important entre eux et le public : les policiers pensent être mal aimés et estiment que leur profession n'est pas particulièrement populaire. Or, comme le montrent les données, ils se trompent.
In: Revue européenne des migrations internationales: REMI, Band 1, Heft 1, S. 143-158
ISSN: 1777-5418
Immigration clandestine et bidonvilles en Guyane : les Haïtiens à Cayenne
Depuis plusieurs années se développe en direction de la Guyane, un mouvement d'immigration clandestine de plus en plus important. Si les mouvements anciens sont restés relativement faibles, l'immigration actuelle, dont l'essentiel est composé de ressortissants haïtiens, prend des proportions considérables et pose des problèmes d'accueil divers.
Sur le plan urbain, cela se traduit par l'extension et l'aggravation de l'insalubrité des quartiers d'habitat spontané à la périphérie de Cayenne et par l'occupation de tous les vides du tissu urbain de l'île de Cayenne.
Face à ce mouvement, les pouvoirs publics interviennent en promouvant une politique de résorption d'habitat insalubre et de relogement des immigrés de la périphérie.
A travers l'observation de deux bidonvilles de la périphérie de Cayenne, dont l'existence est menacée par une action de ce type, il s'agit d'éclairer le rapport à l'habitat qu'entretient l'immigré haïtien et d'amorcer une première réflexion sur les incidences que peut avoir la réalisation d'opérations d'urbanisme sur le mode d'insertion résidentielle des immigrés et corrélativement sur leur intégration dans la société d'accueil.
In: Regards sur l'actualité, Heft 279, S. 13-25
ISSN: 0337-7091
World Affairs Online
National audience ; Les rencontres nationales des acteurs de la ville, qui se sont tenues les 17 et 18 mars 1999 à Montpellier sur le thème : "Prévention et sécurité : agir au quotidien dans les villes", ont réuni plus de 1700 participants regroupant professionnels, bénévoles, habitants, représentants des services de l'État, des collectivités locales, des réseaux associatifs et du monde de l'entreprise. Elles s'étaient fixées comme objectif, au terme de 18 années de pratique, de revisiter pour les refonder les principes des politiques de prévention et de sécurité urbaine. Ces rencontres ont été précédées d'un important travail de préparation, initié par le Conseil National des Villes et par la Délégation Interministérielle à la Ville et animé par Francis Bailleau et Catherine Gorgeon.
BASE
National audience ; La participation des habitants à la politique de la ville est au centre des multiples projets formulés par les pouvoirs publics pour résoudre "la crise" urbaine. Près de 20 années plus tard, cette exigence est demeurée largement incantatoire et les quelques initiatives mises en œuvre à l'échelle locale n'ont guère réussi à transformer les modes de gestion des problèmes urbains.
BASE
National audience ; Aujourd'hui comme hier, trop souvent les questions comme les réponses, provoquées par la montée des tensions sociales ou des problèmes de marginalité, par celle des phénomènes de violence ou de délinquance sont construites comme s'il s'agissait de manifestations qu'il serait possible d'isoler de la scène sociale, politique ou économique et de traiter en tant que phénomène autonome.
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National audience ; La participation des habitants à la politique de la ville est au centre des multiples projets formulés par les pouvoirs publics pour résoudre "la crise" urbaine. Près de 20 années plus tard, cette exigence est demeurée largement incantatoire et les quelques initiatives mises en œuvre à l'échelle locale n'ont guère réussi à transformer les modes de gestion des problèmes urbains.
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National audience ; Les rencontres nationales des acteurs de la ville, qui se sont tenues les 17 et 18 mars 1999 à Montpellier sur le thème : "Prévention et sécurité : agir au quotidien dans les villes", ont réuni plus de 1700 participants regroupant professionnels, bénévoles, habitants, représentants des services de l'État, des collectivités locales, des réseaux associatifs et du monde de l'entreprise. Elles s'étaient fixées comme objectif, au terme de 18 années de pratique, de revisiter pour les refonder les principes des politiques de prévention et de sécurité urbaine. Ces rencontres ont été précédées d'un important travail de préparation, initié par le Conseil National des Villes et par la Délégation Interministérielle à la Ville et animé par Francis Bailleau et Catherine Gorgeon.
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National audience ; Les rencontres nationales des acteurs de la ville, qui se sont tenues les 17 et 18 mars 1999 à Montpellier sur le thème : "Prévention et sécurité : agir au quotidien dans les villes", ont réuni plus de 1700 participants regroupant professionnels, bénévoles, habitants, représentants des services de l'État, des collectivités locales, des réseaux associatifs et du monde de l'entreprise. Elles s'étaient fixées comme objectif, au terme de 18 années de pratique, de revisiter pour les refonder les principes des politiques de prévention et de sécurité urbaine. Ces rencontres ont été précédées d'un important travail de préparation, initié par le Conseil National des Villes et par la Délégation Interministérielle à la Ville et animé par Francis Bailleau et Catherine Gorgeon.
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National audience ; Aujourd'hui comme hier, trop souvent les questions comme les réponses, provoquées par la montée des tensions sociales ou des problèmes de marginalité, par celle des phénomènes de violence ou de délinquance sont construites comme s'il s'agissait de manifestations qu'il serait possible d'isoler de la scène sociale, politique ou économique et de traiter en tant que phénomène autonome.
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National audience ; La participation des habitants à la politique de la ville est au centre des multiples projets formulés par les pouvoirs publics pour résoudre "la crise" urbaine. Près de 20 années plus tard, cette exigence est demeurée largement incantatoire et les quelques initiatives mises en œuvre à l'échelle locale n'ont guère réussi à transformer les modes de gestion des problèmes urbains.
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National audience ; Aujourd'hui comme hier, trop souvent les questions comme les réponses, provoquées par la montée des tensions sociales ou des problèmes de marginalité, par celle des phénomènes de violence ou de délinquance sont construites comme s'il s'agissait de manifestations qu'il serait possible d'isoler de la scène sociale, politique ou économique et de traiter en tant que phénomène autonome.
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In: Lien social et politiques: revue internationale et interdisciplinaire de sciences humaines consacrée aux thèmes du lien social, de la sociabilité, des problèmes sociaux et des politiques publiques, Heft 57, S. 151-162
ISSN: 1703-9665
La notion d'incivilité regroupe un très large éventail de conduites : indifférence, impolitesse, dégradations, agressivité verbale. Les espaces publics de la Société nationale des Chemins de fer (SNCF) comme ceux de La Poste sont des lieux de brassage social, d'attente prolongée, de mélange entre besoins individuels et traitement de masse. La qualité de service y est intimement liée à la qualité du lien social. Les salariés de ces entreprises font remonter régulièrement le poids croissant des incivilités dont ils sont les témoins ou l'objet. Face à ces actes problématiques, la SNCF et La Poste ont engagé des travaux de recherche analysant les facteurs de dégradation et les leviers de régulation de la civilité dans leurs espaces.
In: Archives de politique criminelle, Band 23, Heft 1, S. 71-91