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Smart information and communication technologies (ICTs) are finding their ways into public administration, and numerous smart government efforts are marking the start of a new digitalization wave in the public sector. Despite being in the early stages of development, these initiatives promise a new model for the provision of public services: smart government. Because past technical innovations in the public sector did not reach their full potential, it is crucial to know the difficulties if one is to successfully address them. We explore the perceived barriers to the adoption of smart government in an early phase of implementation. We analyzed barriers, utilizing 32 interviews with actors involved in smart government initiatives. Cluster analysis helped us to identify six barrier groups: a lack of legitimacy, a lack of legal foundations, a lack of policy coherence, a lack of technical infrastructure, cost-benefit considerations, and a lack of innovation capacity. We distinguish between organizational and institutional barriers, and discuss restrictions and implications for praxis and future research.

Au cours des dernières années, les géants de la technologie ont favorisé l'adoption des Big Data dans le secteur public apportant ainsi des améliorations prometteuses pour la collectivité, les entreprises et le gouvernement. Toutefois, des ambiguïtés conceptuelles ainsi qu'un nombre limité d'observations ont entrainé confusion et l'incertitude. Dans l'étude que nous avons réalisée, nous nous sommes interrogés sur comment les chefs de service de Suisse perçoivent l'utilisation des Big Data dans l'administration publique. En effet, les gestionnaires publics jouent un rôle clé en influençant le compor tement des fonctionnaires et du public. Ils peuvent façonner l'agenda politique de manière durable, et cela en faveur ou à l'encontre de l'utilisation des Big Data. D'où l'impor tance de cette réflexion. De plus, il est essentiel du point de vue de l'administration de connaître l'attitude fondamentale des employés et de la population à l'égard de l'utilisation des Big Data afin de permettre une communication et une mise en œuvre efficaces.

Au cours des dernières années, les géants de la technologie ont favorisé l'adoption des Big Data dans le secteur public apportant ainsi des améliorations prometteuses pour la collectivité, les entreprises et le gouvernement. Toutefois, des ambiguïtés conceptuelles ainsi qu'un nombre limité d'observations ont entrainé confusion et l'incertitude. Dans l'étude que nous avons réalisée, nous nous sommes interrogés sur comment les chefs de service de Suisse perçoivent l'utilisation des Big Data dans l'administration publique. En effet, les gestionnaires publics jouent un rôle clé en influençant le compor tement des fonctionnaires et du public. Ils peuvent façonner l'agenda politique de manière durable, et cela en faveur ou à l'encontre de l'utilisation des Big Data. D'où l'impor tance de cette réflexion. De plus, il est essentiel du point de vue de l'administration de connaître l'attitude fondamentale des employés et de la population à l'égard de l'utilisation des Big Data afin de permettre une communication et une mise en œuvre efficaces.

Anhand zwei konkreter Fallbeispiele beschreibt der vorliegende Artikel anschaulich wie staatliche Behörden und öffentliche Organisationen die heutigen Potenziale der Digitalisierung und integrierter Sensorsysteme zu nutzen versuchen. Unter dem Stichwort "Smart Goverment" werden neuartige IT-Initiativen lanciert, welche mehr als "E-Government" auf eine ganzheitliche Vernetzung von physischen, digitalen, öffentlichen und privaten Lebensräumen abzielen. Dabei spielt die aktive und passive Partizipation von Bürgern und anderen Stakeholdern eine wesentliche Rolle. Nur so können die für die algorithmische Entscheidungsfindung notwendigen Daten generiert werden, welche für die personalisierte Interaktion mit Bürgern oder zur real-time Steuerung öffentlicher Infrastrukturen benötigt werden. Der Artikel schließt mit einer kritischen Diskussion über die Möglichkeiten und Grenzen von Smart Government Initiativen und deren Einfluss auf das Privatleben der Bürger und die öffentliche Politikgestaltung.

This study explores the feasibility and usefulness of five generic frames (conflict, responsibility, economic consequences, human interest and morality) in analysing framing practices in a multifaceted journalistic field over time. We show that supplementing generic frames through the tonality expressed in news stories enhances analytical quality. Mapping Swiss media outlets by how they frame a highly polarizing policy, we identify different framing practices in covering the issue. Using multiple correspondence analyses, the results first show that, while cultural background and media partisanship lead to heterogeneity in how the issue is initially framed, the state's involvement homogenizes framing practices over time. Second, unlike previous research, our study provides empirical evidence that both conflict frame and attribution of responsibility frame can measure the same underlying construct. Third, we find evidence that these two frames are strongly associated with a negative tone. Limitations and implications for future research are discussed.