Comment les géants du numérique veulent gouverner nos villes: la cité face aux algorithmes
In: Diagonales
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In: Diagonales
World Affairs Online
In: Monde en cours
World Affairs Online
In: Futuribles, Band 460, Heft 3, S. 130-131
In: Futuribles, Band 459, Heft 2, S. 117-119
In: Futuribles, Band 456, Heft 5, S. 121-123
In: Futuribles, Band 455, Heft 4, S. 113-115
In: Futuribles, Band 455, Heft 4, S. 49-63
Ce numéro paraît en tout début d'été, alors même que de nombreuses régions françaises sont soumises à des aléas climatiques depuis déjà plusieurs mois (sécheresses et incendies précoces…), rappelant que le changement climatique est une réalité et qu'il faut poursuivre les actions visant à l'endiguer. L'Union européenne et la France ont engagé une transition écologique ambitieuse, visant la neutralité carbone en 2050, et dans ce cadre, un des objectifs affichés est de réduire l'artificialisation des sols — le « zéro artificialisation nette » ou ZAN. On a bien pris conscience du rôle fondamental que jouent les sols dans la gestion des dérèglements écologiques et climatiques, et c'est essentiel, mais comme le montre ici Jean Haëntjens, les usages des sols couvrent de nombreux secteurs d'activité et de nombreux champs des politiques publiques. La planification écologique relative aux sols constitue donc un véritable changement de paradigme, qui va ouvrir de nouvelles opportunités aux territoires, mais également se heurter à des résistances et des contradictions de la part des usagers (agriculteurs, entreprises du bâtiment, producteurs d'énergie, ménages…). Cet article présente les divers enjeux inhérents à la transition écologique appliquée au foncier et à la gestion des sols, et les perspectives qui en découlent selon différents scénarios de planification écologique (ceux envisagés en France par l'ADEME, l'Agence de la transition écologique). Une équation complexe dont la résolution ne pourra probablement pas satisfaire toutes les parties concernées… S.D.
In: Futuribles, Band 453, Heft 2, S. 123-124
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Heft 455, S. 49-64
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
World Affairs Online
In: Futuribles, Band 452, Heft 1, S. 119-121
In: Constructif: des contributions plurielles aux grands débats de notre temps, Band 63, Heft 3, S. 92-96
In: Futuribles, Band 450, Heft 5, S. 57-71
Les questions écologiques font régulièrement la une de l'actualité, les rapports se multiplient pour alerter sur le franchissement de limites planétaires, les catastrophes climatiques en tous genres s'accumulent partout dans le monde : tous les éléments sont réunis pour une prise de conscience des enjeux et de l'urgence à agir. Pourtant, même si l'Europe est leader dans les ambitions affichées en matière de baisse des émissions de gaz à effet de serre, l'écologie politique n'est pas parvenue à s'imposer, en France, comme réelle alternative aux autres courants politiques. Les dernières élections l'ont confirmé : le sujet écologique est jugé prioritaire par les citoyens, mais il est délaissé dans les urnes et ne fait toujours pas figure de projet alternatif. Jean Haëntjens s'interroge sur les spécificités de ce « désir d'écologie » : ce qui les explique, ce qui pourrait aider à inverser la tendance pour qu'enfin l'écologie soit prise en main par les politiques au sens large — les partis, les décideurs, les institutions… Il rappelle le décalage entre les préoccupations des citoyens en matière d'environnement, d'aspiration au vivre mieux, et leur incarnation très lacunaire dans les horizons politiques. Étonnamment, l'écologie ne s'incarne pas comme projet politique national, alors qu'elle peut y parvenir à l'échelle locale. Comme le souligne Jean Haëntjens, c'est bien souvent à ce niveau local que le désir d'écologie peut s'enraciner : par une mobilisation progressive, pas à pas, fondée sur les préoccupations les plus concrètes des citoyens (exemple de Copenhague). Le désir d'écologie est bien présent en France, mais pour l'heure, il reste orphelin ; le défi des années à venir est de donner à voir comment il peut investir le quotidien, de manière concrète, innovante et motivante, de sorte qu'il puisse être effectivement partagé par le plus grand nombre. S.D.
In: Informations sociales, Band 206, Heft 2, S. 12-20
Le modèle de la société de consommation est à fois condamné et formidablement cohérent, ce qui explique qu'il perdure. Il ne pourra être dépassé que par une approche méthodique du « système de satisfaction » qui le fait fonctionner et notamment par la transformation de récompenses matérielles en récompenses non financières et immatérielles. En s'inspirant de l'exemple de certaines politiques locales, cet article explicite cette notion et montre son possible apport aux politiques de transition.
In: Futuribles, Band 447, Heft 2, S. VI-VI