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In: Revue économique, Band 73, Heft 6, S. 943-976
ISSN: 1950-6694
À la suite de travaux antérieurs sur la théorie conséquentialiste de la décision, on considère un domaine non restreint d'arbres de décision finis, y compris les sous-arbres de continuation, qui peuvent avoir : 1) des nœuds de décision où le décideur doit agir ; 2) des nœuds aléatoires où une « loterie à la roulette » avec des probabilités antérieurement definies et strictement positives est résolue ; 3) des nœuds d'événements où une « course de cheval » est résolue. Une famille complète de relations de base conditionnelles binaires sur les conséquences des loteries d'Anscombe et Aumann est définie comme étant « prérationnelle » si et seulement s'il existe une règle de comportement qui est définie dans tout le domaine des arbres et qui s'explique comme évitant, dans toutes les circonstances prévisibles, des conséquences regrettables. Il est montré ici qu'une famille de relations de base est prérationnelle si et seulement si à la fois : 1) chaque relation est complète et transitive ; 2) chaque relation satisfait l'axiome d'indépendance de la théorie de l'utilité espérée ; 3) la famille entière satisfait une forme stricte de l'extension par Anscombe et Aumann du principe de la chose sûre de Savage. En supposant que les relations de base soient non triviales et qu'elles satisfassent une forme généralisée d'indépendance de l'état même si les domaines de conséquence en dépendent, la prérationalité combinée avec la continuité sur les triangles de Marschak est équivalente à l'existence d'une représentation par une classe de fonctions d'utilité espérée subjective dans lesquelles les probabilités sont toutes positives. JEL Codes: D81.
In: Handbook of Social Choice and Welfare, S. 47-151
In: Mathematical social sciences, Band 38, Heft 2, S. 139-156
In: Economica, Band 48, Heft 191, S. 235
In: Economica, Band 44, Heft 176, S. 337
In: The Economic Journal, Band 105, Heft 432, S. 1180
In: Mathematical social sciences, Band 36, Heft 3, S. 185-212
In: Springer eBook Collection
The main purpose of the Handbook of Utility Theory is to make more widely available some recent developments in the area. The editors selected a list of topics that seemed ripe enough to be covered by review articles. Then they invited contributions from researchers whose expert work had come to their attention. So the list of topics and contributors is largely the editors' responsibility. Each contributor's chapter has been refereed, and revised according to the referees' remarks. Whereas Volume I of the Handbook of Utility Theory is largely concentrated on basic theory, the present volume is concerned with extensions and applications to other branches of economic theory. Taken together, these first two volumes contain all the purely theoretical material that the editors planned to cover. The chapters on experimental and empirical research on utility and the chapters on the history of utility theory will appear in Volume III
In: Handbook of utility theory Vol. 1
SSRN
Working paper
"The subject matter that modern economics students are expected to master makes significant mathematical demands. This is true even of the less technical "applied" literature that students will be expected to read for courses in fields such as public finance, industrial organization, and labour economics, amongst several others. Indeed, the most relevant literature typically presumes familiarity with several important mathematical tools, especially calculus for functions of one and several variables, as well as a basic understanding of multivariable optimization problems with or without constraints. Linear algebra is also used to some extent in economic theory, and a great deal more in econometrics."
In: Always learning