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SommaireDans cet article, l'auteur étudie sous tous ses aspects la relation entre le droit international et le développement et exhorte les internationalistes à accorder une plus grande priorité au développement et aux questions qui y sont reliées. Même s'ils ont dans une grande mesure des buts analogues (paix, stabilité et équité), le droit international et le développement se sont engagés, comme l'auteur le démontre, dans des voies essentiellement différentes. Plusieurs raisons sont avancées pour expliquer cet état de choses, parmi lesquelles on doit souligner le fait que les internationalistes se limitent encore aux thèmes classiques de leur domaine. L'auteur énumère un certain nombre de conséquences d'une telle attitude. De l'avis de l'auteur, la voie de la fusion efficace du développement et du droit international ne réside pas dans la création de nouvelles structures bureaucratiques (elles sont en partie la cause du problème), mais dans la volonté d'interpréter les principes du droit international avec la même imagination et la même objectivité qui ont permis au droit interne de jouer un rôle de plus en plus grand dans le règlement des problèmes sociaux internes.

Of the 27 members of the Commonwealth of Nations, 11 are located on the continent of Africa. They range in size from Nigeria, with an area of 356,000 square miles and a population of 60 million, to The Gambia, with an area of 4,000 square miles and a population of 350,000 persons. Prior to 1957 all of the 11 States were colonies of the British crown. In little more than a decade they have all gained political independence-one hundred and six million people residing in autonomous communities which are, in the words of the 1926 Balfour Declaration, "equal in status, and in no way subordinate one to another in any aspect of their domestic or external affairs, though united by a common allegiance to the Crown, and freely associated as members of the British Commonwealth of Nations."'