Suchergebnisse

Intro -- À propos de Collection XIX -- Titre -- INTRODUCTION -- I -- II -- III -- IV -- V -- APRÈS LA RÉFORME DE 1880 -- La surcharge des programmes -- Les exercices de mémoire dans les petites classes -- Les heures de classe -- I -- II -- Toutes les classes doivent-elles avoir même durée ? -- LES MAÎTRES RÉPÉTITEURS -- La réforme proposée et la réforme à faire -- I -- II -- III -- Une circulaire et un décret -- I -- II -- Le journal des maîtres répétiteurs -- Le conflit -- I -- II -- LE REMANIEMENT DES PROGRAMMES DE 1886 -- Les élections au Conseil supérieur et le plan d'études -- I -- II -- III -- IV -- La Commission des programmes -- LYCÉES ET COLLÈGES DE JEUNES FILLES -- La question des internats -- Faut-il féminiser l'enseignement ? -- L'agrégation et le certificat d'aptitude -- I -- II -- La surcharge des programmes et le surmenage -- Le but de l'enseignement secondaire des filles -- La réforme du concours d'agrégation -- Les professeurs femmes dans les lycées de garçons -- UNE PÉRIODE DE STAGNATION -- Les projets de M. Goblet -- La suppression des catégories de lycées -- L'enseignement secondaire trouvera-t-il sa voie ? -- Les élections au Conseil supérieur et la tâche du nouveau Conseil -- I -- II -- On ne fera rien... -- Radical et Révolutionnaire -- On continue à ne rien faire -- Encore une session perdue -- Le tableau d'avancement -- LES RÉFORMES DE 1890 -- I - L'hygiène des lycées -- II - La discipline -- III - L'enseignement de l'histoire -- IV - L'enseignement des lettres et de la philosophie -- Un plan d'action -- Ce qui a manqué aux réformes de 1880, de 1886 et de 1890 -- Les lycées de Paris et la dépopulation scolaire -- Pour le maintien des collèges -- Quel enseignement faut-il donner dans les collèges ? -- L'ère des réformes va s'ouvrir -- VERS L'ENSEIGNEMENT CLASSIQUE FRANÇAIS -- Le baccalauréat de l'enseignement spécial

Intro -- À propos de Collection XIX -- Titre -- AVANT-PROPOS -- LIVRE PREMIER - LA LIBERTÉ D'ENSEIGNEMENT DEVANT L'ASSEMBLÉE CONSTITUANTE -- CHAPITRE PREMIER - M. DE FALLOUX MINISTRE DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE ET DES CULTES -- I -- II -- III -- IV -- V -- CHAPITRE II - LES PREMIERS ACTES DE M. DE FALLOUX -- I -- II -- III -- CHAPITRE III - LA LIBERTÉ D'ENSEIGNEMENT A LA CONSTITUANTE AVANT LE 4 JANVIER 1849 -- I -- II -- III -- CHAPITRE IV - LA LIBERTÉ D'ENSEIGNEMENT A LA CONSTITUANTE APRÈS LE 4 JANVIER 1849 -- I -- II -- III -- IV -- V -- LIVRE II - LA PRÉPARATION DE LA LOI FALLOUX -- CHAPITRE V - LA COMMISSION EXTRAPARLEMENTAIRE -- I -- II -- III -- CHAPITRE VI - LA COMMISSION EXTRAPARLEMENTAIRE (Suite) L'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE -- I -- II -- III -- IV -- CHAPITRE VII - LA COMMISSION EXTRAPARLEMENTAIRE (Suite L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE -- I -- II -- III -- IV -- V -- VI -- CHAPITRE VIII - LE PROJET FALLOUX -- I -- II -- III -- IV -- CHAPITRE IX - LE PROJET DE LOI DEVANT L OPINION -- I -- II -- III -- IV -- CHAPITRE X - LE PROJET DE LOI DEVANT L'OPINION (Suite.) -- I -- II -- III -- LIVRE III - LA LOI FALLOUX DEVANT LES BUREAUX DE LA LÉGISLATIVE ET DEVANT LE CONSEIL D'ÉTAT -- CHAPITRE XI - LA COMMISSION PARLEMENTAIRE -- I -- II -- III -- IV -- V -- CHAPITRE XII - LE RENVOI AU CONSEIL D'ÉTAT -- I -- II -- III -- IV -- V -- CHAPITRE XIII - LA LOI AU CONSEIL D'ÉTAT -- I -- II -- III -- IV -- V -- CHAPITRE XIV - LE PROJET DU CONSEIL D'ÉTAT DEVANT L'ASSEMBLÉE NATIONALE -- I -- II -- III -- IV -- V -- LIVRE IV - LE DÉBAT PUBLIC SUR LA LOI FALLOUX LE VOTE ET LA PROMULGATION DE LA LOI -- CHAPITRE XV - LE DÉBAT PUBLIC. - LA DISCUSSION GÉNÉRALE -- I -- II -- III -- CHAPITRE XVI - LE DÉBAT PUBLIC (Suite). LA DEUXIÈME DÉLIBÉRATION -- I -- II -- III -- IV

Découverte et mise au point par Michel Henry en 1988, la Méthode de déblocage des chocs émotionnels du passé consiste, à l'aide d'un pendule, à détecter et localiser les chocs psychologiques et émotionnels dans la vie d'une personne puis les enlever. Outre d'en mesurer l'efficacité auprès des personnes venues le consulter depuis vingt ans, l'auteur a pu vérifier son intérêt puisque des confrères l'utilisent désormais dans le cadre de leur pratique. En fait, d'une grande simplicité, la méthode s'adresse à un large public car elle ne demande pas de connaissances approfondies en radiesthésie : i