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Von Thünen: économie et espace
In: Bibliothèque de science régionale
Dépendance et hiérarchie dans une structure interindustrielle
In: Collection de l'I.M.E no 8
Villes et économie : les infortunes du savoir
In: Géographie, économie, société, Band 11, Heft 1, S. 23-38
ISSN: 1958-5802
La ville, la raison et le rêve : entre théorie et utopie
Parler de la ville. Dire ce qu'elle est, ce qu'elle pourrait ou devrait être, ce qu'elle devient. Raconter son histoire. Exprimer une façon de voir, une manière de vivre la ville ou une façon de la comprendre. Du café des sports au dernier colloque de microéconomie urbaine, en passant par la grande presse, la littérature, le cinéma et la bande dessinée, une multitude de discours sur la ville se pressent et s'entrechoquent pour nous suggérer, nousexpliquer, nous convaincre ou nous faire douter, nous guider ou nous perdre, nous rassurer ou nous effrayer. Des mots et des images qui traduisent toujours cette éternelle ambiguïté de la ville, fascinante et repoussante, symbole de richesse et de misère, facteur d'intégration et d'exclusion, source de bien-être et de nuisances, où luttent les forces d'agglomération et de dispersion. Parmi toutes ces voix et ces visions, celles des théories de la géographie humaine et de l'économie urbaine (entre autres) veulent se distinguer par leur caractère scientifique qui leur confère une garantie de sérieux et de crédibilité. Mais théorie « scientifique » et discours « vulgaire » ne sont que différentes modalités de représentation du monde. Les représentations théoriques de la ville ont-elles le monopole de la cohérenceet de la pertinence ? En quoi se distinguent-elles vraiment des autres représentations de la ville ? L'objet de ce papier est le rapprochement de deux discours sur la ville dont l'un est admis dans le domaine de la science tandis que l'autre en est exclu. Le premier est celui de la microéconomie urbaine, encore désigné par l'expression de Nouvelle Economie Urbaine bien que les premiers éléments en aient été posés il y a plus de trente ans. Le second est celui des utopies urbaines dont l'histoire est plus ancienne puisqu'elles apparaissent dans des oeuvres politiques ou littéraires depuis l'Antiquité. Pourquoi ce choix ? Qu'espérer déduire de ce rapprochement ? Pour éclairer notre démarche, nous dresserons d'abord de rapides portraits de la Nouvelle Economie Urbaine et de la pensée utopique sur la ville, avant de justifier le choix de ces deux représentations de la ville et de définir l'objectif de la confrontation proposée. (.)
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La ville, la raison et le rêve : entre théorie et utopie
Parler de la ville. Dire ce qu'elle est, ce qu'elle pourrait ou devrait être, ce qu'elle devient. Raconter son histoire. Exprimer une façon de voir, une manière de vivre la ville ou une façon de la comprendre. Du café des sports au dernier colloque de microéconomie urbaine, en passant par la grande presse, la littérature, le cinéma et la bande dessinée, une multitude de discours sur la ville se pressent et s'entrechoquent pour nous suggérer, nousexpliquer, nous convaincre ou nous faire douter, nous guider ou nous perdre, nous rassurer ou nous effrayer. Des mots et des images qui traduisent toujours cette éternelle ambiguïté de la ville, fascinante et repoussante, symbole de richesse et de misère, facteur d'intégration et d'exclusion, source de bien-être et de nuisances, où luttent les forces d'agglomération et de dispersion. Parmi toutes ces voix et ces visions, celles des théories de la géographie humaine et de l'économie urbaine (entre autres) veulent se distinguer par leur caractère scientifique qui leur confère une garantie de sérieux et de crédibilité. Mais théorie « scientifique » et discours « vulgaire » ne sont que différentes modalités de représentation du monde. Les représentations théoriques de la ville ont-elles le monopole de la cohérenceet de la pertinence ? En quoi se distinguent-elles vraiment des autres représentations de la ville ? L'objet de ce papier est le rapprochement de deux discours sur la ville dont l'un est admis dans le domaine de la science tandis que l'autre en est exclu. Le premier est celui de la microéconomie urbaine, encore désigné par l'expression de Nouvelle Economie Urbaine bien que les premiers éléments en aient été posés il y a plus de trente ans. Le second est celui des utopies urbaines dont l'histoire est plus ancienne puisqu'elles apparaissent dans des oeuvres politiques ou littéraires depuis l'Antiquité. Pourquoi ce choix ? Qu'espérer déduire de ce rapprochement ? Pour éclairer notre démarche, nous dresserons d'abord de rapides portraits de la Nouvelle Economie Urbaine ...
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Qualitative reality and economic spatial analysis ; Réalité qualitative et analyse économique spatiale
Les termes qualitatif et quantitatif ne s'opposent pas. Ils caractérisent des approches du réel ni antinomiques, ni exclusives. Ils entretiennent des relations très complexes que nous essaierons de simplifier. A quel propos faut-il parler de qualitatif et de quantitatif ? Faut-il situer le problème au niveau de la nature de ce qu'on observe (les phénomènes), au niveau de la façon dont on agit (la politique) ou au niveau de la manière dont on essaie de comprendre la réalité (méthodes d'analyse)? Nous avons délibérément écarté les deux premiers niveaux pour nous consacrer à l'examen du qualitatif dans les méthodes d'analyse de la science régionale. La première section est consacrée à une tentative pour comprendre un peu mieux le sens des termes qualité et quantité et leurs relations: nous y donnons les résultats d'une enquête volontairement naïve et quelques réflexions personnelles ou suggérées par nos lectures. La deuxième section présente une sélection de méthodes d'analyse reliées au qualitatif et qui se développent en science régionale
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Qualitative reality and economic spatial analysis ; Réalité qualitative et analyse économique spatiale
Les termes qualitatif et quantitatif ne s'opposent pas. Ils caractérisent des approches du réel ni antinomiques, ni exclusives. Ils entretiennent des relations très complexes que nous essaierons de simplifier. A quel propos faut-il parler de qualitatif et de quantitatif ? Faut-il situer le problème au niveau de la nature de ce qu'on observe (les phénomènes), au niveau de la façon dont on agit (la politique) ou au niveau de la manière dont on essaie de comprendre la réalité (méthodes d'analyse)? Nous avons délibérément écarté les deux premiers niveaux pour nous consacrer à l'examen du qualitatif dans les méthodes d'analyse de la science régionale. La première section est consacrée à une tentative pour comprendre un peu mieux le sens des termes qualité et quantité et leurs relations: nous y donnons les résultats d'une enquête volontairement naïve et quelques réflexions personnelles ou suggérées par nos lectures. La deuxième section présente une sélection de méthodes d'analyse reliées au qualitatif et qui se développent en science régionale
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Distance, space and representations (a review) ; Distances, espaces et représentations (une revue)
L'objet de cet article est de donner un aperçu de la manière dont la littérature traite ce rapport entre la forme de la distance et les propriétés de l'espace. Il existe un grand nombre de travaux dans ce domaine et, malgré le volume de ce texte, nous ne pouvons en rendre compte complètement. La section 1 présente les formes de distances les plus connues et montre les déformations qu'elles impliquent par rapport à l'espace réel, observé, ainsi que par rapport à sa représentation la plus commune: l'espace euclidien muni d'une distance euclidienne. La section 2 porte le débat au niveau des modèles de l'économie spatiale. Il y a plusieurs façons de modéliser une même réalité: la représentation de la distance détermine souvent d'autres aspects de lamodélisation: techniques quantitatives utilisables, procédures de recherche d'un optimum, propositions finales. Dans la section 3, la distance-économique apparaît elle-même comme le résultat d'un choix de la part des agents qui prennent des décisions relatives aux réseaux de transport, ou qui définissent les principes d'une politique tarifaire: ce choix détermine lui aussi certaines propriétés des espaces étudiés.
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Distance, space and representations (a review) ; Distances, espaces et représentations (une revue)
L'objet de cet article est de donner un aperçu de la manière dont la littérature traite ce rapport entre la forme de la distance et les propriétés de l'espace. Il existe un grand nombre de travaux dans ce domaine et, malgré le volume de ce texte, nous ne pouvons en rendre compte complètement. La section 1 présente les formes de distances les plus connues et montre les déformations qu'elles impliquent par rapport à l'espace réel, observé, ainsi que par rapport à sa représentation la plus commune: l'espace euclidien muni d'une distance euclidienne. La section 2 porte le débat au niveau des modèles de l'économie spatiale. Il y a plusieurs façons de modéliser une même réalité: la représentation de la distance détermine souvent d'autres aspects de lamodélisation: techniques quantitatives utilisables, procédures de recherche d'un optimum, propositions finales. Dans la section 3, la distance-économique apparaît elle-même comme le résultat d'un choix de la part des agents qui prennent des décisions relatives aux réseaux de transport, ou qui définissent les principes d'une politique tarifaire: ce choix détermine lui aussi certaines propriétés des espaces étudiés.
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Proximités et interactions : une reformulation
In: Géographie, économie, société, Band 11, Heft 3, S. 233-249
ISSN: 1958-5802
Microéconomie et espace : quelle intégration ?
In: Revue économique, Band 47, Heft 2, S. 187-192
ISSN: 1950-6694
Résumé