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La communication que nous proposons veut faire le point sur les percées d'un concept émergent qui n'a pas suscité beaucoup l'intérêt des chercheurs. En fait, nous essayons de mener une réflexion en vue de transposer une logique entrepreneuriale dans l'Université en tant qu'organisation sociale qui baigne dans la complexité et qui cherche de plus en plus une certaine rationalité économique à celle d'une rationalité souvent politique. Cette réflexion s'articule autour de deux grandes questions : celle de l'inscription du phénomène entrepreneurial dans l'université et celle de la contrainte de la complexité des comportements entrepreneuriaux des acteurs de cette organisation. La première pose le problème d'intraprendre (intraprise) et d'extraprendre (extraprise) dans les universités par des acadépreneurs supposés avisés. La seconde cherche à construire une délimitation du concept d'acadépreneuriat dans une telle organisation. Les aspects théoriques et conceptuels que nous songeons aborder constituent aussi une facette du travail proposé.

La communication que nous proposons veut faire le point sur les percées d'un concept émergent qui n'a pas suscité beaucoup l'intérêt des chercheurs. En fait, nous essayons de mener une réflexion en vue de transposer une logique entrepreneuriale dans l'Université en tant qu'organisation sociale qui baigne dans la complexité et qui cherche de plus en plus une certaine rationalité économique à celle d'une rationalité souvent politique. Cette réflexion s'articule autour de deux grandes questions : celle de l'inscription du phénomène entrepreneurial dans l'université et celle de la contrainte de la complexité des comportements entrepreneuriaux des acteurs de cette organisation. La première pose le problème d'intraprendre (intraprise) et d'extraprendre (extraprise) dans les universités par des acadépreneurs supposés avisés. La seconde cherche à construire une délimitation du concept d'acadépreneuriat dans une telle organisation. Les aspects théoriques et conceptuels que nous songeons aborder constituent aussi une facette du travail proposé.

Abdelnour, G. A., Abouchedid, K., Aguayo, M., Bakkali, M., Baroud, F., Belhani, A., . Ykhlef, N. (2017). General methodology. In J. B. Govantes Romero, & E. Mellado Durán (Eds.), EURO-MEDITERRANEAN INTEGRATION THROUGH LIFELONG LEARNING (EU-MILL): A memory of cooperation and dialogue on Education in the Mediterranean basin (pp. 49-78). (Divulgación Científica). Universidad de Sevilla. https://doi.org/10.12795/9788447221042 ; On the following pages, it will be analyzed the situation of LLL on all partner countries, the integration of LLL policies within their legal frameworks, as well as some examples of good practices in LLL on the partner countries, identified and learnt after the study visit to HEI in the European shore. We have performed a comparative policy analysis extracted from the country reports on LLL delivered in the begining of project in the four southern Mediterranean partner countries (Morocco, Tunisia, Lebanon and Algeria) and in the European Union. The expected aim was to compare the different policies of these countries for implementing Lifelong Learning, in order to provide basis for a further development of Lifelong Learning policies in the four countries. The analysis provides the necessary base for introducing a framework and guidelines on behalf of establishing, assessing, accrediting and running LLL study programmes in higher education (HE), conducting projects and providing a firm and stable infrastructure for LLL. ; publishersversion ; published