Suchergebnisse

This study aimed to understand the relationship between termite food preferences and the ecological benefits derived from their activity in terms of soil dynamics and water infiltration. A field study was carried out for six months with different food baits (elephant dung, Acacia leaves, twigs and leaves of Lantana camara as well as Ficus religiosa, Pterocarpus marsupium, Prosopis juliflora, Michelia champaca, Azadirachta indica and Hevea brasiliensis wood stakes) installed on the soil surface in a semi-deciduous forest in southern India. At the end of the experiment we determined bait consumption rates and the amount of soil sheetings covering the different baits. Water infiltration rates were also measured using the Beerkan method. The initial infiltration rates (i.e. average of the first three infiltration rates) under the baits were compared to those at the end of the experiment (average of the last three infiltration rates when the steady state was reached). Three termite species, Odontotermes obesus, O. feae and Microtermes obesi, were found associated with some of the baits in the study area. Among the different baits, elephant dung and Acacia leaves were the most preferred and a relationship was observed between the quantity of soil sheetings and the bait consumption rate. Termite preference for elephant dung and Acacia leaves was also associated with higher water infiltration rates. However, this difference was only significant at the beginning of the experiment and no significant difference was measured once the steady state was reached. In conclusion, we showed that resource quality was of primary importance for soil sheeting production but that the influence of termites on water infiltration remained limited, most likely because of the low stability of their tunnels in the soil.

Tandis que les zones de montagne moins peuplées apportent les ressources en eau qui permettent aux plaines de prospérer, les habitants des zones montagneuses continuent à souffrir de pauvreté, de faibles productivités agricoles accompagnées de dégradation environnementale. Une solution à ce paradigme semble être la mobilisation mutuelle de toutes parties prenantes via des mécanismes incitatifs de type PES (Payment for Environmental Services). L'idée est de relier politiques agricoles et stratégies individuelles dans une même action répondant aux contraintes physiques, économiques et culturelles des milieux physiques et humains en même temps qu'aux contraintes institutionnelles pour une bonne gouvernance. Un meilleur lien entre terres de pente et plaines devrait garantir un usage durable des terres de pente sans risque pour les plaines.

Tandis que les zones de montagne moins peuplées apportent les ressources en eau qui permettent aux plaines de prospérer, les habitants des zones montagneuses continuent à souffrir de pauvreté, de faibles productivités agricoles accompagnées de dégradation environnementale. Une solution à ce paradigme semble être la mobilisation mutuelle de toutes parties prenantes via des mécanismes incitatifs de type PES (Payment for Environmental Services). L'idée est de relier politiques agricoles et stratégies individuelles dans une même action répondant aux contraintes physiques, économiques et culturelles des milieux physiques et humains en même temps qu'aux contraintes institutionnelles pour une bonne gouvernance. Un meilleur lien entre terres de pente et plaines devrait garantir un usage durable des terres de pente sans risque pour les plaines.

Tandis que les zones de montagne moins peuplées apportent les ressources en eau qui permettent aux plaines de prospérer, les habitants des zones montagneuses continuent à souffrir de pauvreté, de faibles productivités agricoles accompagnées de dégradation environnementale. Une solution à ce paradigme semble être la mobilisation mutuelle de toutes parties prenantes via des mécanismes incitatifs de type PES (Payment for Environmental Services). L'idée est de relier politiques agricoles et stratégies individuelles dans une même action répondant aux contraintes physiques, économiques et culturelles des milieux physiques et humains en même temps qu'aux contraintes institutionnelles pour une bonne gouvernance. Un meilleur lien entre terres de pente et plaines devrait garantir un usage durable des terres de pente sans risque pour les plaines.

Tandis que les zones de montagne moins peuplées apportent les ressources en eau qui permettent aux plaines de prospérer, les habitants des zones montagneuses continuent à souffrir de pauvreté, de faibles productivités agricoles accompagnées de dégradation environnementale. Une solution à ce paradigme semble être la mobilisation mutuelle de toutes parties prenantes via des mécanismes incitatifs de type PES (Payment for Environmental Services). L'idée est de relier politiques agricoles et stratégies individuelles dans une même action répondant aux contraintes physiques, économiques et culturelles des milieux physiques et humains en même temps qu'aux contraintes institutionnelles pour une bonne gouvernance. Un meilleur lien entre terres de pente et plaines devrait garantir un usage durable des terres de pente sans risque pour les plaines.