Europeanisation and party politics: how the eu affects domestic actors, patterns and systems
In: ECPR - Studies in European Political Science
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In: ECPR - Studies in European Political Science
World Affairs Online
In: Journal of common market studies: JCMS, Band 48, Heft 5, S. 1283-1306
ISSN: 0021-9886
World Affairs Online
In: Swiss political science review: SPSR = Schweizerische Zeitschrift für Politikwissenschaft = Revue suisse de science politique, Band 11, Heft 3, S. 79-100
ISSN: 1424-7755
Die Frage nach der Rolle der Europaparteien in den politischen Prozessen der Europäischen Union steht im Zentrum einer intensiven politikwissenschaftlichen Debatte. Der vorliegende Artikel entwickelt auf der Basis der vorliegenden Fachliteratur eine neue analytische Perspektive, welche am Beispiel der Sozialdemokratischen Partei Europas und ihrer Suche nach einer europäischen Fiskalpolitik dargelegt wird. Der vorliegende Artikel zeigt, dass die Sozialdemokratische Partei Europas zum Erfolg der EU-Agenda gegen schädlichen Steuerwettbewerb beigetragen hat, obwohl es ihr nicht gelang, das eigene Programm durchzusetzen. Im weiteren deckt die vorliegende Studie theoretische und empirische Analyse Schwächen der institutionellen und kognitiven Ansätze zur europäischen Integration auf. (Schweizerische Zeitschrift für Politikwissenschaft / FUB)
World Affairs Online
In: Acta politica: AP ; international journal of political Science, Band 49, Heft 1, S. 71-85
ISSN: 1741-1416
In: Acta politica: AP ; international journal of political science ; official journal of the Dutch Political Science Association (Nederlandse Kring voor Wetenschap der Politiek), Band 49, Heft 1, S. 71-85
ISSN: 0001-6810
In: Science politique
Depuis près de trente ans, les fédérations européennes de partis font partie du paysage politique européen. Les premières élections du Parlement européen au suffrage universel direct (1979) avaient stimulé les recherches sur les groupements partisans transnationaux qui s'étaient formés dans cette perspective. Mais l'enthousiasme scientifique céda vite la place à l'oubli et il fallut attendre l'accélération de l'intégration européenne suite à l'Acte unique (1988) et au traité de Maastricht (1993) pour que la science politique s'y intéresse à nouveau. Au terme de la conférence intergouvernementale 2000 révisant l'article 138 A du traité sur l'Union européenne pour lui substituer l'article 191 du traité de Nice, il était nécessaire de faire le point sur la place des fédérations de partis dans l'Union européenne. Les auteurs du présent ouvrage les analysent sur les plans historique, politique et organisationnel. Ils mettent en évidence leur contribution à l'édification d'un système politique supranational en devenir. La première partie du livre est consacrée aux controverses et aux débats : il y est question, entre autres, des approches théoriques possibles, des contraintes institutionnelles qui pèsent sur le développement des fédérations européennes de partis et des conditions et modalités d'une reconnaissance éventuelle. Dans la deuxième partie, les auteurs analysent l'organisation des cinq structures partisanes constituées à ce jour : le parti des socialistes européens, le parti populaire européen, le parti européen des libéraux, démocrates et réformateurs, la Fédération européenne des partis verts, le parti démocratique des peuples d'Europe/Alliance libre européenne. Enfin, la dernière partie s'attache à l'influence de ces fédérations sur le processus de décision, sur les facteurs qui la conditionnent, sur la formation du consensus, sur le rôle des partis nationaux et les relations qu'elles entretiennent avec le Conseil européen, le Conseil des ministres, la Commission européenne et les groupes politiques au Parlement européen.
In: Science politique
C'est peu dire que le libéralisme politique et, plus encore, les partis libéraux en Europe ont été peu étudiés par la communauté scientifique. Comparé aux formations socialistes, communistes, d'extrême droite et, plus récemment, écologistes, les partis libéraux sont à l'évidence un des parents pauvres de la littérature scientifique dans les recherches portant sur les acteurs politiques. Une recherche bibliographique sommaire suffirait à l'établir. Pourtant, le libéralisme politique fut la doctrine de référence dans l'avènement de l'État parlementaire puis de la démocratie parlementaire, au XIXe et au XXe siècles. Dans plusieurs sociétés européennes, les organisations et partis libéraux jouèrent un rôle clé dans la transition des monarchies absolues vers le constitutionnalisme. Dans la période contemporaine, plusieurs formations libérales furent des partis pivots cruciaux dans leur système politique national. Une des ambitions de ce livre est donc de contribuer aux lacunes criantes des travaux consacrés à l'espace politique du centre-droit et, singulièrement, aux partis libéraux. Pour ce faire, l'ouvrage rassemble des contributions de spécialistes internationaux qui étudient l'histoire du libéralisme politique, ses caractéristiques et ses évolutions. Ils examinent aussi l'essence des partis libéraux européens dans la période contemporaine : leur mutation idéologique, leur parcours électoral, leur performance politique et leur situation actuelle.
In: Études européennes
La « méthode Monnet » de construction européenne serait-elle en voie de s'épuiser ? De nombreux indices le donnent à penser. Après l'achèvement du marché intérieur, et face aux défis que constituent la fin de la guerre froide, la mondialisation et l'élargissement, l'Union européenne est en quête d'une nouvelle méthode d'intégration. Les grandes politiques lancées par les traités de Maastricht et Amsterdam (Union économique et monétaire, politique étrangère, sécurité intérieure, politiques sociales…) reposent de plus en plus sur une « coopération ouverte » entre gouvernements, où les institutions communautaires peinent à trouver leurs marques. Élargie dans sa taille et dans ses objectifs, l'Union se repose davantage, pour la conception et la mise en œuvre de ses politiques, sur les gouvernements nationaux et les entités régionales. Le temps des grands engagements semble, lui aussi, révolu. Les conférences intergouvernementales se succèdent désormais à un rythme soutenu, davantage pour corriger les traités que pour lancer de nouveaux projets de grande ampleur. La construction de l'Europe connaît ainsi une « grande transformation », qui impose de réfléchir au nouveau modèle qui se dessine, à la fois plus ambitieux dans ses objectifs et plus modeste dans ses moyens, plus large dans son étendue géographique et plus décentralisé. Le premier volume de cette étude est consacré aux institutions et aux acteurs politiques. Les auteurs s'y demandent comment la Commission, le Conseil, la Cour et le Parlement européens s'adaptent à ces évolutions majeures. Ils examinent aussi le rôle que jouent sur cette scène nouvelle les partis, les groupes d'intérêts et les régions. Derrière ces transformations, c'est la question du « nouveau modèle » constitutionnel et de la « nouvelle gouvernance » de l'Europe qui se trouve posée.