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Assessing decarbonization pathways and their implications for energy security policies in Japan
In: Climate policy, Band 16, Heft sup1, S. S63-S77
ISSN: 1752-7457
Implications of Japan's long term climate mitigation target and the relevance of uncertain nuclear policy
In: Climate policy, Band 19, Heft 9, S. 1117-1131
ISSN: 1752-7457
A low-carbon society: global visions, pathways, and challenges
In: Climate policy, Band 13, Heft sup01, S. 5-21
ISSN: 1752-7457
Back-casting analysis for 70% emission reduction in Japan by 2050
In: Climate policy, Band 8, Heft sup1, S. S108-S124
ISSN: 1752-7457
Locked into Copenhagen pledges — Implications of short-term emission targets for the cost and feasibility of long-term climate goals
In: Technological forecasting and social change: an international journal, Band 90, S. 8-23
ISSN: 0040-1625
Regional Low-Emission Pathways from Global Models
Governments worldwide have agreed that international climate policy should aim to limit the increase of global mean temperature to less than 2oC with respect to pre-industrial levels. The purpose of this paper is to analyse the emission reductions and related energy system changes in various countries in pathways consistent with the 2oC target. We synthesize and provide an overview of the national and regional information contained in different scenarios from various global models published over the last few years, as well as yet unpublished scenarios submitted by modelling teams participating in the MILES project (Modelling and Informing Low-Emission Strategies). We find that emissions in the mitigation scenarios are significantly reduced in all regions compared to the baseline without climate policies. The regional cumulative CO2 emissions show on average a 76% reduction between the baseline and 450 scenario. The 450 scenarios show a reduction of primary energy demand in all countries of roughly 30-40% compared to the baseline. In the baseline scenario, the contribution of low-carbon energy technology remains around 15%, i.e. similar as today. In the mitigation scenario, these numbers are scaled up rapidly towards 2050. Looking at air quality, sulphur dioxide and black carbon emissions are strongly reduced as a co-benefit of greenhouse gas emission reductions, in both developing and developed countries. However, black carbon emissions increase in countries that strongly rely on bioenergy to reach mitigation targets. Concerning energy security, energy importing countries generally experience a decrease in net-energy imports in mitigation scenarios compared to the baseline development, while energy exporters experience a loss of energy export revenues.
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Pathways to Deep Decarbonization 2015 report
Les 16 équipes de chercheurs mobilisées dans le cadre du projet ont élaboré et approfondi leurs trajectoires de décarbonation par rapport au rapport 2014, affinant leurs résultats et conclusions par l'intermédiaire de plusieurs scénarios définissant différentes orientations possibles de décarbonation pour un même pays.À l'échelle globale, le rapport montre que la décarbonation profonde des économies actuellement les plus émettrices est techniquement faisable, tout en prenant en compte les projections attendues de croissance démographique et économique. D'ores et déjà, ces tendances de décarbonation apparaissent compatibles avec l'objectif de 2°C maximum de réchauffement à l'horizon 2100 ; et des potentiels de réduction d'émissions plus drastiques encore ont été identifiés par les différentes équipes. Ces conclusions pourront en outre, à l'avenir, être complétées par d'autres pays et par la prise en compte de sources d'émissions provenant de sources non analysées par le DDPP (affectation des terres, procédés industriels, etc.).Le rapport 2015 insiste particulièrement sur la compatibilité des objectifs de décarbonation et de développement économique et social. Décarboner permet en effet en premier lieu d'éviter les effets délétères du changement climatique, et s'inscrit en parallèle dans une stratégie d'amélioration significative de services essentiels comme l'accès à l'énergie. Les stratégies de décarbonation profonde peuvent contribuer au développement durable des pays.Enfin, les investissements nécessaires à la décarbonation profonde, de l'ordre de 0,8% du PIB en 2020 (1,3 % en 2050), ne représentent pas un surcoût majeur par rapport aux investissements nécessaires en l'absence de politiques climatiques. De plus, sous réserve de signaux adéquats sur le long terme, la réorientation des investissements vers les technologies bas carbone ouvrent d'importantes perspectives commerciales.Dans le cadre de la COP21, où se négocie ces jours-ci un accord pour un nouveau régime climatique à partir de 2020, les stratégies ...
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Pathways to Deep Decarbonization 2015 report
Les 16 équipes de chercheurs mobilisées dans le cadre du projet ont élaboré et approfondi leurs trajectoires de décarbonation par rapport au rapport 2014, affinant leurs résultats et conclusions par l'intermédiaire de plusieurs scénarios définissant différentes orientations possibles de décarbonation pour un même pays.À l'échelle globale, le rapport montre que la décarbonation profonde des économies actuellement les plus émettrices est techniquement faisable, tout en prenant en compte les projections attendues de croissance démographique et économique. D'ores et déjà, ces tendances de décarbonation apparaissent compatibles avec l'objectif de 2°C maximum de réchauffement à l'horizon 2100 ; et des potentiels de réduction d'émissions plus drastiques encore ont été identifiés par les différentes équipes. Ces conclusions pourront en outre, à l'avenir, être complétées par d'autres pays et par la prise en compte de sources d'émissions provenant de sources non analysées par le DDPP (affectation des terres, procédés industriels, etc.).Le rapport 2015 insiste particulièrement sur la compatibilité des objectifs de décarbonation et de développement économique et social. Décarboner permet en effet en premier lieu d'éviter les effets délétères du changement climatique, et s'inscrit en parallèle dans une stratégie d'amélioration significative de services essentiels comme l'accès à l'énergie. Les stratégies de décarbonation profonde peuvent contribuer au développement durable des pays.Enfin, les investissements nécessaires à la décarbonation profonde, de l'ordre de 0,8% du PIB en 2020 (1,3 % en 2050), ne représentent pas un surcoût majeur par rapport aux investissements nécessaires en l'absence de politiques climatiques. De plus, sous réserve de signaux adéquats sur le long terme, la réorientation des investissements vers les technologies bas carbone ouvrent d'importantes perspectives commerciales.Dans le cadre de la COP21, où se négocie ces jours-ci un accord pour un nouveau régime climatique à partir de 2020, les stratégies de décarbonation sont indispensables pour informer les feuilles de route portant sur les choix de long terme, évitant ainsi des situations de blocage (lock-in), notamment technologiques, pouvant in fine freiner l'action climatique et en retarder ses effets.
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