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In: La Découverte poche 489
In: Sciences humaines et sociales
In the midst of the current ecological crisis, there is often lofty talk of the need for humanity to 'overcome its divisions' and work together to tackle the big challenges of our time. But as this new book by Razmig Keucheyan shows, the real picture is very different. Just take the case of the siting of toxic waste landfills in the United States: if you want to know where waste is most likely to be dumped, ask yourself where Blacks, Hispanics, Native Americans and other racial minorities live and where the poorest neighbourhoods are. This kind of 'environmental racism' is by no means restricted to the United States: it is very much a global phenomenon.Keucheyan show how the capitalist response to the crisis has been marked by a massive expansion in 'environmental finance'. From 'carbon markets' to 'pollution permits', 'climate derivatives' and 'catastrophe bonds', we are seeing a proliferation of nature-related financial products. Instead of tackling the root of the problem, the neoliberal strategy seeks to profit from environmental risks.Moreover, with the rise in natural disasters, resource scarcity, food crises, the destabilization of the poles and oceans and the prospect of tens of millions of 'climate refugees', Western powers are increasingly adopting a military response to ecological problems. The Cold War is over: welcome to the 'green wars'. From New Orleans to the Siachen glacier via the Arctic floes, Keucheyan explores the landmark sites of this new 'climate geostrategy'.Through a sharp critique of the way capitalism responds to environmental disaster, this innovative book provides a fresh perspective on some of the most critical issues confronting our societies today.
In: Actuel Marx, Band 64, Heft 2, S. 194-207
ISSN: 1969-6728
Cet article porte sur certains aspects de la réception de Gramsci en France. Cette réception s'effectue dans le champ politique aussi bien qu'académique, Gramsci étant non seulement un classique des sciences sociales, mais aussi une figure politique. Par ailleurs, elle prend place dans un contexte intellectuel où d'autres penseurs, tels que Pierre Bourdieu, développent sur certains thèmes des idées proches des siennes. L'argument central de l'article est que Gramsci, Bourdieu et les cultural studies forment une « constellation » d'auteurs et de concepts, qu'il est fécond dans le contexte français de penser conjointement. L'article se conclut sur quelques réflexions concernant le récent renouveau des études gramsciennes en France.
In: Development and change, Band 49, Heft 2, S. 484-501
ISSN: 1467-7660
ABSTRACTInsurance is a central institution in modern societies. Economic and technological developments generate 'new risks', which are often covered by new forms of insurance. Because of its underlying uncertainty — the difficulty both of predicting its effects and evaluating its costs — climate change represents a major challenge for the insurance industry. It also represents a challenge for states, who have historically played the role of insurers 'of last resort' in the event of catastrophes. This article examines the ongoing financialization of climate risk insurance, which is part of a larger trend of financialization of nature. Financialization, through measures such as 'catastrophe bonds', is the neoliberal solution to the rising costs of natural disasters which the insurance industry has experienced since the 1990s. The article analyses the effects of financialization on the insurance industry, on the state's role as insurer 'of last resort', and on associated forms of knowledge production (big data), critiquing the process of financialization on both economic and political grounds.
In: Actuel Marx, Band 61, Heft 1, S. 79-94
ISSN: 1969-6728
In: Revue du Crieur, Band 6, Heft 1, S. 128-143
In: Raisons politiques: études de pensée politique, Band 61, Heft 1, S. 129-143
ISSN: 1950-6708
Cet article s'interroge sur le lien entre théories critiques et stratégie militaire. Après avoir examiné le rapport entre marxisme et stratégie militaire d'un point de vue historique, nous évoquerons les réflexions sur la violence en cours dans les pensées critiques actuelles. Nous verrons que rares sont celles qui prennent en considération la violence militaire comme modalité particulière de la violence collective. Ce constat est problématique, car une part importante de cette violence demeure aujourd'hui militaire. Nous aborderons ensuite un corps de doctrine militaire en plein essor à l'heure actuelle : l'écologie militaire. Celui-ci s'interroge sur les implications militaires du changement climatique. Il constitue de ce fait un point d'observation fécond pour appréhender les transformations de la violence collective dans les années à venir. Nous tâcherons de dégager quelques-uns des enjeux que soulève ce corps de doctrine du point de vue des théories critiques contemporaines.
In: Revue du Crieur, Band 3, Heft 1, S. 132-149
Razmig Keucheyan propose ici une cartographie politique des années 1990, entre clôture du « court vingtième siècle », mondialisation capitaliste, triomphe de l'idéologie néolibérale, recompositions de l'impérialisme et progression de l'extrême droite.
BASE
In: Cahiers d'histoire. Revue d'histoire critique, Heft 130, S. 91-104
ISSN: 2102-5916
In: Revue française de socio-économie: Rfse, Band Hors-série, Heft 2, S. 229-243
Comment la question de l'État se pose-t-elle dans les pensées critiques contemporaines ? Cet article vise à donner des éléments de réponse à cette question. Nous commencerons par un détour historique, et évoquerons la manière dont le problème de l'État s'est posé au sein du marxisme au xx e siècle, notamment chez Gramsci et Poulantzas. Nous en viendrons ensuite à la conjoncture intellectuelle actuelle. Nous aborderons d'abord les théories de l'« anti-pouvoir », un corpus de théories apparu dans les années 1980, qui met l'accent sur la dimension « extra-étatique » du pouvoir. Nous évoquerons ensuite le renouveau récent des théories marxistes de l'État, en nous attardant sur les approches de David Harvey, Giovanni Arrighi et James O'Connor. Nous verrons que l'une des voies de ce renouveau passe par la mise en rapport de l'État avec la question des espaces du capitalisme.
In: Contretemps: revue de critique communiste, Heft 15, S. 81-90
ISSN: 1633-597X