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This article examines the unsuccessful attempts made from 1833 to 1842 by Middlesex's justices of the peace to obtain a local statute allowing them to pay a salary to their chairman. Instead of securing such an act, they had to settle for a statute enacted by the government, a statute authorising the government to appoint their chairman for judicial proceedings. The article uses the story of Middlesex's attempt to obtain a salary for the chairman to examine: justices' attempts to reform the office of chairman of county Sessions; the limited powers of justices in their county Sessions; and the centralising aspirations of central government.The statute that the government produced in 1844 originated as a public bill. In contrast, the statute that Middlesex had attempted to obtain originated as private bills. The statute enacted by the government contained defects that probably would not have marred a statute enacted under the rules governing private bills. So, this article uses the legislative misadventures of the government's bill to compare the procedures for enactment of public and private bills. The article therefore provides a case study of mid‐19th‐century legislative procedures governing enactment of local legislation, while arguing that, as of the mid 19th century, parliament had not developed procedures appropriate to both representative government and a centralising central government using public bills for local matters.

Cette réplique à l'article de K. D. M. Snell 'Le droit d'établissement des pauvres et le droit è l'assistance publique' qui argue qu'il y a une 'identification invariable' de I'assistance publique et la résidence depuis le milieu du 17è. et le milieu du 19è. siècles, démontre que les preuves fournies par Snell ne corroborent pas son argument. Ainsi cette réplique évalue les rapports de Snell concernant la nature, la teneur, le nombre et la provenance des documents d'établissement. Elle suggère également que la thèse qui ramène la définition des perspectives économiques des pauvres à l'accès a de l'argent – fût-ce celui de leur salaire ou celui dû aux impôts pour les pauvres – ignore les structures fondamentales de l'économie au début des temps modernes.

Dans cet article sont utilisées les archives concernant l'établissement de le population ouvrière, qui proviennent des cours ordinaires dans le comté du Kent pendant le dix-huitième siècle.Ces documents permettent d'affirmer que les paroisses appliquaient les lois d'établissement en accord avec les intentions du Parlement, c'est à dire afin de contrôler et réguler l'immigration, ce que les paroisses ont fait rigoureusement j'usqu'en 1795 où une modification de ces lois rendit une telle pratique impossible.Ainsi cet article met en question l'hypothése de Snell exprimée dans Annals of the labouring poor, selon laquelle presque toutes les enquêtes d'établissement ont été produites comme partie intégrante d'une demande d'Assistance Publique.