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National audience ; Le commerce des produits alimentaires et agro-alimentaires tient aujourd'hui une place prépondérante dans les échanges mondiaux. C'est dans cette perspective que s inscrit l'Accord Economique et Commercial Global (AECG) ou Comprehensive Economie Trade Agreement dit "CETA' signé entre l'UE et Le Canada Le 30 octobre 2016, Le CETA, avec la suppression de près de 93% des lignes douanières, prévoit de part et d'autredel'Atlantique, l'expansion des échanges commerciaux et une augmentation des contingents pour plusieurs produits, Cela permettrait entre autres de stimuler la concurrence et de créer des emplois. Mais l'accord suscite des inquiétudes concernant certaines pratiques, retrouvées au Canada. pratiques qui ne semblent pas conformes aux ambitions européennes en matière de transition agricole, Cette situation peut sillustrer par exemple par l'utilisation d antibiotiques et d'OGM dans les rations des animaux, pratique fréquente en Amérique du Nord mais très encadrée en Europe. L'Union européenne, dès sa création, a fait le choix d'une politique agricole commune (PAC) pour subvenir aux besoins des citoyens européens. Orientée vers une logique productiviste dans ses débuts, cette politique a beaucoup évolué, ses nombreuses réformes en témoignent, elle tend aujourd'hui vers une transition agricole qui vise à une plus grande prise en compte des exigences de durabilité. L'agricutture doit ainsi contribuer à la sécurité alimentaire tout en intégrant les enjeux de la qualité des produits, du respect de l'environnement et du maintien de la qualité de vie dans les milieux agricoles et ruraux.

Le commerce des produits alimentaires et agro-alimentaires tient aujourd'hui une place prépondérante dans les échanges mondiaux. C'est dans cette perspective que s inscrit l'Accord Economique et Commercial Global (AECG) ou Comprehensive Economie Trade Agreement dit "CETA' signé entre l'UE et Le Canada Le 30 octobre 2016, Le CETA, avec la suppression de près de 93% des lignes douanières, prévoit de part et d'autredel'Atlantique, l'expansion des échanges commerciaux et une augmentation des contingents pour plusieurs produits, Cela permettrait entre autres de stimuler la concurrence et de créer des emplois. Mais l'accord suscite des inquiétudes concernant certaines pratiques, retrouvées au Canada. pratiques qui ne semblent pas conformes aux ambitions européennes en matière de transition agricole, Cette situation peut sillustrer par exemple par l'utilisation d antibiotiques et d'OGM dans les rations des animaux, pratique fréquente en Amérique du Nord mais très encadrée en Europe. L'Union européenne, dès sa création, a fait le choix d'une politique agricole commune (PAC) pour subvenir aux besoins des citoyens européens. Orientée vers une logique productiviste dans ses débuts, cette politique a beaucoup évolué, ses nombreuses réformes en témoignent, elle tend aujourd'hui vers une transition agricole qui vise à une plus grande prise en compte des exigences de durabilité. L'agricutture doit ainsi contribuer à la sécurité alimentaire tout en intégrant les enjeux de la qualité des produits, du respect de l'environnement et du maintien de la qualité de vie dans les milieux agricoles et ruraux.

Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales rue Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes Cedex (FRA) ; L'application des directives européennes en matière de bien-être des animaux d'élevage en France pose la délicate question de l'intérêt des consommateurs et de leur consentement à payer (CAP) pour la prise en compte du bien-être de ces animaux (BEA). Pour déterminer ces CAP, la méthode d'évaluation contingente (MEC) a été mise en place malgré les critiques qu'elle suscite. Le CAP des consommateurs pour rémunérer l'amélioration du bien-être des animaux dans différents élevages prend ici la forme d'une augmentation de prix de quatre produits différents : 1kg d'escalope de veau, 1kg de jambon, 1 douzaine d'œufs et 1 kg de steak. L'enquête a été menée auprès de 1 009 personnes, et montre un grand intérêt des français pour le BEA, certains systèmes de production ayant même été qualifié d'inacceptables. Ces résultats devront inévitablement être pris en compte par les producteurs et les décideurs publics. Ils sont un bon indicateur de l'opinion publique française et révèlent les bénéfices perçus de politiques d'amélioration du bien-être des animaux de ferme. Quatre modèles économétriques ont été estimés afin de déterminer les principales variables expliquant la valeur du CAP pour chaque produit considéré.

International audience ; From the Bovine Spongiform Encephalopathy outbreak in the 90's to the milk powder scandal in China in 2008, food safety incidents have led to an increasing demand for traceability and safety of food products, from both consumers and distributors. Governments have answered to this demand by strengthening public regulation on their territory (see for example the European Community Regulation 178/2002 on food traceability) or by increasing the number of Sanitary and Phytosanitary measures (SPS) and Technical barriers to trade (TBT) at the border. The private sector also implemented several certifications to facilitate the standardization of safety and traceability (HACCP, ISO standards) or to manage the buyer-supplier relationship (IFS, BRC retailers standards). Therefore, the ability to make safe products, to ensure traceability and to have it recognized through certifications appears to be an essential element of the international competitiveness of agri-food companies. Even if these characteristics are not systematically observed by final consumers, they may help to access to markets with high levels of sanitary requirements or enable to benefit from international retailer networks. In this paper, we investigate the effects of firms' commitment to traceability and food safety on export performance. We rely on the presence of quality management and control personnel in agri-food firms to proxy their level of commitment to product reliability and safety issues. Quality management and control personnel ensure that the firms' goods are safe and reliable, that they meet customers' expectation and that they follow regulatory requirements. Quality managers are therefore major players in the firm's quality policy, both by preventing failure and by copying with those that do occur. They are key in the adoption of standards and in their maintenance. Working both with the firms' other employees and with external partners such as suppliers, customers, health inspectors or customs, they can lead to ...

In the last decades, international trade in agri-food products has been mainly affected by two important phenomena. On the one hand there has been a rapid expansion of consumer preferences towards a range of quality characteristics in food products. On the other, we have witnessed significant changes in trade policy patterns in favor of non-tariff measures Food quality and safety issues have become important topics in the agri-food markets, in particular for richer countries. This trend has been driven by a variety of factors exacerbated by several food scares that have triggered growing consumer concern about the attributes of food, the way they are produced, and increasing awareness of the relationship between diet and health. As a consequence, vertical and horizontal quality differentiation of food products has become a necessary condition to satisfy consumer demand (Grunert, 2005). This demand trend and the progressive worldwide elimination or reduction of traditional trade policies, such as tariffs, triggered the diffusion of non-tariff measures, like regulatory standards addressing safety, quality and environmental concerns (WTO, 2012). Such evolution of trade policies stimulates a growing attention in studying the trade and welfare effect of these standards (e.g. Beghin et al. 2015). However, understanding the economic effects of these policy measures is, for several reasons, difficult. This organized session includes three presentations dealing with complementary issues regarding the economics of trade and food quality. Each presentation will be followed by a short discussion. After the three presentations, Bruno Larue, a North American researcher in international trade, will introduce the discussion based on the results presented and their implications for international trade policies. Rich exchanges should then arise with the audience of agricultural economists attending the session. The three presentations will address the following issues. First, the focus will be on the emerging analytical models incorporating information asymmetry and the role of standards in firm heterogeneity trade models. Second, the impact of the policy of geographical indication labeling proposed by the European Union will be discussed. Its role on firms' export competitiveness and behavior for an important French food product (i.e. cheese) will be analyzed. Finally, how the diffusion of most restrictive food standards affects developing country firms' export decisions and products quality will be addressed.[br/] [br/] Trade margins and product quality: adjustments to NTM under information asymmetry. Carl Gaigné, Anne-Célia Disdier, Cristina Herghelegiu[br/] On the competitiveness effects of quality labels: Evidence from the French cheese industry. Sabine Duvaleix-Treguer, Charlotte Emlinger, Carl Gaigné, Karine Latouche[br/] Standards, Trade Margins and Product Quality: Firm-level Evidence from Peru. Daniele Curzi, Monica Schuster , Miet Maertens, Alessandro Olper

L'objectif de ce papier est de proposer des procédures d'élaboration et de mise en œuvre des programmes agri-environnementaux pour assurer leur efficacité environnementale et sociale, lorsque les processus biophysiques en jeu sont caractérisés par des effets de seuils. La régulation publique est confrontée à deux problèmes bien distincts : d'une part, les asymétries d'information relevant classiquement de la théorie des contrats et des solutions qu'elle préconise et, d'autre part, une incertitude que partagent régulateur et agents sur la relation entre pratiques agricoles et état de l'environnement. Ces deux difficultés se cumulent fréquemment dans les programmes agri-environnementaux et peuvent conduire, en présence d'effets de seuils, à l'absence d'effet environnemental et au découragement des agriculteurs. A partir d'un modèle micro-économique et de l'analyse approfondie d'un exemple, cette contribution montre qu'une gestion pérenne et évolutive des programmes permet une capitalisation locale des compétences et un gain d'efficacité. Cette gestion vise à tirer parti d'économies d'échelle et d'apprentissage tant managériales que techniques, à condition de spécifier des contrats dont la réalisation contribue à préciser et quantifier des effets de seuil souvent mal connus et localement spécifiques. Dans certains cas, l'instauration par le régulateur d'un taux minimal de contractualisation dans une zone donnée constitue une information conduisant à accroitre la probabilité de participation des agriculteurs.

L'objectif de ce papier est de proposer des procédures d'élaboration et de mise en œuvre des programmes agri-environnementaux pour assurer leur efficacité environnementale et sociale, lorsque les processus biophysiques en jeu sont caractérisés par des effets de seuils. La régulation publique est confrontée à deux problèmes bien distincts : d'une part, les asymétries d'information relevant classiquement de la théorie des contrats et des solutions qu'elle préconise et, d'autre part, une incertitude que partagent régulateur et agents sur la relation entre pratiques agricoles et état de l'environnement. Ces deux difficultés se cumulent fréquemment dans les programmes agri-environnementaux et peuvent conduire, en présence d'effets de seuils, à l'absence d'effet environnemental et au découragement des agriculteurs. A partir d'un modèle micro-économique et de l'analyse approfondie d'un exemple, cette contribution montre qu'une gestion pérenne et évolutive des programmes permet une capitalisation locale des compétences et un gain d'efficacité. Cette gestion vise à tirer parti d'économies d'échelle et d'apprentissage tant managériales que techniques, à condition de spécifier des contrats dont la réalisation contribue à préciser et quantifier des effets de seuil souvent mal connus et localement spécifiques. Dans certains cas, l'instauration par le régulateur d'un taux minimal de contractualisation dans une zone donnée constitue une information conduisant à accroitre la probabilité de participation des agriculteurs.

L'objectif de ce papier est de proposer des procédures d'élaboration et de mise en œuvre des programmes agri-environnementaux pour assurer leur efficacité environnementale et sociale, lorsque les processus biophysiques en jeu sont caractérisés par des effets de seuils. La régulation publique est confrontée à deux problèmes bien distincts : d'une part, les asymétries d'information relevant classiquement de la théorie des contrats et des solutions qu'elle préconise et, d'autre part, une incertitude que partagent régulateur et agents sur la relation entre pratiques agricoles et état de l'environnement. Ces deux difficultés se cumulent fréquemment dans les programmes agri-environnementaux et peuvent conduire, en présence d'effets de seuils, à l'absence d'effet environnemental et au découragement des agriculteurs. A partir d'un modèle micro-économique et de l'analyse approfondie d'un exemple, cette contribution montre qu'une gestion pérenne et évolutive des programmes permet une capitalisation locale des compétences et un gain d'efficacité. Cette gestion vise à tirer parti d'économies d'échelle et d'apprentissage tant managériales que techniques, à condition de spécifier des contrats dont la réalisation contribue à préciser et quantifier des effets de seuil souvent mal connus et localement spécifiques. Dans certains cas, l'instauration par le régulateur d'un taux minimal de contractualisation dans une zone donnée constitue une information conduisant à accroitre la probabilité de participation des agriculteurs.

L'objectif de ce papier est de proposer des procédures d'élaboration et de mise en œuvre des programmes agri-environnementaux pour assurer leur efficacité environnementale et sociale, lorsque les processus biophysiques en jeu sont caractérisés par des effets de seuils. La régulation publique est confrontée à deux problèmes bien distincts : d'une part, les asymétries d'information relevant classiquement de la théorie des contrats et des solutions qu'elle préconise et, d'autre part, une incertitude que partagent régulateur et agents sur la relation entre pratiques agricoles et état de l'environnement. Ces deux difficultés se cumulent fréquemment dans les programmes agri-environnementaux et peuvent conduire, en présence d'effets de seuils, à l'absence d'effet environnemental et au découragement des agriculteurs. A partir d'un modèle micro-économique et de l'analyse approfondie d'un exemple, cette contribution montre qu'une gestion pérenne et évolutive des programmes permet une capitalisation locale des compétences et un gain d'efficacité. Cette gestion vise à tirer parti d'économies d'échelle et d'apprentissage tant managériales que techniques, à condition de spécifier des contrats dont la réalisation contribue à préciser et quantifier des effets de seuil souvent mal connus et localement spécifiques. Dans certains cas, l'instauration par le régulateur d'un taux minimal de contractualisation dans une zone donnée constitue une information conduisant à accroitre la probabilité de participation des agriculteurs.

Our society demands welfare, but in varied forms driven by complex and paradoxical individual behaviours. The 2001 European Union Directive requires that sows are kept in groups, and that the space per sow is increased while keeping them on fully slatted floors. However, the meat produced under these standards does not seem to be synonymous of higher technological quality, with a processing rate of 70%. In addition, the implementation of these regulations produces extra costs for the breeder, estimated between 0.57 and 1.3? centimes per kilo of carcass. Should space requirements for animals at different stages increase further, as suggested by the latest EFSA expert report, the impact could rise to 3.9 cents. An INRA study showed that only a small proportion of consumers would be willing to pay more for pig meat produced with improved welfare conditions. This raises the question of unfair competition from non-EU Member states that do not follow the same rules and produce cheaper pig meat. ; Le bien-être est une exigence de la société, dont l'opinion est diverse et les comportements individuels complexes et paradoxaux. Elle se traduit par une réglementation. Une directive de l'Union Européenne de 2001 porte sur la mise en groupe des truies, sur l'augmentation de la surface par truie avec l'autorisation de conserver le caillebotis intégral. La viande produite selon ces normes ne semble pas synonyme de qualité technologique supérieure, sachant que la viande de porc est transformée à 70 %. Par ailleurs, l'adoption de ces règles génère des surcoûts pour l'éleveur estimés entre 0,57 et 1,30 centime d'?/kg de carcasse; l'impact serait de 3,9 centimes si de plus, les surfaces dévolues aux animaux aux différents stades devaient augmenter sensiblement, comme le suggère le dernier rapport d'experts de l'EFSA. Une étude de l'INRA montre que seule une proportion restreinte de consommateurs serait prête à payer plus cher un porc élevé dans des conditions améliorées de bien-être. La question de distorsion de concurrence se pose vis-à-vis de pays non-membres de l'Union européenne, ne respectant pas cette réglementation et produisant meilleur marché.

WP INRA-ESR Rennes N° 05-01Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales 4 Allée Bobierre CS 61103 35011 Rennes cedex (FRA) ; Cote de localisation : WP 05-01 ; L'objectif de la communication est de proposer des procédures d'élaboration et de mise en oeuvre des programmes agri-environnementaux pour assurer leur efficacité environnementale et sociale, lorsque les processus biophysiques en jeu sont caractérisés par des effets de seuils. L'approche volontaire des politiques agri-environnementales se traduit fréquemment par une dispersion géographique des surfaces contractualisées, qui diminue l'efficience des politiques et conduit à un gaspillage de fonds publics. La probabilité d'un tel gaspillage est accrue en situation d'information imparfaite sur le comportement des agriculteurs et d'incertitude sur les processus biophysiques. Concrètement la régulation publique est confrontée à deux problèmes bien distincts : d'une part les asymétries d'information, relevant classiquement de la théorie des contrats et des solutions qu'elle préconise, et d'autre part une incertitude que partagent régulateur et agents sur la relation entre pratiques agricoles et état de l'environnement. Ces deux difficultés se cumulent fréquemment dans les programmes agri-environnementaux et peuvent conduire, en présence d'effets de seuil, à l'absence d'effet environnemental et au découragement des agriculteurs. En France, ce travers est accentué par le manque de pérennité et la complexité des contrats proposés, souvent à objectifs multiples. Les coûts de transaction privés associés sont autant de barrières à l'entrée, sans rapport avec un nécessaire ciblage géographique, tandis que les coûts d'administration s'avèrent responsables de goulots d'étranglement. A partir d'un modèle micro-économique adapté et de l'analyse approfondie de quelques exemples cette contribution montre qu'une gestion pérenne et évolutive des programmes permet une capitalisation locale des compétences et un gain d'efficacité. Cette gestion vise à tirer ...

Contrat ; A02128 ; Integrated tools to design and implement agroenvironmental schemes [ITAES] Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales 4 Allée Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes cedex (FRA) ; Les politiques agri-environnementales visant à encourager la fourniture de biens environnementaux par les agriculteurs sont de plus en plus basées sur des contrats. Ces contrats spécifient en général des engagements en terme de pratiques agricoles qui ne sont que des contributions individuelles dont l'agrégation et l'interaction avec les caractéristiques du milieu où elles interviennent sont supposées conduire au bien visé : biodiversité ou paysage remarquable. L'efficacité environnementale de ces pratiques dépend donc de la localisation des parcelles contractualisées, et de leur densité dans les zones d'intérêt quand les processus agri-environnementaux sont caractérisés par des effets de seuil et d'échelle. Ces impératifs ne sont pas facilement respectés par des politiques basées sur une démarche volontaire qui conduisent fréquemment à une dispersion des exploitations et des parcelles contractualisées. Ce phénomène est illustré à l'aide des résultats de l'évaluation à mi-parcours des mesures agro-environnementales. Il se traduit par des gaspillages de fonds publics. A partir de la modélisation des comportements des agriculteurs et de ces processus agri-environnementaux, la contribution examine des modalités d'application des mesures agro-environnementales permettant d'éviter ces gaspillages en tenant compte des effets de seuil et d'échelle. La modélisation s'appuie sur des résultats déjà validés et montre comment on peut tirer parti de l'utilité directe que les agriculteurs dérivent des biens environnementaux qu'ils contribuent à produire, tout en suscitant un comportement coopératif.