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World Affairs Online
Les émotions du pouvoir: larmes, rires, colères des politiques
In: Individu et société
Les mots de la vie politique locale en France
In: Les mots de
L' ego-politique: essai sur l'individualisation du champ politique
In: Individu et société
La politique en librairie: les stratégies de publication des professionnels de la politique
In: Recherches
World Affairs Online
Les maires: sociologie d'un rôle
In: Espaces politiques
In: Sciences sociales
In: Sciences sociales
World Affairs Online
Le discours politique
In: Que sais-je ? 3397
In: Le point des connaissances actuelles
La rhetorique du maire entrepreneur: critique de la communication municipale
In: Vie locale 13
Politique : le retour des saines colères
In: Sciences humaines: SH, Band 352, Heft 11, S. 44-45
Les émotions présidentielles sous la Ve République : normes de sang-froid et régulation des émotions collectives
In: Lien social et politiques: revue internationale et interdisciplinaire de sciences humaines consacrée aux thèmes du lien social, de la sociabilité, des problèmes sociaux et des politiques publiques, Heft 86, S. 38-53
ISSN: 1703-9665
Le président de la République doit-il montrer ses émotions ? Cet article vise à établir qu'une norme de sang-froid s'est construite au fil de l'histoire politique et s'est imposée sous la Ve République pour trois raisons : le sang-froid participe de la rationalisation du pouvoir d'État, il distingue ceux qui occupent des positions élevées, il procure une position de force dans les discussions. Néanmoins, s'il ne peut succomber aux émotions, le chef d'État ne doit pas pour autant ignorer celles-ci : il en orchestre la régulation, imposant par son discours des émotions collectives exemplaires, par exemple, à la suite d'attentats ou de décès de personnalités populaires. En comparant le rapport aux émotions du général de Gaulle à celui de ses derniers successeurs, en particulier Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron, on peut faire l'hypothèse d'un relâchement de la norme de sang-froid et d'une banalisation de l'expressivité des figures au sommet de l'État.
La dimension territoriale de la démocratie
In: Cahiers français, Band 420-421, Heft 2, S. 52-59
La communication négative intra-partisane : trahir son candidat ?
In: Questions de communication, Heft 38, S. 219-238
ISSN: 2259-8901
Des Gilets jaunes aux anti-masques… la contestation de l'ordre institutionnel
In: L' ENA hors les murs, Band 500, Heft 4, S. 38-40
ISSN: 1956-922X
La représentation politique comme lien émotionnel
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 14, Heft 1, S. 203-227
ISSN: 1918-7475
L'objectif de cette contribution est de réfléchir au lien démocratique qui unit représentés et représentants du point de vue des émotions. Nous privilégierons une approche historique pour rendre compte du cas français. Selon un premier modèle, les émotions sont strictement encadrées au sommet de l'État. Ce modèle n'a évidemment pas disparu, mais il est concurrencé depuis quelques années par un modèle fondé sur le relâchement partiel, y compris au sommet de l'État, des contraintes de sang-froid. Le politique n'est plus seulement celui qui perçoit les émotions de la foule et qui sait les traduire en actions publiques; il est celui (ou celle) qui les éprouve avec intensité. Il s'émeut comme tout un chacun face aux drames collectifs et il se réjouit lors des liesses collectives; il peut même assumer publiquement des émotions personnelles liées à la carrière politique ou à la vie privée.