Suchergebnisse

Background: Religiosity has been suggested to be protective against substance use disorder (SUD) initiation but its impact of the progression of development is not known. Aims: This study investigated the impact of religiosity/spirituality on the development of heavy use and SUD following substance use initiation (alcohol, cannabis, and tobacco) utilizing data from the 2012 to 2013 National Epidemiologic Survey on Alcohol and Related Conditions-III. Method: Individuals with a known age at onset of substance initiation were included ( n = 30,590, n = 11,126, and n = 14,083; for alcohol, cannabis, or tobacco users, respectively). Religiosity was measured by importance of religious/spiritual beliefs and frequency of religious service attendance. The percentage of individuals who progressed to an SUD after substance initiation in each substance was estimated. Discrete-time analysis and survival analysis were used to measure the impact of religiosity on the progression from substance initiation to heavy use and from heavy use to SUD. Results: After controlling for various variables, religious services attendance frequency was statistically associated with a slower progression from substance initiation to heavy use for all three substances: tobacco by 8% to 15%, cannabis by 5% to 26%, and alcohol 9% ( p ⩽ .01). Religious importance was associated with slower progression to heavy use in cannabis users by 16% to 21% ( p ⩽ .02). Religiosity (believes and attendance) was associated with slowed progression from heavy use to SUD development in alcohol users only. Conclusions: The findings illustrate strongest association between attending religious services and lower probabilities of progressing to heavy/daily use after substance use initiation for alcohol, tobacco, and cannabis users. This indicates the potential use of religious services as social support for individuals with risky substance use.

As many jurisdictions consider relaxing cannabis legislation and usage is increasing in North America and other parts of the world, there is a need to explore the possible genetic differences underlying the subjective effects of cannabis. This pilot study investigated specific genetic variations within the cannabinoid receptor 1 (CNR1) gene for association with the subjective effects of smoked cannabis. Data were obtained from a double-blinded, placebo-controlled clinical trial studying the impact of cannabis intoxication on driving performance. Participants randomized to the active cannabis group who consented to secondary genetic analysis (n = 52) were genotyped at the CNR1 rs1049353 and rs2023239 polymorphic areas. Maximum value and area under the curve (AUC) analyses were performed on subjective measures data. Analysis of subjective effects by genotype uncovered a global trend towards greater subjective effects for rs1049353 T-allele- and rs2023239 C-allele-carrying subjects. However, significant differences attributed to allelic identity were only documented for a subset of subjective effects. Our findings suggest that rs1049353 and rs2023239 minor allele carriers experience augmented subjective effects during acute cannabis intoxication.

D'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le tabac est actuellementresponsable de près de 5 millions de décès par an dans le monde. Lalutte contre le tabagisme est devenue une priorité de santé publique justifiantles initiatives prises au plan international telles que « Pour un monde sanstabac ». La convention-cadre proposée par l'OMS et adoptée en mai 2003par 47 états invite les pays à prendre des mesures reconnues comme efficaceset de les inscrire dans un cadre législatif (hausses des prix et des taxes,interdiction de la publicité, interdiction de fumer sur les lieux de travail et leslieux publics, campagnes d'éducation et de sensisbilisation, interdiction devente aux mineurs{).Le rapport Tobacco Control Country Profiles (TCCP) rassemblant les donnéesde 196 pays en 2003 met l'accent sur la très forte progression du tabagismedans les pays en développement. Si environ 50 % des décès surviennentactuellement dans les pays riches, 70 % concerneront les pays en développementd'ici 2020. Dans les pays riches, la prévalence du tabagisme masculinest approximativement de 35 % et de 50 % dans les pays en développementet plus de 60 % en Chine. Si le tabagisme suit son rythme actuel, le tabacsera responsable d'un milliard de décès au cours du 21e siècle. La dépendancetabagique touche actuellement 1 milliard d'individus.En France, d'après l'enquête EROPP 20021 près de 12 millions de personnesparmi les 18 à 75 ans sont des fumeurs réguliers, c'est-à-dire qu'ils fument aumoins une cigarette par jour. Le tabagisme est reconnu comme la premièrecause de mortalité évitable. Les données les plus récentes indiquent que letabac est responsable chaque année de 60 000 décès. La prévalence tabagiquechez les jeunes de 18 à 25 ans si l'on considère tous ceux qui déclarent fumerne serait-ce que de temps en temps est proche de 50 %. Ces données justi-fient pleinement la priorité politique française donnée à la lutte anti-tabaccomme celle suscitée au niveau international par l'OMS.La Mission interministérielle de lutte contre la ...

D'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le tabac est actuellementresponsable de près de 5 millions de décès par an dans le monde. Lalutte contre le tabagisme est devenue une priorité de santé publique justifiantles initiatives prises au plan international telles que « Pour un monde sanstabac ». La convention-cadre proposée par l'OMS et adoptée en mai 2003par 47 états invite les pays à prendre des mesures reconnues comme efficaceset de les inscrire dans un cadre législatif (hausses des prix et des taxes,interdiction de la publicité, interdiction de fumer sur les lieux de travail et leslieux publics, campagnes d'éducation et de sensisbilisation, interdiction devente aux mineurs{).Le rapport Tobacco Control Country Profiles (TCCP) rassemblant les donnéesde 196 pays en 2003 met l'accent sur la très forte progression du tabagismedans les pays en développement. Si environ 50 % des décès surviennentactuellement dans les pays riches, 70 % concerneront les pays en développementd'ici 2020. Dans les pays riches, la prévalence du tabagisme masculinest approximativement de 35 % et de 50 % dans les pays en développementet plus de 60 % en Chine. Si le tabagisme suit son rythme actuel, le tabacsera responsable d'un milliard de décès au cours du 21e siècle. La dépendancetabagique touche actuellement 1 milliard d'individus.En France, d'après l'enquête EROPP 20021 près de 12 millions de personnesparmi les 18 à 75 ans sont des fumeurs réguliers, c'est-à-dire qu'ils fument aumoins une cigarette par jour. Le tabagisme est reconnu comme la premièrecause de mortalité évitable. Les données les plus récentes indiquent que letabac est responsable chaque année de 60 000 décès. La prévalence tabagiquechez les jeunes de 18 à 25 ans si l'on considère tous ceux qui déclarent fumerne serait-ce que de temps en temps est proche de 50 %. Ces données justi-fient pleinement la priorité politique française donnée à la lutte anti-tabaccomme celle suscitée au niveau international par l'OMS.La Mission interministérielle de lutte contre la ...

D'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le tabac est actuellementresponsable de près de 5 millions de décès par an dans le monde. Lalutte contre le tabagisme est devenue une priorité de santé publique justifiantles initiatives prises au plan international telles que « Pour un monde sanstabac ». La convention-cadre proposée par l'OMS et adoptée en mai 2003par 47 états invite les pays à prendre des mesures reconnues comme efficaceset de les inscrire dans un cadre législatif (hausses des prix et des taxes,interdiction de la publicité, interdiction de fumer sur les lieux de travail et leslieux publics, campagnes d'éducation et de sensisbilisation, interdiction devente aux mineurs{).Le rapport Tobacco Control Country Profiles (TCCP) rassemblant les donnéesde 196 pays en 2003 met l'accent sur la très forte progression du tabagismedans les pays en développement. Si environ 50 % des décès surviennentactuellement dans les pays riches, 70 % concerneront les pays en développementd'ici 2020. Dans les pays riches, la prévalence du tabagisme masculinest approximativement de 35 % et de 50 % dans les pays en développementet plus de 60 % en Chine. Si le tabagisme suit son rythme actuel, le tabacsera responsable d'un milliard de décès au cours du 21e siècle. La dépendancetabagique touche actuellement 1 milliard d'individus.En France, d'après l'enquête EROPP 20021 près de 12 millions de personnesparmi les 18 à 75 ans sont des fumeurs réguliers, c'est-à-dire qu'ils fument aumoins une cigarette par jour. Le tabagisme est reconnu comme la premièrecause de mortalité évitable. Les données les plus récentes indiquent que letabac est responsable chaque année de 60 000 décès. La prévalence tabagiquechez les jeunes de 18 à 25 ans si l'on considère tous ceux qui déclarent fumerne serait-ce que de temps en temps est proche de 50 %. Ces données justi-fient pleinement la priorité politique française donnée à la lutte anti-tabaccomme celle suscitée au niveau international par l'OMS.La Mission interministérielle de lutte contre la ...

D'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le tabac est actuellementresponsable de près de 5 millions de décès par an dans le monde. Lalutte contre le tabagisme est devenue une priorité de santé publique justifiantles initiatives prises au plan international telles que « Pour un monde sanstabac ». La convention-cadre proposée par l'OMS et adoptée en mai 2003par 47 états invite les pays à prendre des mesures reconnues comme efficaceset de les inscrire dans un cadre législatif (hausses des prix et des taxes,interdiction de la publicité, interdiction de fumer sur les lieux de travail et leslieux publics, campagnes d'éducation et de sensisbilisation, interdiction devente aux mineurs{).Le rapport Tobacco Control Country Profiles (TCCP) rassemblant les donnéesde 196 pays en 2003 met l'accent sur la très forte progression du tabagismedans les pays en développement. Si environ 50 % des décès surviennentactuellement dans les pays riches, 70 % concerneront les pays en développementd'ici 2020. Dans les pays riches, la prévalence du tabagisme masculinest approximativement de 35 % et de 50 % dans les pays en développementet plus de 60 % en Chine. Si le tabagisme suit son rythme actuel, le tabacsera responsable d'un milliard de décès au cours du 21e siècle. La dépendancetabagique touche actuellement 1 milliard d'individus.En France, d'après l'enquête EROPP 20021 près de 12 millions de personnesparmi les 18 à 75 ans sont des fumeurs réguliers, c'est-à-dire qu'ils fument aumoins une cigarette par jour. Le tabagisme est reconnu comme la premièrecause de mortalité évitable. Les données les plus récentes indiquent que letabac est responsable chaque année de 60 000 décès. La prévalence tabagiquechez les jeunes de 18 à 25 ans si l'on considère tous ceux qui déclarent fumerne serait-ce que de temps en temps est proche de 50 %. Ces données justi-fient pleinement la priorité politique française donnée à la lutte anti-tabaccomme celle suscitée au niveau international par l'OMS.La Mission interministérielle de lutte contre la ...

D'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le tabac est actuellementresponsable de près de 5 millions de décès par an dans le monde. Lalutte contre le tabagisme est devenue une priorité de santé publique justifiantles initiatives prises au plan international telles que « Pour un monde sanstabac ». La convention-cadre proposée par l'OMS et adoptée en mai 2003par 47 états invite les pays à prendre des mesures reconnues comme efficaceset de les inscrire dans un cadre législatif (hausses des prix et des taxes,interdiction de la publicité, interdiction de fumer sur les lieux de travail et leslieux publics, campagnes d'éducation et de sensisbilisation, interdiction devente aux mineurs{).Le rapport Tobacco Control Country Profiles (TCCP) rassemblant les donnéesde 196 pays en 2003 met l'accent sur la très forte progression du tabagismedans les pays en développement. Si environ 50 % des décès surviennentactuellement dans les pays riches, 70 % concerneront les pays en développementd'ici 2020. Dans les pays riches, la prévalence du tabagisme masculinest approximativement de 35 % et de 50 % dans les pays en développementet plus de 60 % en Chine. Si le tabagisme suit son rythme actuel, le tabacsera responsable d'un milliard de décès au cours du 21e siècle. La dépendancetabagique touche actuellement 1 milliard d'individus.En France, d'après l'enquête EROPP 20021 près de 12 millions de personnesparmi les 18 à 75 ans sont des fumeurs réguliers, c'est-à-dire qu'ils fument aumoins une cigarette par jour. Le tabagisme est reconnu comme la premièrecause de mortalité évitable. Les données les plus récentes indiquent que letabac est responsable chaque année de 60 000 décès. La prévalence tabagiquechez les jeunes de 18 à 25 ans si l'on considère tous ceux qui déclarent fumerne serait-ce que de temps en temps est proche de 50 %. Ces données justi-fient pleinement la priorité politique française donnée à la lutte anti-tabaccomme celle suscitée au niveau international par l'OMS.La Mission interministérielle de lutte contre la ...