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World Affairs Online
Life in a Space of Necropolitics: Toward an Economy of Value in Prisons
In: Ethnos: journal of anthropology, Band 84, Heft 1, S. 74-95
ISSN: 1469-588X
Le destin de Yacou « le Chinois »: Carrière criminelle et devenir de la Côte d'Ivoire au prisme de la prison
In: Afrique contemporaine: la revue de l'Afrique et du développement, Band 263-264, Heft 3, S. 85-101
ISSN: 1782-138X
Que nous apprend la mort de Yacou le Chinois, braqueur de banque, ancien rebelle et chef du gouvernement interne de la MACA, la plus grande prison de la Côte d'Ivoire ? À partir du récit du destin tragique de Yacou le Chinois lors d'une mutinerie dans la prison, cet article montre comment la structure du pouvoir à l'intérieur de la prison est fortement associée aux valeurs du ghetto. Il révèle de plus comment la carrière de Yacou est étroitement liée à la trajectoire nationale ivoirienne. Cette analyse de la vie dans une prison africaine met en évidence la pertinence des études carcérales pour éclairer des problèmes sociaux plus larges.
David Quammen, Ebola. Histoire d'un virus mortel
In: Afrique contemporaine: la revue de l'Afrique et du développement, Band 255, Heft 3, S. 160-162
ISSN: 1782-138X
David Quammen, Ebola. Histoire d'un virus mortel
In: Afrique contemporaine: la revue de l'Afrique et du développement, Band n 255, Heft 3, S. 160-162
ISSN: 0002-0478
Treating Corpses like Bundles of Firewood.On the social production of indifference in the time of Ebola (Guinea) ; 'Traiter les corps comme des fagots' - Production sociale de l'indifférence en contexte Ebola (Guinée)
A propos de cet article : "En Guinée, des victimes d'Ebola enterrées « comme des fagots de bois »", par Pierre Bienvault, Journal La Croix, le 19/01/2016 : [ http://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/En-Guinee-des-victimes-d-Ebola-enterrees-comme-des-fagots-de-bois-2016-01-19-1200732204 ] ; International audience ; Guéckédou, novembre 2014. Sur près de 350 tombes contenues dans le cimetière ouvert spécialement auprès du Centre de Traitement Ebola de MSF Belgique, environ 200 sont anonymes. Alors qu'un nouveau cimetière est ouvert en raison de la saturation du premier, et après huit mois d'enterrements anonymes des défunts, les tombes sont enfin identifiées et un dispositif de géolocalisation a été mis en place afin d'associer le domicile du défunt à sa sépulture. Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour mettre en place un tel dispositif ? A posteriori, les divers acteurs concernés, pour se justifier, invoquent l'urgence, le nombre important de corps à enterrer, l'absence de moyens, l'exemple de la crémation des corps au Liberia, la mobilisation exclusive en faveur des vivants. Quelles sont les logiques de production de cette indifférence à l'enterrement des défunts ? Au-delà des discours de justification invoquant l'urgence et l'exceptionnalité de l'épidémie d'Ebola, en quoi la question du traitement des morts éclaire-t-elle la crise morale et politique de la société guinéenne ? A l'épreuve qu'a constituée l'infection s'est ajoutée celle de l'impossibilité de funérailles adéquates par absence de corps. L'indifférence des élites à la question des funérailles produit finalement les conditions d'une autre épidémie à venir : une épidémie de malheur et d'infortune envoyée par des personnes décédées et non ancestralisées.
BASE
Treating Corpses like Bundles of Firewood.On the social production of indifference in the time of Ebola (Guinea) ; 'Traiter les corps comme des fagots' - Production sociale de l'indifférence en contexte Ebola (Guinée)
A propos de cet article : "En Guinée, des victimes d'Ebola enterrées « comme des fagots de bois »", par Pierre Bienvault, Journal La Croix, le 19/01/2016 : [ http://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/En-Guinee-des-victimes-d-Ebola-enterrees-comme-des-fagots-de-bois-2016-01-19-1200732204 ] ; International audience ; Guéckédou, novembre 2014. Sur près de 350 tombes contenues dans le cimetière ouvert spécialement auprès du Centre de Traitement Ebola de MSF Belgique, environ 200 sont anonymes. Alors qu'un nouveau cimetière est ouvert en raison de la saturation du premier, et après huit mois d'enterrements anonymes des défunts, les tombes sont enfin identifiées et un dispositif de géolocalisation a été mis en place afin d'associer le domicile du défunt à sa sépulture. Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour mettre en place un tel dispositif ? A posteriori, les divers acteurs concernés, pour se justifier, invoquent l'urgence, le nombre important de corps à enterrer, l'absence de moyens, l'exemple de la crémation des corps au Liberia, la mobilisation exclusive en faveur des vivants. Quelles sont les logiques de production de cette indifférence à l'enterrement des défunts ? Au-delà des discours de justification invoquant l'urgence et l'exceptionnalité de l'épidémie d'Ebola, en quoi la question du traitement des morts éclaire-t-elle la crise morale et politique de la société guinéenne ? A l'épreuve qu'a constituée l'infection s'est ajoutée celle de l'impossibilité de funérailles adéquates par absence de corps. L'indifférence des élites à la question des funérailles produit finalement les conditions d'une autre épidémie à venir : une épidémie de malheur et d'infortune envoyée par des personnes décédées et non ancestralisées.
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Treating Corpses like Bundles of Firewood.On the social production of indifference in the time of Ebola (Guinea) ; 'Traiter les corps comme des fagots' - Production sociale de l'indifférence en contexte Ebola (Guinée)
A propos de cet article : "En Guinée, des victimes d'Ebola enterrées « comme des fagots de bois »", par Pierre Bienvault, Journal La Croix, le 19/01/2016 : [ http://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/En-Guinee-des-victimes-d-Ebola-enterrees-comme-des-fagots-de-bois-2016-01-19-1200732204 ] ; International audience ; Guéckédou, novembre 2014. Sur près de 350 tombes contenues dans le cimetière ouvert spécialement auprès du Centre de Traitement Ebola de MSF Belgique, environ 200 sont anonymes. Alors qu'un nouveau cimetière est ouvert en raison de la saturation du premier, et après huit mois d'enterrements anonymes des défunts, les tombes sont enfin identifiées et un dispositif de géolocalisation a été mis en place afin d'associer le domicile du défunt à sa sépulture. Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour mettre en place un tel dispositif ? A posteriori, les divers acteurs concernés, pour se justifier, invoquent l'urgence, le nombre important de corps à enterrer, l'absence de moyens, l'exemple de la crémation des corps au Liberia, la mobilisation exclusive en faveur des vivants. Quelles sont les logiques de production de cette indifférence à l'enterrement des défunts ? Au-delà des discours de justification invoquant l'urgence et l'exceptionnalité de l'épidémie d'Ebola, en quoi la question du traitement des morts éclaire-t-elle la crise morale et politique de la société guinéenne ? A l'épreuve qu'a constituée l'infection s'est ajoutée celle de l'impossibilité de funérailles adéquates par absence de corps. L'indifférence des élites à la question des funérailles produit finalement les conditions d'une autre épidémie à venir : une épidémie de malheur et d'infortune envoyée par des personnes décédées et non ancestralisées.
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Treating Corpses like Bundles of Firewood.On the social production of indifference in the time of Ebola (Guinea) ; 'Traiter les corps comme des fagots' - Production sociale de l'indifférence en contexte Ebola (Guinée)
A propos de cet article : "En Guinée, des victimes d'Ebola enterrées « comme des fagots de bois »", par Pierre Bienvault, Journal La Croix, le 19/01/2016 : [ http://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/En-Guinee-des-victimes-d-Ebola-enterrees-comme-des-fagots-de-bois-2016-01-19-1200732204 ] ; International audience ; Guéckédou, novembre 2014. Sur près de 350 tombes contenues dans le cimetière ouvert spécialement auprès du Centre de Traitement Ebola de MSF Belgique, environ 200 sont anonymes. Alors qu'un nouveau cimetière est ouvert en raison de la saturation du premier, et après huit mois d'enterrements anonymes des défunts, les tombes sont enfin identifiées et un dispositif de géolocalisation a été mis en place afin d'associer le domicile du défunt à sa sépulture. Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour mettre en place un tel dispositif ? A posteriori, les divers acteurs concernés, pour se justifier, invoquent l'urgence, le nombre important de corps à enterrer, l'absence de moyens, l'exemple de la crémation des corps au Liberia, la mobilisation exclusive en faveur des vivants. Quelles sont les logiques de production de cette indifférence à l'enterrement des défunts ? Au-delà des discours de justification invoquant l'urgence et l'exceptionnalité de l'épidémie d'Ebola, en quoi la question du traitement des morts éclaire-t-elle la crise morale et politique de la société guinéenne ? A l'épreuve qu'a constituée l'infection s'est ajoutée celle de l'impossibilité de funérailles adéquates par absence de corps. L'indifférence des élites à la question des funérailles produit finalement les conditions d'une autre épidémie à venir : une épidémie de malheur et d'infortune envoyée par des personnes décédées et non ancestralisées.
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Voir la France depuis l'Afrique du Sud
In: Politique africaine, Band 120, Heft 4, S. 201-208
The Suffering Body of the City
In: Public culture, Band 16, Heft 3, S. 453-477
ISSN: 1527-8018
Les conditions de la production du soin en prison (Abidjan, Côte d'Ivoire)
In: Politique africaine, Band 155, Heft 3, S. 175-181
L' Afrique carcérale: dynamique électorale au Sénégal entre 2000 et 2019
In: Politique africaine, no 155 = 2019, 3
World Affairs Online
Entendre les voix de la prison ?
In: Politique africaine, Band 155, Heft 3, S. 153-155
Dire la prison africaine par les cartes
In: Politique africaine, Band 155, Heft 3, S. 5-24