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Researchers, institutional leaders, government policy makers, and leading foundations note the significant role an educated Latina/o population plays in the nation, future workforce, and democracy. This longitudinal study examines the experiences in U.S. colleges and universities that prepare Latina/o students for participation in American democracy and roles in communities and across industries. This study controls background characteristics and predispositions to determine the effect of Latina/o college experiences on civic awareness, commitment of becoming a community leader, and leadership development. Guided by Astin's Involvement Theory and Nora, Barlow and Crisp's Student/Institution Engagement Model, this study employed logistic and multivariate regression analyses on a national sample of 2,164 Latina/o college students who were first-time, full-time freshmen at four-year colleges and universities. The 2004 CIRP Freshmen and 2008 College Senior Surveys were merged with IPEDS institutional data for the study. Findings indicate that college cross racial interactions, attending racial/cultural awareness workshops, and participating in political demonstrations predict Latina/o participation in ethnic/racial student organizations, all of which also predict increases in the personal goal of becoming a community leader. Other predictors of community leadership values are associated with negative cross racial interactions, leadership ability, and performing volunteer work. Civic awareness is fostered by attending a Hispanic Serving Institution, positive cross racial interactions, attending cultural/racial awareness workshops, social agency, and confidence in leadership ability. Latina/os' leadership development (self-ratings change) is associated with voting in student elections, positive cross racial interactions, attending cultural/racial awareness workshops, social agency, and performing volunteer work. In terms of differences among Latina/os, non-native English speakers are more likely to join racial/ethnic organizations, show high civic awareness, and commitment to becoming a community leader. The lower engagement of native English speakers is an area of concern since they have potential for civic leadership. In another area of concern, Latinas are less likely than males to show increases in their leadership ability self-ratings in college. This suggests challenges remain in terms of increasing Latina leadership. The paradox is Latinas are involved in increasing numbers and capacities in student organizations and leadership roles, yet this does not translate to increase Latina leadership.The study extends previous findings indicating diversity-oriented college activities and experiences have a significant and positive effect on student social and civic outcomes. Implications for research, policy and practice are discussed.

L'évaluation de la qualité de l'enseignement supérieur fait l'objet d'une littérature très abondante dans de nombreuses langues et de nombreuses disciplines. Prétendre à l'exhaustivité serait dès lors une gageure. Il existe une multitude de formes d'évaluation de la qualité : l'assurance qualité, l'accréditation, les rankings, l'évaluation des enseignements par les étudiants, l'évaluation par les pairs, etc. Il a été choisi ici de se concentrer sur l'assurance qualité, c'est-à-dire une évaluation par un organisme extérieur des procédures par lesquelles l'établissement cherche à atteindre ses objectifs. L'assurance qualité suit une procédure désormais classique : auto-évaluation de l'établissement, audit externe par des experts (généralement composé des pairs) et suivi de l'évaluation. L'assurance qualité prend pour modèle le Total Quality Management de l'industrie. Elle fait partie des préceptes du New Public Management qui consiste en l'application des méthodes de gestion des entreprises au secteur public. Face à l'abondante littérature en la matière et dans de nombreuses langues, il a été choisi de croiser les littératures francophone et anglophone, en se concentrant plus particulièrement, mais pas exclusivement, sur l'Europe et le processus de Bologne. Dans un premier temps, une histoire de l'assurance qualité dont la naissance se situe aux États-Unis pour se diffuser ensuite vers l'Europe sera présentée afin de comprendre les conditions dans lesquelles cet instrument de gestion est apparu et s'est diffusé. Dans un second temps, l'article reconstruit un réseau informel d'auteurs qui font autorité dans l'analyse de l'évaluation de la qualité. Ces auteurs collaborent souvent ensemble et soumettent leurs analyses au service des politiques éducatives d'organisations internationales (OCDE, UNESCO), de l'Union européenne ou de gouvernements nationaux. A ce titre, ils disposent d'importantes ressources (en termes de financement, de supports de diffusion, d'alliés académiques et politiques) qui leur permettent de s'imposer dans la littérature. La troisième partie de l'article présente une série d'analyses critiques sur certains effets de l'assurance qualité sur le monde universitaire : les transformations du rôle de l'Université, les relations entre l'établissement d'enseignement supérieur et son environnement (principalement le pouvoir politique et les étudiants), les logiques de gouvernance et d'organisation des établissements, les transformations des identités professionnelles et des relations interne aux établissements et les modifications dans les rapports au savoir. L'assurance qualité est un objet d'analyse scientifique, un outil de gestion mais également un outil politique qui fait l'objet d'âpres débats et divise la communauté académique. Malgré les vives critiques dont elle fait l'objet, l'assurance qualité s'impose partout dans le monde et ce mouvement ne semble pas près de s'arrêter. La conclusion de cet article s'arrêtera sur quelques éléments expliquant les difficultés qu'il y a de résister à l'assurance qualité.

Quality assessment in higher education is subject to a wealth of literature in many languages and disciplines. Claiming exhaustiveness would therefore be a challenge. There are a multitude of forms of quality assessment: quality assurance, accreditation, rankings, student learning evaluation, peer review, etc. It has been chosen here to focus on quality assurance, i.e. an assessment by an external body of the procedures by which the institution seeks to achieve its objectives. Quality assurance follows a standard procedure: self-assessment of the institution, external audit by experts (usually composed of peers) and monitoring of the evaluation. Quality assurance takes as its model the Total Quality Management of the industry. It is one of the precepts of the New Public Management, which consists of the application of corporate management methods to the public sector. Faced with the abundant literature in this field and in many languages, it has been chosen to cross the French-speaking and English-speaking literature, focusing particularly, but not exclusively, on Europe and the Bologna Process. As a first step, a history of quality assurance born in the United States and then spread to Europe will be presented in order to understand the conditions under which this management tool has emerged and spread. As a second step, the article rebuilds an informal network of authoritative authors in the quality assessment analysis. These authors often collaborate together and submit their analyses to the education policy service of international organisations (OECD, UNESCO), the European Union or national governments. As such, they have significant resources (in terms of funding, dissemination materials, academic and political allies) that enable them to become involved in literature. The third part of the article presents a series of critical analyses of certain effects of quality assurance on academia: changes in the role of the university, relations between the higher education institution and its environment (mainly ...

L'évaluation de la qualité de l'enseignement supérieur fait l'objet d'une littérature très abondante dans de nombreuses langues et de nombreuses disciplines. Prétendre à l'exhaustivité serait dès lors une gageure. Il existe une multitude de formes d'évaluation de la qualité : l'assurance qualité, l'accréditation, les rankings, l'évaluation des enseignements par les étudiants, l'évaluation par les pairs, etc. Il a été choisi ici de se concentrer sur l'assurance qualité, c'est-à-dire une évaluation par un organisme extérieur des procédures par lesquelles l'établissement cherche à atteindre ses objectifs. L'assurance qualité suit une procédure désormais classique : auto-évaluation de l'établissement, audit externe par des experts (généralement composé des pairs) et suivi de l'évaluation. L'assurance qualité prend pour modèle le Total Quality Management de l'industrie. Elle fait partie des préceptes du New Public Management qui consiste en l'application des méthodes de gestion des entreprises au secteur public. Face à l'abondante littérature en la matière et dans de nombreuses langues, il a été choisi de croiser les littératures francophone et anglophone, en se concentrant plus particulièrement, mais pas exclusivement, sur l'Europe et le processus de Bologne. Dans un premier temps, une histoire de l'assurance qualité dont la naissance se situe aux États-Unis pour se diffuser ensuite vers l'Europe sera présentée afin de comprendre les conditions dans lesquelles cet instrument de gestion est apparu et s'est diffusé. Dans un second temps, l'article reconstruit un réseau informel d'auteurs qui font autorité dans l'analyse de l'évaluation de la qualité. Ces auteurs collaborent souvent ensemble et soumettent leurs analyses au service des politiques éducatives d'organisations internationales (OCDE, UNESCO), de l'Union européenne ou de gouvernements nationaux. A ce titre, ils disposent d'importantes ressources (en termes de financement, de supports de diffusion, d'alliés académiques et politiques) qui leur permettent de s'imposer dans la littérature. La troisième partie de l'article présente une série d'analyses critiques sur certains effets de l'assurance qualité sur le monde universitaire : les transformations du rôle de l'Université, les relations entre l'établissement d'enseignement supérieur et son environnement (principalement le pouvoir politique et les étudiants), les logiques de gouvernance et d'organisation des établissements, les transformations des identités professionnelles et des relations interne aux établissements et les modifications dans les rapports au savoir. L'assurance qualité est un objet d'analyse scientifique, un outil de gestion mais également un outil politique qui fait l'objet d'âpres débats et divise la communauté académique. Malgré les vives critiques dont elle fait l'objet, l'assurance qualité s'impose partout dans le monde et ce mouvement ne semble pas près de s'arrêter. La conclusion de cet article s'arrêtera sur quelques éléments expliquant les difficultés qu'il y a de résister à l'assurance qualité.

A partir d'une analyse des processus qui ont mené à l'obligation légale pour tous les établissements d'enseignement supérieur belges francophones de définir des acquis d'apprentissage (learning outcomes) pour chacun de leurs programmes depuis septembre 2014, cet article propose de relier deux types de lecture de l'université. L'une s'intéresse à la politique européenne d'éducation et de formation tout au long de la vie qui définit le rôle que doivent jouer les systèmes d'apprentissage (enseignement et formation professionnelle) et de validation des acquis de l'expérience dans le projet de société européen, ainsi que la manière dont ils doivent entrer en relation. L'autre lecture cherche à comprendre la manière dont la définition d'acquis d'apprentissage, en tant que concept pédagogique, contribue à transformer l'université, dans sa mission d'enseignement, en un "acteur organisationnel" (Krücken/Meier, 2006). Ces deux lectures ne sont pas indépendantes l'une de l'autre. La définition du rôle des systèmes d'apprentissage et de VAE par un projet politique implique une forme particulière d'organisation des universités suscitée par divers instruments d'action publique (Lascoumes/Le Galès, 2005). Le lien étudié est celui entre projet politique, instruments d'action publique, pédagogie et organisation.

A partir d'une analyse des processus qui ont mené à l'obligation légale pour tous les établissements d'enseignement supérieur belges francophones de définir des acquis d'apprentissage (learning outcomes) pour chacun de leurs programmes depuis septembre 2014, cet article propose de relier deux types de lecture de l'université. L'une s'intéresse à la politique européenne d'éducation et de formation tout au long de la vie qui définit le rôle que doivent jouer les systèmes d'apprentissage (enseignement et formation professionnelle) et de validation des acquis de l'expérience dans le projet de société européen, ainsi que la manière dont ils doivent entrer en relation. L'autre lecture cherche à comprendre la manière dont la définition d'acquis d'apprentissage, en tant que concept pédagogique, contribue à transformer l'université, dans sa mission d'enseignement, en un "acteur organisationnel" (Krücken/Meier, 2006). Ces deux lectures ne sont pas indépendantes l'une de l'autre. La définition du rôle des systèmes d'apprentissage et de VAE par un projet politique implique une forme particulière d'organisation des universités suscitée par divers instruments d'action publique (Lascoumes/Le Galès, 2005). Le lien étudié est celui entre projet politique, instruments d'action publique, pédagogie et organisation.

Cet article vise à montrer, à partir de la description de la situation d'une élève en difficulté scolaire, comment les trois sphères de vie (vie familiale, vie avec les pairs et vie scolaire), dégagées par Millet et Thin dans leur analyse de « la déscolarisation comme processus combinatoire » peuvent être chacune le lieu d'une stigmatisation particulière. Une dimension politique, autre source potentielle de stigmatisation, qui agit sur la vie de l'élève mais sur laquelle il n'a aucune prise, sera ajoutée : il s'agit de la réforme du premier degré de l'enseignement secondaire comme manifestation de la politique éducative de la Communauté française de Belgique. Toutes ces stigmatisations spécifiques à leur sphère de vie agissent, à leur tour comme un processus combinatoire, sur l'identité de l'élève.

Cet article vise à montrer, à partir de la description de la situation d'une élève en difficulté scolaire, comment les trois sphères de vie (vie familiale, vie avec les pairs et vie scolaire), dégagées par Millet et Thin dans leur analyse de « la déscolarisation comme processus combinatoire » peuvent être chacune le lieu d'une stigmatisation particulière. Une dimension politique, autre source potentielle de stigmatisation, qui agit sur la vie de l'élève mais sur laquelle il n'a aucune prise, sera ajoutée : il s'agit de la réforme du premier degré de l'enseignement secondaire comme manifestation de la politique éducative de la Communauté française de Belgique. Toutes ces stigmatisations spécifiques à leur sphère de vie agissent, à leur tour comme un processus combinatoire, sur l'identité de l'élève.

Leonardo comprendió y utilizó el auténtico método experimental un siglo antes de que Francis Bacon filosofase sobre él, y antes de que Galileo lo pusiese en práctica. Leonardo no escribió tratados metodológicos, pero en sus cuadernos de apuntes nos dejó esparcidas sus ideas. Decía que las matemáticas, la geometría y la aritmética, podían llegar a la certeza absoluta dentro de su propio ámbito, pues manejan conceptos mentales ideales de valor universal. En cambio, la verdadera ciencia (refiriéndose a las ciencias empíricas), se basa en la observación; si pudiera aplicarse a ella el razonamiento matemático podría lograrse mayor grado de certeza, siendo hoy en día, uno de los pasos fundamentales del método científico. "No hay certeza en la ciencia si no se puede aplicar una de las ciencias matemáticas". En sus apuntes, Leonardo dejó constancia de la importancia que concede al método en la investigación (adelantándose a autores de la Modernidad tales como Descartes) y los preceptos que establece en su método en nada difieren de las modernas definiciones que hoy utilizamos para hablar del método científico. Podemos ver en estos textos una clara definición de los procesos de inducción y deducción que hoy explicamos en nuestras clases de Física o Filosofía. Una de las cuestiones que aborda la presente tesis es por qué autores de reputado prestigio, historiadores de la ciencia y de la tecnología, no conceden a Leonardo su verdadero valor como Ingeniero. Por citar algunos ejemplos, gran parte del famoso libro de "Los ingenieros del Renacimiento" está dedicado a la vida de Leonardo da Vinci, su carrera de ingeniero, su lado técnico, y su "método", según Bertrand Gille, no existe. Como señala el autor, es inexistente porque Leonardo está dotado de una curiosidad inmensa que desgraciadamente lo lleva a dispersarse, lo cual le impide especializarse en ciertos sectores, y por ende, a erigir los pilares de una investigación metódica. Además, Bertrand Gille indica que, aun si Leonardo Da Vinci lega un número amplio de dibujos a la posteridad, su aporte a nivel de innovaciones técnicas fue mínimo, dado que no brindaba soluciones prácticas viables, pero quedaba de una manera u otra fijado en el espíritu de su tiempo orientado hacia el análisis y la reproducción literal de los dibujos anteriores. George Basalla, catedrático emérito de historia de la técnica en la Universidad de Delaware, publicó "La evolución de la tecnología", en donde comentó expresamente: "La más famosa colección de máquinas visionarias del Renacimiento no se reveló al público hasta finales del siglo XIX. Estuvo oculta entre los cuaderno personales no publicados de Leonardo da Vinci […]. Muchos de estos artefactos son imposibles tal como se presentan, y pocos, si acaso alguno, influyeron en el ulterior desarrollo tecnológico; sin embargo permiten hacerse una inusual idea de la mente de un gran genio técnico y del tipo de exuberancia tecnológica que había de convertirse en uno de los rasgos distintivos de la civilización occidental". Observamos cómo una vez más se cuestiona la figura de Leonardo como ingeniero o inventor poco más que de artefactos o artilugios imposibles. Pero que hay de verdad en tales afirmaciones. Precisamente la contestación a esta pregunta es una de las cuestiones que se abordan en la presente tesis. Gran parte de la presente tesis doctoral está dirigida a ordenar todos los temas de carácter ingenieril que Leonardo trató en sus manuscritos y de comprobar fehacientemente y documentalmente consultando las fuentes primarias (sus manuscritos) y los artículos y libros publicados de reconocidos y prestigiosos leonardistas que abordan la cuestión. Hasta qué punto se puede considerar que Leonardo fuera un ingeniero del Renacimiento. Como resumen de lo que se pretende en la presente Tesis Doctoral se enumeran los objetivos que se desean alcanzar. Objetivos: El principal y primer objetivo de la investigación sobre Leonardo es reivindicar su figura como uno de los grandes ingenieros de todas las Historia. "Ser o no ser…ingeniero…esa es la cuestión". Identificar, analizar y ordenar los principales temas que Leonardo escribió y dibujó sobre Ingeniería Militar, Ingeniería Mecánica, Ingeniería Hidráulica, Ingeniería Civil e Ingeniería Aeronáutica, dispersos por sus manuscritos. Reflexionar sobre la figura del ingeniero hoy día. Investigar las diferentes interpretaciones que ha tenido a lo largo de la historia y elaborar un modelo tridimensional en 3D del famoso automóvil de Leonardo, folio 812 recto del Códice Atlántico.

En este artículo se examina la agenda de la política exterior chilena a la luz de los programas de gobierno de las candidaturas presidenciales en 2009 y 2013. En términos generales, la agenda de este sector se ha caracterizado por un alto nivel de estabilidad. No obstante, con la llegada de la derecha al poder en 2010 adquirieron prominencia algunos asuntos de la agenda por sobre otros. En ese contexto se produjo el ingreso de Chile a la Alianza del Pacífico. Hasta ese punto, los cambios de gobierno no habían afectado el equilibrio entre los componentes centrales de la política exterior. Con todo, la participación de Chile en esa instancia de integración no formaba parte de los programas de gobierno ni de la derecha ni de la centro izquierda. Es decir, no constituía una alternativa que fuese promovida por una comunidad de política pública, como se sigue de la teoría de formación de la agenda de J. Kingdon (1995). Ahora bien, el perfil de la Alianza del Pacífico y la reacción que generó en el ambiente político la entrada a la misma proveen de plausibilidad a la hipótesis de que el cambio de coalición gobernante generó una "ventana política" para que el país se sumara a la iniciativa señalada. Con todo, como se concluye, el programa de gobierno de Michelle Bachelet en 2013 no proponía un giro latinoamericanista, sino que más bien una reposición de los ejes de la agenda de la política exterior precedente a la administración de Piñera. ; This paper takes a look at the foreign policy agenda of Chile in the context of the government action plan of candidates in 2009 and 2013. In broad terms, the agenda of this sector has been characterized by a high level of stability. However, with the right coming to power in 2010, certain issues in the agenda took precedence over others. It was in this context that Chile entered the Pacific Alliance. Until then, the change from one administration to another had not affected the balance between the core components of foreign policy. All in all, Chile's involvement in this integration initiative was not a part of the government action plan of the right or the center-left. That is to say, it was not an alternative promoted by a public political community, as would follow from J. Kingdon's agenda-setting theory (1995). The profile of the Pacific Alliance and the reaction caused by the country's involvement with it in the political arena give credibility to the hypothesis that the change in the ruling faction generated a "polical window" for the country to join this initiative. All in all, as we conclude, Michelle Bachelet's government action plan in 2013 was not aligned with Latin Americanist currents, but rather aimed at repositioning the axes of the foreign policy agenda that was in place before the Piñera administration. ; Instituto de Relaciones Internacionales (IRI)